Quand vous voyez quelquefois un nombreux troupeau qui, répandu sur une colline vers le déclin d'un beau jour, paît tranquillement le thym et le serpolet, ou qui broute dans une prairie une herbe menue et tendre qui a échappé à la faux du moissonneur... Oeuvres de La Bruyère - Page 23by Jean de La Bruyère - 1808Full view - About this book
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