| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1825 - 546 pages
...Smindiride, qui ne vaut guère mieux qu'une précieuse. Vous croyez que l'imagination augmente les plaisirs; c'est tout le contraire. « Hélas ! que les hommes...goûter » encore moins. » Vous êtes fou , dit un gros Hollandais, si vous vous plaignez de la condition naturelle des hommes , et du peu de choses agréables... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1825 - 472 pages
...point trop ; elle est cause qu'on les sent moins vivement, et d'eux-mêmes ils ne sont point trop vifs. Que les hommes sont à plaindre ! leur condition naturelle...leur raison leur apprend à en goûter encore moins. DIALOGUE III. DIDON, STBATONICE. DIDON. Hélas! ma pauvre Stratonice, que je suis malheureuse! Vous... | |
| Olinthus Gregory - Authors, English - 1828 - 492 pages
...point trop. Elle est cause qu'on les sent moins vivement, et d'euxmemes ils ne sont point trop vifs. Que les hommes sont à plaindre ! Leur condition naturelle leur fournit peu de choses agreables, et leur raison leur apprend à en gouter encore moins." Fontenelle. NIGHT. Night, sable... | |
| Bernard Le Bouyer de Fontenelle - 1829 - 482 pages
...point trop ; elle est cause qu'on les sent moins vivement, et d'eux-mêmes ils ne sont point trop vifs. Que les hommes sont à plaindre ! leur condition naturelle...leur raison leur apprend à en goûter encore moins. DIALOGUE III. DIDON, STRATONICE. DIDON. Hélas ! ma pauvre Stratonice , que je suis malheureuse! Vous... | |
| Wilhelm de Suckau - German language - 1849 - 470 pages
...point trop. Elle est cause qu'on les sent moins vivement, et deux-mêmes ils ne sont point trop vifs. Que les hommes sont à plaindre! Leur condition naturelle...leur raison leur apprend à en goûter encore moins. .V! V1' HOMÈRE, ÉSOPE. Нон. En vérité, toutes les fables que vous venez de me réciter ne peuvent... | |
| Louis Maigron - 1906 - 464 pages
...point trop; elle est cause qu'on les sent moins vivement, et d'eux-mêmes ils ne sont point trop vifs. Que les hommes sont à plaindre! leur condition naturelle...leur raison leur apprend à en goûter encore moins. » Milon ne comprend rien à ce langage : c'est que le langage n'est pas banal Erostrate et Démétrius... | |
| Emile Boulan - 1920 - 214 pages
...Fontenelle a une théorie du plaisir tout aussi originale. Et d'abord la condition naturelle des hommes leur fournit peu de choses agréables, et leur raison leur apprend à en goûter encore moins : l'on est délicat, et la délicatesse diminue le nombre des plaisirs. Un rien suffit à les gâter.... | |
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