Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
From inside the book
Results 6-10 of 33
Page 24
Voltaire Pierre Augustin Caron de Beaumarchais. Brûlante flamme , affreux tonnerre Ciel ! ô Ciel ! fommes - nous Au jour où doit périr la terre L E RO I. ? Sufpends , fufpends cette rigueur , Miniftre impérieux d'un dieu plein de fureur ...
Voltaire Pierre Augustin Caron de Beaumarchais. Brûlante flamme , affreux tonnerre Ciel ! ô Ciel ! fommes - nous Au jour où doit périr la terre L E RO I. ? Sufpends , fufpends cette rigueur , Miniftre impérieux d'un dieu plein de fureur ...
Page 28
... tonnerre , l'affreux orage , Dans les champs font moins de ravage Que fon nom feul en a produit Chez le Philiftin plein de rage . Tous ceux qui voulaient arrêter Ce fier torrent dans fon paffage N'ont fait que l'irriter : Ils font ...
... tonnerre , l'affreux orage , Dans les champs font moins de ravage Que fon nom feul en a produit Chez le Philiftin plein de rage . Tous ceux qui voulaient arrêter Ce fier torrent dans fon paffage N'ont fait que l'irriter : Ils font ...
Page 43
... tonnerre , tout nous affure Que du dieu des combats il eft abandonné . DALIL A. Que faites - vous , peuple parjure ? SAMSON . Quoi ! de mes ennemis je fuis environné ? Tombez , tyrans .... ( il combat . ) LES PHILISTINS . Cédez ...
... tonnerre , tout nous affure Que du dieu des combats il eft abandonné . DALIL A. Que faites - vous , peuple parjure ? SAMSON . Quoi ! de mes ennemis je fuis environné ? Tombez , tyrans .... ( il combat . ) LES PHILISTINS . Cédez ...
Page 46
... tonnerre , Ecrafez - moi ! Mon bras a refufé de fervir mon courage ; Je fuis vaincu , je fuis dans l'efclavage ; Je ne te verrai plus , flambeau facré des cieux ; Lumière , tu fuis de mes yeux . Lumière , brillante image D'un Dieu ton ...
... tonnerre , Ecrafez - moi ! Mon bras a refufé de fervir mon courage ; Je fuis vaincu , je fuis dans l'efclavage ; Je ne te verrai plus , flambeau facré des cieux ; Lumière , tu fuis de mes yeux . Lumière , brillante image D'un Dieu ton ...
Page 47
... ! Profonds abymes de la terre , Enfer , ouvre - toi ! Frappez , tonnerre , Ecrafez - moi ! SAMSON et DEUX CORYPHÉES . Trio . Amour , tyran que je déteste , Tu détruis la vertu , tu traînes fur tes pas ACTE CINQUIEM E. 47 SCENE II. ...
... ! Profonds abymes de la terre , Enfer , ouvre - toi ! Frappez , tonnerre , Ecrafez - moi ! SAMSON et DEUX CORYPHÉES . Trio . Amour , tyran que je déteste , Tu détruis la vertu , tu traînes fur tes pas ACTE CINQUIEM E. 47 SCENE II. ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.