| Jean Macé - Education - 1891 - 706 pages
...l'on se croyait encore au temps où La Bruyère pouvait écrire sa fameuse définition du paysan : « L'on voit certains animaux farouches, des • mâles et des femelles, répandus par la cam• pagne, noirs, livides, et tout brûlés du so« leil, etc. • La révolution française a passé... | |
| Académie nationale de Metz - 1892 - 588 pages
...Bruyère, que, dans plus d'un cas, l'on pourrait encore rappeler aujourd'hui? — L'on voit, dit-il, certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniàtreté... | |
| Félix Hémon - French literature - 1893 - 610 pages
...terre et des enlèvements de meubles, des prisons et des supplices, je l'avoue : mais, justice, lois et besoins à part, ce m'est une chose toujours nouvelle...quelle férocité les hommes traitent d'autres hommes. » Et ce sentiment de la justice est fait en grande partie de pitié. Il ya dans ce chapitre de l'Homme... | |
| Alphonse Jobez - France - 1893 - 920 pages
...nouvelles. » A cette même époque La Bruyère faisait ce portrait des agriculteurs français : a L'on voit certains animaux farouches, des mâles et...femelles répandus par la campagne, noirs, livides et tous brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté... | |
| Jean-Jacques Lévêque - France - 1995 - 196 pages
...Il manque à quelques-uns jusqu'aux aliments ; ils redoutent l'hiver, ils appréhendent de vivre... L'on voit certains animaux farouches, des mâles et...par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés de soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible...... | |
| Nadezhda Stangé-Zhirovova - Social Science - 1998 - 300 pages
...Russie. Il suffit de citer le passage des Caractères de Jean de La Bruyère consacré aux paysans: «L'on voit certains animaux farouches, des mâles...répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés de soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible;... | |
| Marie-Aude de Langenhagen - 2005 - 286 pages
...fait dénonciation, mais le cri reste bref et furtif. La Bruyère peint la masse misérable de ces « animaux farouches, des mâles et des femelles répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés de soleil. [...] quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet,... | |
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