Une chambre qui avait vue sur les cours des maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge; rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son... L'Artiste - Page 2061858Full view - About this book
| Honoré de Balzac - 1869 - 664 pages
...chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y...laissaient voir le ciel. Il y avait place pour un lit, une tabie, quelques chaises, ev sous l'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano. N'étant pas assez... | |
| Honoré de Balzac - 1869 - 666 pages
...chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y...et les tuiles disjointes laissaient voir le ciel. ll y avait place pour un lit, une table, quelques chaises, et sous l'angle aigu du toit je pouvais... | |
| Honoré de Balzac - 1870 - 512 pages
...chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y...sous l'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano. N'étant pas assez riche pour meubler cette cage digne des plombs de Venise, la pauvre femme n'avait... | |
| Théophile Gautier - France - 1874 - 484 pages
...chargées de linge; rien n'était plus hort-ible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y...sépulcre aérien pendant près de trois ans, travaillant nuit et jour, sans relâche, avec tant de plaisir que l'étude me semblait être le plus beau thème,... | |
| Théophile Gautier - Artists - 1874 - 480 pages
...linge ; rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misére et appelait son savant. La toiture s'y abaissait régulièrement,...sépulcre aérien pendant près de trois ans, travaillant nuit et jour, sans relâche, avec tant de plaisir que l'étude me semblait être le plus beau thème,... | |
| Marc de Montifaud - French literature - 1878 - 302 pages
...chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentaij la misère et appelait son savant ; la toiture s'y...avait place pour un lit, une table, quelques chaises. » C'est là que l'ancien élève du collège de Vendôme se nourrissait en futur grand homme, c'est-àdire... | |
| Honoré de Balzac - 1879 - 670 pages
...chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y...sous l'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano. N'étant pas assez riche pour meubler cette cage digne des Plombs de Venise, la pauvre femme n'avait... | |
| Honoré de Balzac - 1888 - 340 pages
...chargées de linge.Ricn n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y...l'angle aigu du toit je pouvais loger mon .piano. N'étant pas assez riche pour meubler cette cage digne des Plomb» de Venise, la pauvre femme n'avait... | |
| Honoré de Balzac - 1888 - 330 pages
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| Honoré de Balzac - 1875 - 664 pages
...chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y...sous l'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano. N'étant pas assez riche pour meubler cette cage digne des Plombs de Venise, la pauvre femme n'avait... | |
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