Lycurgue, mêlant le larcin avec l'esprit de justice , le plus dur esclavage avec l'extrême liberté, les sentiments les plus atroces avec la plus grande modération , donna de la stabilité à sa ville. Il sembla lui... De la nature des sociétés humaines - Page 267by Théobald Mitraud - 1855 - 409 pagesFull view - About this book
| Adolphe Hatzfeld - Political science - 1850 - 232 pages
...railles : on ya de l'ambition, sans espérance d'être (1) Vie de Lycurgue , XII. (2) Ibid., LI. » mieux ; on ya les sentiments naturels, et on n'y est • ni enfant , ni m ari , ni père : la pudeur même est ôtée » à la chasteté. C'est par ces chemins que Sparte... | |
| Adolphe Hatzfeld - Ethics - 1850 - 246 pages
...espérance d'être (1) fit de Lycurgue , XII. (2) Ibid., LI. (3) Xenoph., Rép. de Sparte, ch. I. » mieux ; on ya les sentiments naturels, et on n'y est » ni enfant, nimari, ni père:lapudeurmêmeestôtée » à la chasteté. C'est par ces chemins que Sparte est »... | |
| Jean Joseph Gaume, Jean Gaume - Classical education - 1851 - 434 pages
...liberté, les sentiments les plus atroces avec la plus grande modération , donna de la stabilité à sa ville. Il sembla lui ôter toutes les ressources , les arts , le commerce, l'argent, les murailles ; on ya de l'ambition «ans espérance d'être mieux; on ya les sentiments naturels,... | |
| Frédéric Bastiat - 1851 - 412 pages
...liberté, les sentiments les plus atroces avec la plus grunde modération, donna de la stabilité à sa ville. Il sembla lui ôter toutes les ressources, les arts, le commerce, l'argent, les murailles j on ya de l'ambition sans espérance d'être mieux; on ya les sentiments naturels, et... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1854 - 804 pages
...liberté, les sentiments les plus atroces avec la plus grande modération , donna de la stabilité à sa ؎} , les murailles : on ya de l'ambition , sans espérance d'être mieux ; on ya les sentiments naturels... | |
| Frédéric Bastiat - Economics - 1854 - 590 pages
...liberté, les sentiments les plus atroces avec la plus grande modération, donna de la stabilité à sa ville. Il sembla lui ôter toutes les ressources, les arts, le commerce, l'argent, les murailles :'on ya de l'ambition sans espérance d'être mieux; on ya les sentiments naturels et... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1859 - 676 pages
...liberté, les sentimens les plus atroces avec la plus grande modération , donna de la stabilité à sa ville. Il sembla lui ôter toutes les ressources, les arts, le commerce, l'argent, les murailles : on ya de l'ambition, sans espérance d'être mieux; on ya les sentimens naturels, et... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1865 - 420 pages
...sentimens les plus atroces avec la plus grande modération, donna de la stabilité à sa •"ille. Il sembla lui ôter toutes les ressources, les arts, le commerce , l'argent , les murailles : on ya de l'ambition , sans espérance d'être mieux; on ya les sentimens naturels,... | |
| Ambroise Clément - 1867 - 684 pages
...les sentiments les plus atroces avec la plus grande •» modération, donna de la stabilité à sa ville. Il sembla lui » ôter toutes les ressources, les arts, le commerce, l'argent, a les murailles ; on ya de l'ambition sans espérance d'être » mieux ; on ya les sentiments naturels,... | |
| Jean-Paul Marat - 1883 - 126 pages
...liberté, les sentimens les plus atroces avec la plus grande modération; donnoit de la stabilité à sa Ville. Il sembla lui ôter toutes les ressources,...l'ambition, sans espérance d'être mieux; on ya les sentimens naturels, et on n'y est ni enfant, ni mari, ni père ; la pudeur même est ôtée à la chasteté.... | |
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