C'est un dieu qui lui parle, un dieu qui vit en elle. Eh ! d'où viendrait sans lui ce grand pressentiment, Ce dégoût des faux biens, cette horreur du néant ? Vers des siècles sans fin je sens que tu m'entraînes. Du monde et de mes sens je vais briser... Voltaire apologiste de la religion chrétienne - Page 77by Athanase René Mérault de Bizy - 1826 - 405 pagesFull view - About this book
| Voltaire - 1785 - 412 pages
...fiècles fans fin je fens que tu m'entraînes. Du monde et de mes fens je vais brifer les chaîues, Et m'ouvrir , loin d'un corps dans la fange arrêté...la vie et de l'éternité. L'éternité! quel mot confolant et terrible.' O lumière ! ô nuage ! ô profondeur horrible ! Que Quefuis-je ? où fuis-je... | |
| Voltaire - 1785 - 562 pages
...néant ? Vers des ficeles fans fin je fens que tu m'entraînes ; Du monde et de mes fens je vais biifer les chaînes , Et m'ouvrir, loin d'un corps dans la...arrêté , Les portes de la vie et de l'éternité. I.éternité ! quel mot confolant et terrible i 0 lumière ! ô nuage ! ô profondeur horrible 1 Que... | |
| Voltaire - Authors, French - 1785 - 564 pages
...néant? Vers des fiècles fans fin je fens que tu m'entraînes ; Du monde Se de mes fens je vais brifer les chaînes ; Et m'ouvrir loin d'un corps, dans la fange arrêté , Les portes de la vie Se de l'éternité. L'éternité ! quel mot confolant Sc terrible ! O lumière ! ô nuage ! ô profondeur... | |
| Voltaire - 1785 - 568 pages
...néant? Vers des fiècles fans fin je fens que tu m'entraînes ; Du monde Sc de mes fens je vais brifer les chaînes; Et m'ouvrir loin d'un corps, dans la fange arrêté , Les portes de la vie 8c de l'éternité. L'éternité ! quel mot confolant 8c terrible ! O lumière ! ô nuage ! ô profondeur... | |
| Voltaire - 1792 - 542 pages
...Jiècles fans fin je fens que tu m'entraïnes. Ou monde et de mes fens je vais brifer les chaïnes, Et m'ouvrir loin d'un corps dans la fange arrêté , Les portes de la vie et de l'éternité. LVternite ! quel mot confo'ant et terrible! O lumière ! ô nuage ! ô profondeur horrible! Que fuis... | |
| Voltaire - 1792 - 488 pages
...,. . Vers des fièclcs fans fin je fens que tu m'entraînes ; Du monde & de mes feus je vais brifer les chaînes , Et m'ouvrir loin d'un corps , dans la fange arrêté, Les portes de la vie & de l'éternité. L'éternité ! quel mot confolant & terrible ! . • O lumière ! ô nuage ! ô... | |
| Voltaire - 1792 - 490 pages
...néant ? Vers des fiècles fans fin je fens que tu m'entraînes. Du monde & de mes fens je vais brfer les chaînes, Et m'ouvrir , loin d'un corps dans la fange arrêté, Les portes de h vie & de l'éternité. L'éternité ! quel mot confohnt & terrible ! O lumière ! ô nuage ! ô profondeur... | |
| 1798 - 444 pages
...pressentiment , Ce dégoût des faux biens , cette horreur du nciint ) Vers des siècles sans fin je sens <jue tu m'entraînes ; Du monde et de mes sens je vais...arrêté, Les portes de la vie et de l'éternité. Ce sentiment , que l'on retrouve par -tout , n'est pas , il est vrai, une démonstration métaphysique;... | |
| Jean-François de La Harpe - Classical literature - 1813 - 404 pages
...sans lui ce grand prcssentimeat, Ce dégoût des faux biens, cette horreur du néant? Vers des siecles sans fin je sens que tu m'entraînes, Du monde et...dans la fange arrêté, Les portes de la vie et de 1 demi té. Ce sentiment, que l'on retrouve partout n'est pas, il est vrai, une démonstration métaphysique,... | |
| Jean François de La Harpe - European literature - 1817 - 656 pages
...du néant ? Vers des siècles sans fin je sens que lu m'entraînes ; Du monde et de mes sens je rais briser les chaînes , Et m'ouvrir, loin d'un corps...arrêté , Les portes de la vie et de l'éternité. Ce sentiment, que l'on retrouve partout, n'est pas, il est vrai, une de'-' monstration métaphysique,... | |
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