 | Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 528 pages
...son successeur une leçon salutaire. Malherbe sentit tout ce qu'il lui restoit à faire ; et bientôt Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée. . C'en eût été assez pour rendre son nom à jamais célèbre; mais il fit plus; il parcourut le... | |
 | François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux - 1822 - 446 pages
...Et cependant on sait on en .était alors notre langue; Malherbe n'était pas venu; ce fut lui qui, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence. Aprè* lui Regnier , et surtout Corneille , ont commencé à faire notre langue poétique , que Boileau... | |
 | L. J. M. Carpentier - French language - 1822 - 1216 pages
...c'est à Malherbe que l'on doula correction de ce défaut de notre versification. Malherbe enfin parut Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude a l'oreille épurée. Les Elances avec grâce apprirent à tomber, Et le vers lur le vers n'osa plus... | |
 | Nicolas Boileau-Despréaux - 1823 - 394 pages
...pédaatesque. Ce poète orgueilleux , trébnché de si haut, Rendit glus retenus Desportes et Boitant. Eufiu Malherbe vint, et, le premier en France , Fit sentir...Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce saga écrivain la langue rcparée N'oOrk plus rien de rv.de à l'oreille épurée. Les stances avec... | |
 | Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1823 - 576 pages
...chose facile. C'est pourquoi, i 1 C'est le fameux poète, natif de Caen, qui a fait dire à Boileau: Enfin Malherbe vint, et le premier en France Fit sentir...pouvoir Et réduisit la muse aux règles du devoir. 1l mourut à Paris, sous le règne de.Louis XIII, en ifiig. Les meilleures éditions de ses œuvres... | |
 | François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux - French drama - 1823 - 544 pages
...Et cependant on sait où en était alors notre langue ; Malherbe n'était pas venu; ce fut lui qui, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence. Après lui Regnier, et surtout Corneille, ont commencé à faire notre langue poétique , que Boileau... | |
 | Étienne de Jouy - France - 1823 - 494 pages
...que nous aperçûmes bientôt à gauche, en descendant la rue , nous révéla le berceau du poete qui le premier en France Fit sentir dans les vers une juste cadence. Son élégie sur la mort de mademoiselle Dupérier réunit une hauteur de pensées , une délicatesse... | |
 | Constant Taillard - France - 1824 - 664 pages
...inscription indique la maison qu'habitait le poète Malherbe, loué par Boileau dans les vers suivans : Enfin Malherbe vint , et , le premier en France ...., D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et re'duisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage e'crivain la langue reparee N'offrit plus rien... | |
 | Dubroca - Elocution - 1824 - 602 pages
...sentir dans les vers une juste cadence ; D'nn mot mis à sa place enseigna le pouvoir , Et reduisit la Muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain...N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée. (i) L:anctem^ prononciation autorisait cette rime. Les stances avec grâce apprirent à tomber; Et... | |
 | Thomas Frognall Dibdin - 1825 - 386 pages
...VINT. Elle est tirée de ce passage bien connu de Y Art poétique de Boileau , commençant ainsi : Enfin Malherbe vint ; et , le premier en France ,...pouvoir . Et réduisit la muse aux règles du devoir. Le profil de madame de Sévigné, exécuté par le même habile graveur ( M. GATTF.AUX ) , est d'un... | |
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Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir. 
