L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix... Seventeenth Century French Readings - Page 327edited by - 1915 - 382 pagesFull view - About this book
| Marie-Aude de Langenhagen - 2005 - 286 pages
...reste bref et furtif. La Bruyère peint la masse misérable de ces « animaux farouches, des mâles et des femelles répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés de soleil. [...] quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet,... | |
| Alain Ruiz, Françoise Knopper - Enlightenment - 2006 - 432 pages
...Garnier-Flammarion, 1965, p. 292 [De l'homme, n° 128] : « L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs,...ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines... | |
| Michel Prat, Alain Sebbah - Political fiction - 2006 - 364 pages
...assez facilement femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés de soleil /.../; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se...ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes » (Les Caractères, XI, 128). découverts. Il s'agit d'une famille qui vivait en marge... | |
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