| Paul-Louis Courier - 1851 - 624 pages
...imitable qu'un autre. Par malheur, il n'a eu longtemps pour interprètes que des gens tout à fait de la bonne compagnie, des académiciens, gens pensant noblement...même, qui, avec leurs idées de beau monde et de savoir-vivre, ne pouvaient goûter ni sentir, encore moins représenter le style d'Hérodote. Aussi... | |
| Paul-Louis Courier - 1863 - 628 pages
...longtemps pour interprètes que des gens tout à fait de la bonne compagnie, des académiciens,.gens pensant noblement et s'exprimant de même, qui, avec leurs idées de beau monde et de savoir-vivre, ne pouvaient goûter ni sentir, encore moins représenter le style d'Hérodote. Aussi... | |
| Friesland (Netherlands) - 1865 - 496 pages
...tout a fait de Ia bonne compagnie , „ des académiciens , gens pensant noblement et s'expri„ mant de même, qui avec leurs idées de beau monde „ et de savoir vivre, ne pouvaient goüter ni sentir, encore „ moins représenter Ie style d'Herodote. Aussi n'y ont „ ils pas songé.... | |
| Julian Schmidt - French literature - 1874 - 674 pages
...compliments . . . Par malheur, il n'a eu longtemps pour interprètes que des gens tout à fait de la bonne compagnie, des académiciens, gens pensant noblement...même, qui, avec leurs idées de beau monde et de savoir-vivre, ne pouvaient goûter ni sentir, encore moins sentir le style d'Hérodote Cette rage d'ennoblir,... | |
| France - 1891 - 1120 pages
...primitifs de notre littérature, c'est-à-dire la langue du xvic siècle. « Car — dit-il — nn homme du peuple, un paysan, sachant le grec et le français, y pourra réussir, si la chose est possible. C'est ce qui m'a décidé à entreprendre ceci, où j'emploie, comme on va voir, non la lanfue... | |
| Justin Bellanger - Classical literature - 1903 - 154 pages
...des primitifs de notre littérature, c'est-à-dire la langue du xvi' siècle. « Car — dit-il — un homme du peuple, un paysan, sachant le grec et le français, y pourra réussir, si la chose est possible. C'est ce qui m'a décidé à entreprendre ceci, où j'emploie, comme on va voir, non la langue... | |
| |