| René Descartes - Science - 1878 - 104 pages
...autres y étaient; comme je voyais que le cloute, l'inconstance, la tristesse et choses semblables n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moi-même...cela, j'avais des idées de plusieurs choses sensibles ej, corporelles : car quoique je supposasse «fae je rêvais et qtte tout ce que je voyais ou imaginais... | |
| René Descartes - 1879 - 632 pages
...autres y étaient : comme je voyais que le doute , l'inconstance, la tristesse, et choses semblables , n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moi-même...car, quoique je supposasse que je rêvais, et que toutce que je voyais ou imaginais était faux, je ne pouvais nier toutefois que les idées n'en fussent... | |
| Philosophy - 1881 - 854 pages
...autres y étaient : comme je voyais que le doute, l'inconstance, la tristesse et choses semblables n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moimême bien aise d'en être exempt... Pour ce que j'avais déjà connu en moi très clairement que la nature intelligente est distincte de... | |
| René Descartes - 1886 - 140 pages
...les autres y étaient: comme je voyais que le doute, l'inconstance, la tristesse et choses semblables n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moi-même...être exempt. Puis, outre cela, j'avais des idées île plusieurs choses sensibles et corporelles ; car, quoique je supposasse que je rêvais et que tout... | |
| Frederick Morris Warren - French language - 1899 - 362 pages
...autres y étaient : comme je voyais que le doute, l'inconstance, la tristesse et choses semblables 10 n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moi-même...était faux, je ne pouvais nier toutefois que les 15 idées n'en fussent véritablement en ma pensée. Mais pource que j'avais déjà connu en moi très... | |
| Philosophy - 1901 - 680 pages
...autres y étaient ; comme je voyais que le doute, l'inconstance, la tristesse, et choses semblables n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moi-même bien aise d'en être exempt ' ». En cette seconde preuve, plus encore que dans la première, apparaît l'originalité du théisme... | |
| René Descartes - Science - 1908 - 228 pages
...sujette ni au plaisir, ni à la douleur, et la nature humaine... (x, 347) Puis, outre cela, j'avois des idées de plusieurs choses sensibles et corporelles ; car, quoique je supposasse que je revois et que tout ce que je voyois ou imaginois étoit faux, je ne pouvois nier toutefois que les... | |
| Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 400 pages
...autres y étaient: comme je voyais que le 'doute, l'inconstance, la tristesse et choses semblables n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moimême...idées n'en fussent véritablement en ma pensée, 5 Mais pour ce que j'avais déjà connu en moi très clairement que la nature intelligente est distincte... | |
| Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 408 pages
...les autres y étaient: comme je voyais que le doute, l'inconstance, la tristesse et choses semblables n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moimême...idées n'en fussent véritablement en ma pensée. 5 Mais pour ce que j'avais déjà connu en moi très clairement que la nature intelligente est distincte... | |
| Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 408 pages
...posséder; et j'étais assuré qu'aucune de celles qui marquaient quelque imperfection n'était même bien aise d'en être exempt. Puis, outre cela, j'avais...idées n'en fussent véritablement en ma pensée. 5 Mais pour ce que j'avais déjà connu en moi très clairement que la nature intelligente est distincte... | |
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