| Anatole Feugère - 1906 - 488 pages
...t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au cœur! I! disait : « Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté, Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer, prier,... | |
| Julien Luchaire - Italy - 1906 - 376 pages
...l'homme, et à la bénignité de la nature! Qu'on se rappelle la fin de la Mort du Loup : A voir ce quo l'on fut sur terre et ce qu'on laisse. Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse (jémir, pleurer, prier est également l:\che... et la prosopopée de la nature dans la Maison du Berger... | |
| Auguste Dorchain - French poetry - 1907 - 190 pages
...sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est VOUB qui le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse,...le silence est grand ; tout le reste est faiblesse. — Ah! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au cœur !... | |
| Edmond Estève - Comparative literature - 1907 - 598 pages
...sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux. C'est vous qu! le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse,...le silence est grand, tout le reste est faiblesse . — Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au cœur... | |
| French poetry - 1907 - 536 pages
...t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au cœur ! Il disait : ' Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer, prier,... | |
| St. John Lucas - French periodicals - 1908 - 542 pages
...sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est vous qui le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse,...le silence est grand ; tout le reste est faiblesse. — Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au cœur !... | |
| Léon Séché - Authors, French - 1908 - 500 pages
...vers de Pons, dont il semble s'être souvenu longtemps après, quand il dit dans la Mort du loup : A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse, Seul le silence est grand, tout le reste est faiblessse. . . Gémir, pleurer, prier est également lâche, Fais énergiquement ta longue et lourde... | |
| Francis Yvon Eccles - French poetry - 1909 - 399 pages
...sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, 75 C'est vous qui le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse,...le silence est grand ; tout le reste est faiblesse. — Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au cœur !... | |
| Léon Séché - 1909 - 442 pages
...vers de Pons, dont il semble s'être souvenu longtemps après, quand il dit dans la Mort du loup : A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse, Seul le silence est grand, tout le reste est faiblessse... Gémir, pleurer, prier est également lâche, Fais énergiquement ta longue et lourde... | |
| French poetry - 1910 - 188 pages
...sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est vous qui le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse,...le silence est grand ; tout le reste est faiblesse. —Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au cœur !... | |
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