L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix... Oeuvres de La Bruyère - Page 78 by Jean de La Bruyère - 1808 Full view -
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