 | Gioacchino Rossini - 1907 - 98 pages
...FIGARO. Eh non, ce n'est pas un abbé. Cet air altier et noble... LE COMTE. Cette tournure grotesque... FIGARO. Je ne me trompe point, c'est le comte Almaviva. LE COMTE. FIGAHO. C'est lui-même, monseigneur. LE COMTE. Maraud! si tu dis un mot.. / FIGARO. Oui, je vous reconnais... | |
 | Gioacchino Rossini - 1909 - 98 pages
...COMTE. Cette tournure grotesque... FIGARO. Je ne me trompe point, c'est le comte Almaviva. LE COMTE. FIGARO» C'est lui-même, monseigneur. LE COMTE. Maraud...vous reconnais ; voilà les bontés familières dont votre excellence m'a toujours honoré. LE COMTE. Appelle-moi Lindor. Ne vois-tu pas à mon déguisement... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1909 - 130 pages
...ce n'est pas un abbé! Cet air altier et noble . . . LE COMTE. Cette tournure grotesque . . . FIG. Je ne me trompe point; c'est le comte Almaviva. LE COMTE. Je crois que c'est ce coquin de Figaro. FIG. C'est lui-même, Monseigneur. LE COMTE. Maraud ! si tu dis un mot . . . FIG. Oui, je vous reconnois;... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1909 - 120 pages
...Cet homme ne m'est pas inconnu FiG. Et non, ce n'est pas un abbé î Cet air aîtier et noble . FIG. Je ne me trompe point; c'est le comte Almaviva. LE COMTE. Je crois que c'est ce coquin de Figaro. FIG. C'est lui-même, Monseigneur. LE COMTE. Maraud! si tu dis un mot . . . FIG. Oui, je vous reconnois;... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1909 - 132 pages
...C'est lui-même, Monseigneur. LE COMTE. Maraud! si tu dis un mot . . . FIG. Oui, je vous reconnois; voilà les bontés familières dont vous m'avez toujours honoré. LE COMTE. Je ne te reconnoissois pas, moi. Te voilà si gros et si gras . . . FIG. Que voulez-vous, Monseigneur, c'est... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - Figaro (Fictitious character) - 1913 - 190 pages
...non, ce n'est pas un abbé ! Cet air altier et noble . . . LE COMTE Cette tournure grotesque ... 20 FIGARO Je ne me trompe point ; c'est le comte Almaviva. LE COMTE FIGARO C'est lui-même, monseigneur. LE COMTE Maraud ! si tu dis un mot . . . FIGARO Oui, je vous reconnais... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - Figaro (Fictitious character) - 1913 - 192 pages
...non, ce n'est pas un abbé ! Cet air altier et noble . . . LE COMTE Cette tournure grotesque ... 2° FIGARO Je ne me trompe point ; c'est le comte Almaviva. LE COMTE FIGARO C'est lui-même, monseigneur. LE COMTE Maraud I si tu dis un mot. . . FIGARO Oui, je vous reconnais... | |
 | P. Gonneau, Christian Sénéchal - France - 1920 - 488 pages
...Eh I non, ce n'est pas un abbé ! Cet air altier et noble... LE COMTE. Cette tournure grotesque.... FIGARO. Je ne me trompe point, c'est le comte Almaviva....LE COMTE. Je crois que c'est ce coquin de Figaro! (1) J. LEMAITRE (1853-1915). Critique littéraire : Les Contemporains. — Impressions de théâtre.... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1923 - 356 pages
...FIGARO. Eh! non, ce n'est pas un abbé ! Cet air aUier et noble... LE COMTE. Cette tournure grotesque... FIGARO. Je ne me trompe point; c'est le comte Almaviva....monseigneur. LE COMTE. Maraud! si tu dis un mot... LE COMTE. Je ne te reconnaissais pas, moi. Te voilà si gros et si gras... FIGARO. Que voulez-vous,... | |
 | Janette C. Gatty - Dramatists, French - 1976 - 384 pages
...l'inégalité des conditions, et des intellects. On ne saurait renvoyer la balle avec plus d' à-propos: Le Comte — Je crois que c'est ce coquin de Figaro....Figaro — C'est lui-même, monseigneur. Le Comte — Maraudl si tu dis un mot . . . Figaro — Oui, je vous reconnais; voilà les bontés familières... | |
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C'est lui-même, Monseigneur. Le Comte. Maraud ! si tu dis un mot. . . Figaro. Oui, je vous reconnais ; voilà les bontés familières dont vous m'avez toujours honoré. 
