Je saute vingt ruisseaux, j'esquive, je me pousse; Guenaud ' sur son cheval en passant m'éclabousse : Et, n'osant plus paraître en l'état où je suis, Sans songer où je vais, je me sauve où je puis. Oeuvres de Boileau-Despréaux - Page 47by Nicolas Boileau Despréaux - 1800Full view - About this book
| Société royale de botanique de Belgique - Botany - 1870 - 912 pages
...croire au déchaînement de toutes les cataractes de l'air. Nous détalons bien vile, car : On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau. Nous abandonnons la place à la gent batracicnne pour songer ù chercher un abri,... | |
| Music - 1895 - 1074 pages
...voilà donc dans ce cher petit coin où il fait si bon vivre, quoique, depuis trois jours, u on dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau » ! Ne nous plaignons pourtant pas trop, car la pluie était bien nécessaire. Et... | |
| Frederic Spencer - 2018 - 290 pages
...pousse; Guénaud* sur son cheval en passant m'éclabousse : Et n'osant plus paraître en l'état où je suis, Sans songer où je vais, je me sauve où je puis. 40 BOILEAU, Les Embarras de Paris. 1 A reminiscence of the civil war known as La Fronde (1648-53).... | |
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