| Louis Auguste Gruyer - Philosophy - 1832 - 460 pages
...pense, je conclus fort bien que mon essence consiste en cela seul que je suis une chose qui pense , ou une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser. » J'ai déjà assez soigneusement examiné cette ques-, tion dans l'article III ci-dessus, et j'ai... | |
| René Descartes - 1834 - 640 pages
...je con« elus fort bien que mon essence consiste en cela seul que « je suis une chose qui pense ou une substance dont « toute l'essence ou la nature n'est que de penser. » Ce serait ici où je me voudrais arrêter, mais où il suffit de répéter ce que j'ai déjà allégué... | |
| René Descartes - 1835 - 654 pages
...j'avais imaginé eût été vrai, je n'avais aucune raison de croire que j'eusse été6, je connus delà que j'étais une substance dont toute l'essence ou...chose matérielle , en sorte que ce moi, c'est-à-dire l'ame , par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement distincte du corps, et même 1 Voyez... | |
| René Descartes - Philosophy - 1835 - 656 pages
...j'avais imaginé eût été vrai, je n'avais aucune raison de croire que j'eusse été6, je connus delà que j'étais une substance dont toute l'essence ou...d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle 7 , en sorte que ce moi, c'est-à-dire l'ame, par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement... | |
| René Descartes - Philosophy - 1842 - 626 pages
...j'avais imaginé eût été vrai, je n'avais aucune raison de croire que j'eusse été , je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que'de penser, et qui, pour être, n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle... | |
| 1844 - 508 pages
...dans Descartes. Ecoutonsle : « Je vis que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps...; je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence...c'està-dire l'âme , par laquelle je suis ce que je suis1... » Assurément, sans l'âme, nous ne serions pas ce que nous sommes, nous he serions pas hommes,... | |
| 1844 - 976 pages
...dans Descartes. Ecoutonsle : « Je vis que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps...; je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence...chose matérielle, en sorte que ce moi , c'està-dire l'Ame , par laquelle je suis ce que je suis1... »"' Assurément, sans l'Ame, nous ne serions pas ce... | |
| Pierre Laromiguière - Philosophy - 1844 - 532 pages
...jamais imaginé eût été vrai, je n'avais aucune raison de croire que j'eusse été ; je connus de la que j'étais une substance dont toute l'essence ou...dépend d'aucune chose matérielle; en sorte que ce moi, c'est-a-dire l'âme, par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement distincte du corps, et même... | |
| Pierre Flourens - Naturalists - 1844 - 440 pages
...que la philosophie de Descartes est la grande philosophie. .... « Ju connus de là, dit Descartes, que j'étais une substance dont toute l'essence ou...la nature n'est que de penser, et qui pour être... ne dépend d'aucune chose matérielle ; en sorte que ce moi , c'est-à-dire l'âme, par laquelle je... | |
| Agriculture - 1844 - 840 pages
...existence, n'en demeure pas moins évidente. De là Descartes conclut que « le moi est une substance dont l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui, pour être, n'a pas besoin d'aucun lien, ni ne dépend d'aucune chose matérielle ; en sorte que ce moi, c'est-à-dire... | |
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