...pareille à la sienne. J'ai voulu traiter la philosophie d'une manière qui ne fût point philosophique ; j'ai tâché de l'amener à un point, où elle ne...sèche pour les gens du monde, ni trop badine pour les savants. Mais si on me dit à peu près comme à Cicéron, qu'un pareil ouvrage n'est propre ni aux...

...traitées qu'en Grec... J'ai voulu traiter la philosophie d'une manière qui ne fût point philosophique, j'ai tâché de l'amener à un point où elle ne fût...sèche pour les gens du monde, ni trop badine pour les savants... J'avertis ceux à qui ces matières sont nouvelles que j'ai cru pouvoir les instruire et...

...traiter la philosophie d'une manière qui ne i'ût point philosophique », et « l'amener à un point oà elle ne fût ni trop sèche pour les gens du monde, ni trop badine pour les savants ». A partir de Fontenelle, il sera donc établi que l'on peut parler littérairement de science,...

...xvin' siècle, tenter d'amener, comme on disait alors, la philosophie à un point, où elle ne fui ni trop sèche pour les gens du monde ni trop badine pour les savants. Mais les sciences se spécialisent singulièrement, et la nécessité d'un langage particulier...

...BRUNEL, « Les Poésies pastorales », in : A. Niderst, Fontenelle, Paris : PUF, 1989, pp. 137-149. ni trop sèche pour les gens du monde, ni trop badine pour les savants »5 dit Fontenelle dans sa préface. L'idée de juste milieu évoquée ici glisse vers un certain...

...littérature et la poésie. C'est bien la vulgarisation scientifique toile que la rêvait Fontenelle, « ni trop sèche pour les gens du monde, ni trop badine pour les savants. » Mais voilà que sans y prendre garde nous avons mis le livre de M. Jacottet parmi les œuvres...