| J. Millet - 1867 - 546 pages
...connaît uniquement comme chose pensante, puisqu'il n'est que parce qu'il pense, il s'ensuit qu'il est une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser , et qu'il est entièrement distinct du corps. J'ai essayé de faire bien comprendre le raisonnement de... | |
| J. Millet - 1867 - 548 pages
...connaît uniquement comme chose pensante, puisqu'il n'est que parce qu'il pense, il s'ensuit qu'il est une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qu'il est entièrement distinct du corps. J'ai essayé de faire bien comprendre le raisonnement de... | |
| Charles Secrétan - 1868 - 102 pages
...cela que je ne fusse point, je connus bien de là que j'étais une substance dont toute l'essence est de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu,...ne dépend d'aucune chose matérielle, en sorte que l'âme est entièrement distincte du corps » (Descaries, Discours dela méthode, édit. Cousin, t.... | |
| Baguenault de Puchesse (M., Fernand) - 1868 - 484 pages
...existence, je conclus toujours avec Descartes : « Que je suis une substance dont toute l'essence et la nature n'est que de penser, et qui, pour être, n'a besoin d'aucun lieu et d'aucune chose matérielle, en sorte que ce moi, c'est-à-dire l'âme, par laquelle je suis ce que... | |
| Théophile Funck-Brentano - Philosophy - 1868 - 558 pages
...conclus donc fort bien que mon essence " consiste en cela seul que je suis une chose qui pense, ou " une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que " de penser; car j'ai d'un côté une idée claire et distincte de " moi-même en tant que je suis seulement une... | |
| Dr Bertrand de Saint-Germain (Guillaume-Scipion) - Physiology - 1869 - 558 pages
...pente, je conclus fort bien que mon essence consiste en cela seul que je suis une chose qui pense, ou une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser. Et quoique peut-être, ou plutôt certainement, j'aie un corps auquel je suis Irès-étroitement conjoint;... | |
| Charles Bénard - Philosophy - 1870 - 966 pages
...la pensée. Aussi, je puis avoir de l'être pensant et de ses actes une idée très(1) o Je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence...la nature n'est que de penser, et qui, pour être, n'ap:is besoin d'aucun lien. » (Disc, de ia Mcth., IV» part.) — Cf. Méd. II et IV; Malebronche,... | |
| Henri Dufaÿ - 1876 - 296 pages
...supposi» tions des sceptiques ne sont pas capables de l'ébran» ler... » « Je connais que je suis une substance dont toute » l'essence ou la nature...» d'aucune chose matérielle; en sorte que ce moi, c'est» à-dire l'âme, par laquelle je suis ce que je suis, est » entièrement distincte du corps... | |
| René Descartes - Philosophy - 1876 - 466 pages
...que j'avois imaginé eût été vrai, je n'avois aucune raison de croire que j'eusse été, je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est queje penser, et .qui, pour être, n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend.djiucune chose matérielle... | |
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1877 - 400 pages
...j'avais jamais imaginé eût été vrai, je n'avais aucune raison de croire que j'eusse été3: je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence...c'est-à-dire l'âme, par laquelle je suis ce que je au liou que je m'en aera pour faire connaître que ce moi qui pense est une •ubslance immatérielle,... | |
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