| Antonio Bergnes de las Casas - 1857 - 500 pages
...zéphyr. Encore si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage . Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage...plus souvent Sur les humides bords des royaumes du veut. La nature envers vous me semble bien injuste. Voire compassion , lui répondit l'arbuste, Part... | |
| Charles Bigot - 1858 - 340 pages
...zéphir. Encor, si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage...vous naissez le plus souvent Sur les humides bords du royaume du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste,... | |
| Édouard Fournier - 1861 - 394 pages
...satisfait. Il raya le dernier hémistiche des deux vers, et, peut-être sur l'épreuve, il écrivit : La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, ete. Était-ce mieux? Sans doute, puisque La Fontaine en a jugé ainsi. X Cent fois, surtout depuis... | |
| Edouard Fournier - Anecdotes - 1861 - 388 pages
...satisfait. Il raya le dernier hémistiche des deux vers, et, peut-être sur l'épreuve, il écrivit : La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, etc. Était-ce mieux? Sans doute, puisque La Fontaine en a jugé ainsi. X Cent fois, surtout depuis... | |
| Alfred G. Havet - 1863 - 508 pages
...zéphyr5. Encor si vous naissiez a l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage:...naturel; mais quittez ce souci: Les vents me sont moins qu'a vous redoutables. Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables... | |
| Jean de La Fontaine - 1863 - 332 pages
...zcphlr. tincor si vous naissiez ai abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir: Je vous défendrais de l'orage ;...les humides bords des royaumes du vent. La nature enveu vous me semble bieu injutt* Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel... | |
| Anselme Ouradou - 1864 - 448 pages
...zéphyr. Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage:...plus souvent Sur les humides bords des royaumes du verit. La nature envers vous me semble , bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste,... | |
| Vrais Ornements - 1864 - 572 pages
...zéphir ; e Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage, Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir, Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords.1 des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui... | |
| A P Le Page - 1864 - 326 pages
...zéphyr. Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un... | |
| Jean de La Fontaine - 1866 - 414 pages
...faiblesse. (3) Cependant gue pour tandis gue est du style de la poésie élevée. L, Hante montagne d'Asïe. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...vent. La nature envers vous me semble bien injuste (1). Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les... | |
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