Oeuvres choisies de Descartes |
From inside the book
Results 6-10 of 51
Page 54
... question de parler des autres , oblige à confesser franchement qu'on les ignore . Que s'ils préfèrent la connoissance de quelque peu de vérité à la vanité de paroître n'ignorer rien , comme sans doute elle est bien préférable , et . qu ...
... question de parler des autres , oblige à confesser franchement qu'on les ignore . Que s'ils préfèrent la connoissance de quelque peu de vérité à la vanité de paroître n'ignorer rien , comme sans doute elle est bien préférable , et . qu ...
Page 60
... questions de Dieu et de l'âme étoient les principales de celles qui doivent plutôt être démontrées par les raisons de la / philosophie que de la théologie : car bien qu'il nous suffise , à ' nous autres qui sommes fidèles , de croire ...
... questions de Dieu et de l'âme étoient les principales de celles qui doivent plutôt être démontrées par les raisons de la / philosophie que de la théologie : car bien qu'il nous suffise , à ' nous autres qui sommes fidèles , de croire ...
Page 62
... questions sont autant de démonstrations quand elles sont bien entendues , et qu'il soit presque impossible d'en inventer de nouvelles ; si est - ce que je crois qu'on ne sauroit rien faire de plus utile en la philosophie que d'en ...
... questions sont autant de démonstrations quand elles sont bien entendues , et qu'il soit presque impossible d'en inventer de nouvelles ; si est - ce que je crois qu'on ne sauroit rien faire de plus utile en la philosophie que d'en ...
Page 64
... qui ont jamais été touchant ces deux questions ne soient bientôt effacées de l'esprit des hommes . Car la vérité fera que tous les doctes et gens d'esprit sous- criront à votre jugement et votre autorité ; que les 64 ÉPITRE.
... qui ont jamais été touchant ces deux questions ne soient bientôt effacées de l'esprit des hommes . Car la vérité fera que tous les doctes et gens d'esprit sous- criront à votre jugement et votre autorité ; que les 64 ÉPITRE.
Page 65
... son doute produit ; mais je n'aurois pas ici bonne grâce de recommander davantage la cause de Dieu et de la religion à ceux qui en ont toujours été les plus fermes colonnes . PRÉFACE J'ai déjà touché ces deux questions de Dieu et ÉPITRE 65.
... son doute produit ; mais je n'aurois pas ici bonne grâce de recommander davantage la cause de Dieu et de la religion à ceux qui en ont toujours été les plus fermes colonnes . PRÉFACE J'ai déjà touché ces deux questions de Dieu et ÉPITRE 65.
Other editions - View all
Common terms and phrases
actions âme angles d'incidence artères assez avoit avons besoin c'est-à-dire cause cerveau chaleur chose qui pense clairement et distinctement cœur concevoir conçois connoissance connoître conséquent considérer contraire corporelle corps coutume d'autres démontrer dépend dépendent Descartes différence dire diverses doute effet esprit étoient étoit excite exemple existe façon faculté figure géométrie glande grandeur haine hommes humain idées illas imagination infinité j'ai j'avois j'étois jamais joie jointe jugement l'âme l'esprit l'étendue l'existence de Dieu l'idée l'imagination l'irrésolution libre arbitre lorsqu'il lorsqu'on mathématiques Méditations ment méthode moi-même mouvement moyen muscles n'y a rien nature néanmoins nécessaire nerfs nerfs optiques objets opinions paroît passions perfection persuader peuvent philosophie Poliandre poumon pourroit pouvoir pouvons première principe puisse qu'une quelquefois question raison règle remarquer sang sauroit savoir sciences semblables semble sens sentir seroit seulement simples sion soient sorte souvent substance sujet syllogisme tence tion toutefois triangle tristesse trouve veines vérité vois volonté vrai
Popular passages
Page 14 - Ces longues chaînes de raisons, toutes simples et faciles, dont les géomètres ont coutume de se servir pour parvenir à leurs plus difficiles démonstrations...
Page 14 - de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle ; c'est-àdire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, 20 et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 7 - Car il me semblait que je pourrais rencontrer beaucoup plus de vérité dans les raisonnements que chacun fait touchant les affaires qui lui importent , et dont l'événement le doit punir bientôt après s'il a mal jugé, que dans ceux que fait un homme de lettres dans son cabinet touchant des spéculations qui ne produisent aucun effet...
Page 7 - C'est pourquoi, sitôt que l'âge me permit de sortir de la sujétion de mes précepteurs, je quittai entièrement l'étude des lettres; et, me résolvant de ne chercher plus d'autre science que celle qui se pourrait trouver en moi-même ou bien dans le grand livre du monde, j'employai le reste de ma jeunesse à voyager, à voir des cours et des armées, à fréquenter des gens de diverses humeurs et conditions, à recueillir diverses expériences...
Page 29 - ... d'où il suit que nos idées ou notions, étant des choses réelles et qui viennent de Dieu , en tout ce en quoi elles sont claires et distinctes , ne peuvent en cela être que vraies.
Page 101 - Par le nom de Dieu j'entends une substance infinie, éternelle, immuable, indépendante, toute connaissante, toute-puissante, et par laquelle moi-même et toutes les autres choses qui sont (s'il est vrai qu'il y en ait qui existent) ont été créées et produites.
Page 11 - La seule résolution de se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues auparavant en sa créance n'est pas un exemple que chacun doive suivre : et le monde n'est quasi composé que de deux sortes d'esprits auxquels il ne convient aucunement.
Page 49 - ... je n'ai pas cru qu'il fût possible à l'esprit humain de distinguer les formes ou espèces de corps qui sont sur la terre d'une infinité d'autres qui pourraient y être, si c'eût été le vouloir de Dieu de les y mettre, ni, par conséquent, de les rapporter à notre usage, si ce n'est qu'on vienne au-devant des causes par les effets, et qu'on se serve de plusieurs expériences particulières.
Page 47 - ... pratique par laquelle, connaissant la force et les actions du feu , de l'eau , de l'air, des astres , des cieux , et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres , et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature.
Page 31 - ... j'ai remarqué certaines lois que Dieu a tellement établies en la nature et dont il a imprimé de telles notions en nos âmes qu'après y avoir fait assez de réflexion nous ne saurions douter qu'elles ne soient exactement observées en tout ce qui est ou qui -se fait dans le monde.