...d' Horace, à qui Molière s'en prend ouvertement : Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver...d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes... Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez. Ce sont des portraits à plaisir,...

...Voici ses adieux à la tragédie : (Critique de l'École des femmes, 1662.) Il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la Fortune, accuser le destin et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes, et...

...plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver envers la fortune, accuser les deslins et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans les ridicules des hommes. Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez mais, lorsque...

...qui Molière s'en prend ouvertement : Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guindcr sur de grands sentiments, de braver en vers la Fortune, accuser les Deslins, et dire des injures aux Dieux que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes... Lorsque...

...comédie, peut-être que vous ne vous abuseriez pas. Car enfin je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver...il faut dans le ridicule des hommes, et de rendre agréablement sur le théntre les défauts de tout le monde. Lorsque vous peignez des héros, vous...

...envers le tragique. « Il est bien plus aisé, disait-il (dans la Critique de l'École des femmes), de se guinder sur de grands sentiments, de braver...comme il faut dans le ridicule des hommes et de rendre agréablement sur le théâtre les défauts de tout le monde. » En cela Molière s'abusait un peu...

...connaît ce passage de la Critique de l'École des femmes : « Je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver...les destins et dire des injures aux dieux, que... de rendre agréablement sur le théâtre les défauts de tout le monde. Lorsque vous peignez des héros......

...péripéties multipliées. Il repousse, même avec un dédain excessif, le héros de tragédie romanesque : o braver en vers la fortune, accuser les destins et dire des injures aux dieux », lui paraît trop facile ; il dédaigne de « faire des portraits à plaisir où l'on ne cherche...

...péripéties multipliées. Il repousse, même avec un dédain excessif, le héros de tragédie romanesque : « braver en vers la fortune, accuser les destins et dire des injures aux dieux », lui paraît trop facile ; il dédaigne de o faire des portraits à plaisir où l'on ne cherche...

...d' Horace, à qui Molière s'en prend ouvertement : Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la Foi-lune, accuser les Destins, et dire des injures aux Dieux que d'entrer comme il faut dans le ridicule...