Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention /et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait... System der Logik und Geschichte der logischen Lehren - Page 35by Friedrich Ueberweg - 1868 - 427 pagesFull view - About this book
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - France - 1860 - 832 pages
...forme générale, qui les rend applicables à toute espèce de recherches, et même aux mathématiques. «Diviser chacune des difficultés que j'examinerais...se pourrait et qu'il serait requis, pour les mieux ré« soudre. — Faire partout des dénombrements si entiers et des revues si ('générales, que je... | |
| Victor Cousin - 1861 - 552 pages
...soigneusement la précipitation et la préven« tion, et de ne comprendre rien de plus en mesjuge« ments que ce qui se présenterait si clairement et si «...que je n'eusse aucune « occasion de le mettre en doute1. » Ainsi ce que recommande avant tout Descartes, c'est de se faire en toutes choses des idées... | |
| Victor Cousin - Philosophy - 1861 - 558 pages
...soigneusement la précipitation et la préven« lion, et de ne comprendre rien de plus en mes juge« ments que ce qui se présenterait si clairement et si «...que je n'eusse aucune « occasion de le mettre en doute1. » Ainsi ce que recommande avant tout Descartes, c'est de se faire en toutes choses des idées... | |
| Charles-Edouard Brown-Séquard - Physiology - 1863 - 750 pages
...RÉSULTATS GÉNÉRAUX. « Je me suis donné pour précepte, a dit Descartes, d'éviter « en toutes choses la précipitation et la prévention, et de ne « comprendre...je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. » C'est la meilleure et la plus sûre régle qui puisse guider la raison dans la recherche de la vérité.... | |
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1863 - 108 pages
...c'est-à-dire, d'é\iter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement...Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinesujets et de résoudre toutes les questions générales posées en forme. Après avoir joui... | |
| Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc - Architecture - 1863 - 532 pages
...d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne com» prendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si » clairement...distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occa» sion de le mettre en doute. » Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais... | |
| Charles Louandre - French literature - 1863 - 294 pages
...comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairemejit et si distinctement en mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Au lieu de ce grand nombre de préceptes dont la logique est composée, je crus que j'aurais assez... | |
| Louis François Jéhan - Philosophy - 1864 - 668 pages
...c'est-à-diro d'éviter soigneusement la précipilation et la preven lion, et de ne comprendre rien d« plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement...à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le maître en doute. « II. Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant... | |
| François Réthoré - Experience - 1864 - 386 pages
...c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements, que ce qui se présenterait si clairement...distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de la mettre en doute. » (Discours de la méthode.} vrai qu'il n'admette d'autre évidence que l'évidence... | |
| Jean Marie Constant Duhamel - 1865 - 618 pages
...c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement...» Le second, de diviser chacune des difficultés, etc., etc. » Descaries ne faisait donc pas plus cas que Bacon de la logique de son temps; il croit... | |
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