ProseHenri Bornecque Larousse, 1924 - French literature |
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... voyait les signaux du porte - étendard qui plantait le jalon des lignes , la course impétueuse du cavalier , les ondulations des soldats qui se nivelaient sous le cep du centurion 3. On entendait de toutes parts les grêles hennissements ...
... voyait les signaux du porte - étendard qui plantait le jalon des lignes , la course impétueuse du cavalier , les ondulations des soldats qui se nivelaient sous le cep du centurion 3. On entendait de toutes parts les grêles hennissements ...
Page 126
... la nation des Iroquois , mon guide me conduisit dans une forêt . Au milieu de cette forêt , on voyait une espèce de grange ; je trouvai dans cette grange une vingtaine de sauvages , hommes et femmes , 126 CHATEAUBRIAND ---
... la nation des Iroquois , mon guide me conduisit dans une forêt . Au milieu de cette forêt , on voyait une espèce de grange ; je trouvai dans cette grange une vingtaine de sauvages , hommes et femmes , 126 CHATEAUBRIAND ---
Page 146
... voyait et n'entendait plus rien . Le visage de la Thénardier prit cette expression particu- lière qui se compose du terrible mêlé aux riens de la vie et qui fait nommer ces sortes de femmes : mégères . Cette fois , l'orgueil blessé ...
... voyait et n'entendait plus rien . Le visage de la Thénardier prit cette expression particu- lière qui se compose du terrible mêlé aux riens de la vie et qui fait nommer ces sortes de femmes : mégères . Cette fois , l'orgueil blessé ...
Page 151
... voyait . Voilà ce que c'est que la France . Avec elle , rien n'est fini ; toujours à recommencer . Quand nos paysans gaulois chassèrent un moment les Romains et firent un empire des Gaules 3 , ils mirent sur leur monnaie le premier mot ...
... voyait . Voilà ce que c'est que la France . Avec elle , rien n'est fini ; toujours à recommencer . Quand nos paysans gaulois chassèrent un moment les Romains et firent un empire des Gaules 3 , ils mirent sur leur monnaie le premier mot ...
Page 174
... voyait entre les arbres courir les esclaves des cuisines , effarés et à demi nus ; les gazelles sur les pelouses s'enfuyaient en bêlant ; le soleil se couchait , et le parfum des citronniers rendait encore plus lourde l'exhalaison de ...
... voyait entre les arbres courir les esclaves des cuisines , effarés et à demi nus ; les gazelles sur les pelouses s'enfuyaient en bêlant ; le soleil se couchait , et le parfum des citronniers rendait encore plus lourde l'exhalaison de ...
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ANTHOL avez Azelma BAYARD beau belle Bergeret bêtes bois c'était cents chambre cher cheval chose ciel cœur Colin corps Cosette coup Crainquebille devant Dieu dire discours DON JUAN drapeau ÉMILE AUGIER ÉMILE ZOLA enfants enfin êtes Fabrice faisait femme fille GASTON gens GÉRONTE gloire Gourville HARPAGON homme HONORÉ DE BALZAC j'ai j'étais jamais Jeannot jour L'AÏEUL l'esprit L'ONCLE laisser législative lettres Louis Louis XIV madame main MAÎTRE DE PHILOSOPHIE MAÎTRE JACQUES manger ment misère monde MONSIEUR DIMANCHE monsieur Grandet MONSIEUR ROBERT mort mourir n'avait Napoléon Ier nuit parler passer pensées père père Goriot petite peuple pieds plaisir poésie poupée premier prince PROSE puissance exécutrice qu'un raison regard reste rien Riquet Romains sais SCAPIN semble sentir sera seul SGANARELLE soir soldats sorte sous-préfet Tarascon Tartarin Tartarin de Tarascon terre tête Thénardier trouve vais VALÈRE Vatel venir veux voilà vrai yeux Yonville Zadig