J'avais éprouvé de si extrêmes contentements depuis que j'avais commencé à me servir de cette méthode, que je ne croyais pas qu'on en pût recevoir de plus doux ni de plus innocents en cette vie ; et découvrant tous les jours, par son moyen, quelques... Oeuvres de Descartes - Page 18by René Descartes - 1850 - 618 pagesFull view - About this book
| Eugène Geruzez - French literature - 1852 - 570 pages
...outrages : « J'avais éprouvé, disait-il, de si extrêmes contentements depuis que j'avais commencé à me servir de cette méthode , que je ne croyais...mon esprit, que tout le reste ne me touchait point. Dieu nous ayant donné a chacun quelque lumière pour discerner le vrai d'avec le Taux, je n'eusse... | |
| Eugène Geruzez - French literature - 1852 - 610 pages
...outrages : « J'avais éprouvé , disait-il , de si extrêmes contentements depuis que j'avais commencé a me servir de cette méthode , que je ne croyais pas...mon esprit, que tout le reste ne me touchait point. Dieu nous ayant donné à chacun quelque lumière pour discerner le vrai d'avec le faux, je n'eusse... | |
| Eugène Geruzez - French literature - 1861 - 524 pages
...outrages : « J'avais éprouvé, disait-il, de si extrêmes contentements depuis que j'avais commencé à me servir de cette méthode, que je ne croyais...pût recevoir de plus doux ni de plus innocents en cetle vie; et découvrant tous les jours par son moyen quelques vérités qui me semblaient assez importantes... | |
| Eugène Geruzez - French literature - 1861 - 524 pages
...outrages : « J'avais éprouvé, disait-il, de si extrêmes contentements depuis que j'avais commencé à me servir de cette méthode, que je ne croyais pas qu'on en put recevoir de plus doux ni de plus innocents en cette vie; et découvrant tous les jours par son... | |
| Charles Louandre - French literature - 1863 - 294 pages
...je m'étais prescrite. J'avais éprouvé de si extrêmes contentements depuis que j'avais commencé à me servir de cette méthode, que je ne croyais...que j'en avais remplissait tellement mon esprit, que tout'le reste ne me touchait point. Outre que les trois maximes précédentes n'étaient fondées que... | |
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1863 - 108 pages
...queje m'étais prescrite. J'avais éprouvé de si extrêmes contentements depuis que j'avais commencé à me servir de cette méthode, que je ne croyais pas qu'on en pût recevoir deplus doux ni de plus innocents en cette vie; et découvrant tous les jours par son moyen quelques... | |
| René Descartes - 1864 - 482 pages
...je m'étais prescrite. J'avais éprouvé de si extrêmes contentements depuis que j'avais commencé à me servir de cette méthode, que je ne croyais...tout le reste ne me touchait point. Outre que les trois maximes précédentes n'étaient fondées que sur le dessein que j'avais de continuer à m'instruire... | |
| René Descartes - Philosophy - 1865 - 466 pages
...extrêmes contentements depuis que j'avois commencé à me servir de cette méthode, que je ne croyois pas qu'on en pût recevoir de plus doux ni de plus...les jours, par son moyen, quelques vérités qui me sembloient assez importantes et communément ignorées des autres hommes, la satisfaction que j'en... | |
| J. Millet - Philosophy, Modern - 1867 - 542 pages
...extrêmes contentements, depuis qu'il avait commencé à se servir de sa Méthode, qu'il ne croyait pas qu'on en pût recevoir de plus doux ni de plus innocents en cette vie (1). La satisfaction qu'il éprouvait de ses découvertes remplissait tellement son âme, que tout... | |
| J. Millet - Philosophy, Modern - 1867 - 540 pages
...extrêmes contentements, depuis qu'il avait commencé à se servir de sa Méthode, qu'il ne croyait pas qu'on en pût recevoir de plus doux ni de plus innocents en cette vie (1). La satisfaction qu'il éprouvait de ses découvertes (1) V. Disc, de la Métb., part. II et III.... | |
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