| Emile Saisset - Religion - 1859 - 534 pages
...de ma fantaisie'; elle est inhérente à mon être pensant et pour ainsi dire née avec moi : « Car comment serait-il possible que je pusse connaître...aucune idée d'un être plus parfait que le mien. . . ? » Or, d'où ai-je appris, poursuit Descartes, à penser à quelque chose de plus parfait que... | |
| 1859 - 678 pages
...ma fantaisie ; elle est inhérente à mon être pensant et pour ainsi dire née avec moi : >« Car comment serait-il possible que je pusse connaître...aucune idée d'un être plus parfait que le mien....?» Or, d'où ai-je appris , poursuit Descartes , à penser à quelque chose de plus parfait que je ne... | |
| 1859 - 652 pages
...de ma fantaisie ; elle est inhérente à mon être pensant et pour ainsi dire née avec moi : « Car comment serait-il possible que je pusse connaître...aucune idée d'un être plus parfait que le mien....?» Or, d'où ai-je appris, poursuit Descartes, à penser à quelque chose de plus parfait que je ne suis?... | |
| Emile Saisset - Religion - 1859 - 536 pages
...de ma fantaisie'; elle est inhérente à mon être pensant et pour ainsi dire née avec moi : « Car comment serait-il possible que je pusse connaître...aucune idée d'un être plus parfait que le mien...?» Or, d'où ai-je appris, poursuit Descartes, à penser à quelque chose de plus parfait que je ne suis... | |
| Emile Saisset - 1862 - 436 pages
...premièrement en moi la notion de l'infini que du fini, c'est-à-dire de Dieu que de moi-même ; car comment serait-il possible que je pusse connaître...duquel je connaîtrais les défauts de ma nature? « Et l'on ne peut pas dire que peut-être cette idée de Dieu est matériellement fausse, et par conséquent... | |
| Emile Saisset - Religion - 1862 - 460 pages
...de ma fantaisie ; elle est inhérente à mon être pensant et pour ainsi dire née avec moi : « Car comment serait-il possible que je pusse connaître...c'est-à-dire qu'il me manque quelque chose et que ;e ne suis pas tout parfait, si je n'avais en moi aucune idée d'un être plus parfait que le mien.... | |
| Amédée Florenî Jacques - Philosophy - 1863 - 632 pages
...premièrement en moi la notion de l'infini que du fini, c'est-à-dire de Dieu que de moi-même; car, comment serait-il possible que je pusse connaître...duquel je connaîtrais les défauts de ma nature? « Et l'on ne peut pas dire que peut-être cette idée de Dieu est matériellement fausse , et par conséquent... | |
| René Descartes - 1864 - 482 pages
...premièrement1 en moi la notion de l'infmi que du fini, c'est-à-dire de Dieu que de moi-même ; car comment serait-il possible que je pusse connaître...duquel je connaîtrais les défauts de ma nature ? Et l'on ne peut pas dire que peut-être cette idée de Dieu est matériellement fausse , et par conséquent... | |
| Amédée de Margerie - Creacion - 1865 - 418 pages
...en moi la notion de l'infini que du fini, « c'est-à-dire de Dieu que de moi-même; car com« ment serait-il possible que je pusse connaître que je...parfait que « le mien, par la comparaison duquel je connaîtïai& les « défauts de ma nature ' ? » 1 Bossuet, Élévations sur les mystères: pnmi&re... | |
| René Descartes - Philosophy - 1865 - 466 pages
...fini, c'est-à-dire de Dieu que de moi-même : car comment seroit-il possible que je pusse connoître que je doute et que je désire, c'est-à-dire qu'il...quelque chose et que je ne suis pas tout parfait, si je n'avois en moi aucune idée d'un être plus parfait que le mien, par la comparaison duquel je connoîtrois... | |
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