| Giacomo Leopardi - 1907 - 530 pages
...necessariamente avrei se mangiassi in compagnia) dintorno alla mia tavola, assistenti al mio pasto, d' importuns laquais, épiant nos discours, critiquant tout bas...d'un oeil avide, s'amusant à nous faire attendre h boire, et murmurant d'un trop long dìner (Rousseau, Emile). Disgraziatamente ***•non mi è mai... | |
| Régis Michuad - French language - 1910 - 456 pages
...badin plus charmant cent fois que 15 la politesse, et plus fait pour lier les cœurs. Point d'importun laquais épiant nos discours, critiquant tout bas nos maintiens, comptant nos morceaux d'un œil avide, s'amusant à nous faire attendre à boire, et murmurant d'un trop long dîner. Nous serions... | |
| Émile Faguet - Authors, French - 1912 - 860 pages
...contrainte, un conflit badin plus charmant cent fois que la politesse, et plus fait pour lier les cœurs. Point d'importuns laquais épiant nos discours, critiquant...tout bas nos maintiens, comptant nos morceaux d'un œil avide, s'amusant à nous faire attendre à boire et murmurant d'un trop long dîner. Nous serions... | |
| Henri Bornecque - French literature - 1924 - 240 pages
...nos maintiens8, comptant nos morceaux d'un œil avide, s'amusant à nous faire attendre à boire s, et murmurant d'un trop long dîner. Nous serions nos valets, pour être nos maîtres ; chacun serait servi par tous ; le temps passerait sans le compter 4, le repas serait le repos et... | |
| Charles Marc Des Granges, Charles Charrier - French literature - 1928 - 622 pages
...badin, plus charmant cent fois que la politesse, et plus fait pour lier les cœurs. Point d'importun laquais épiant nos discours, critiquant tout bas nos maintiens, comptant nos morceaux d'un œil avide, s'amusant à nous faire attendre à boire, et murmurant d'un trop long dîner9. Nous serions... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1857 - 694 pages
...laquais épiant nos- discours , critiquant tout bas nos maintiens , comptant nos morceaux d'un œil avide, s'amusant à nous faire attendre à boire,...dîner. Nous serions nos valets pour être nos maîtres : chacun seroit servi par tous ; le temps passeroit sans le compter ; le repas seroit le repos, et... | |
| Charles Augustin Henry (l'abbé.) - 1875 - 392 pages
...contrainte, un conflit badin, plus charmant cent fois que la politesse, et plus fait pour lier les cœurs. Point d'importuns laquais épiant nos discours, critiquant...tout bas nos maintiens, comptant nos morceaux d'un œil avide, s'amusant à nous faire attendre à boire, et murmurant d'un trop long dîner. Nous serions... | |
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