Oeuvres de Fontenelle, Volume 3Salmon, 1829 |
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... personne comme elle , qui ne savait rien en matière de physique , il fallait pren- dre les choses de bien loin ... personnes raisonnables auraient fait en notre place . A la fin cependant , pour lui donner une idée générale de la ...
... personne comme elle , qui ne savait rien en matière de physique , il fallait pren- dre les choses de bien loin ... personnes raisonnables auraient fait en notre place . A la fin cependant , pour lui donner une idée générale de la ...
Page 155
... personne . Notre Saint- Denis , c'est la lune , et chacun de nous est ce bour- geois de Paris , qui n'est jamais sorti de sa ville . : Ah ! interrompit la marquise , vous nous faites tort , nous ne sommes point si sots que votre ...
... personne . Notre Saint- Denis , c'est la lune , et chacun de nous est ce bour- geois de Paris , qui n'est jamais sorti de sa ville . : Ah ! interrompit la marquise , vous nous faites tort , nous ne sommes point si sots que votre ...
Page 171
... personnes diffé- rentes ont trouvé le secret de s'ajuster des ailes qui les soutinssent en l'air , de leur donner du mouvement , et de passer par - dessus des rivières . A la vérité , ce n'a pas été un vol d'aigle , et il en a ...
... personnes diffé- rentes ont trouvé le secret de s'ajuster des ailes qui les soutinssent en l'air , de leur donner du mouvement , et de passer par - dessus des rivières . A la vérité , ce n'a pas été un vol d'aigle , et il en a ...
Page 200
... personne . Vous n'y songez pas , dit la marquise . Qui serait dans le so- leil ne verrait rien , ni planètes , ni étoiles fixes . Le soleil n'efface - t - il pas tout ? Ce serait ses habitans qui seraient bien fondés à se croire seuls ...
... personne . Vous n'y songez pas , dit la marquise . Qui serait dans le so- leil ne verrait rien , ni planètes , ni étoiles fixes . Le soleil n'efface - t - il pas tout ? Ce serait ses habitans qui seraient bien fondés à se croire seuls ...
Page 207
... personne qu'il rencontrait était une vieille , si un lièvre traversait son chemin , Tycho - Brahé croyait que la journée devait être malheureuse , et retournait promptement se ren- fermer chez lui , sans oser commencer la moindre chose ...
... personne qu'il rencontrait était une vieille , si un lièvre traversait son chemin , Tycho - Brahé croyait que la journée devait être malheureuse , et retournait promptement se ren- fermer chez lui , sans oser commencer la moindre chose ...
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Oeuvres de Fontenelle: Precedees D'Une Notice Sur Sa Vie Et Ses Ouvrages ... Bernard Fontenelle No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
ADRIEN AGNÈS SOREL aisément ALBERT-FRÉDÉRIC DE BRANDEBOURG Alexandre ANNE DE BRETAGNE Apollon ARÉTIN assez AUGUSTE avaient Caton Cause occasionnelle cercle chose chrétiens circulation consulter corps COSME DE MÉdicis couche croire crois Delphes démons dessein DIALOGUE Dieu dieux différens dire divinité donner ÉLISABETH D'ANGLETERRE empereurs enfin ÉRASISTRATE ÉSOPE étoiles fixes eût fallait fluide force centrifuge fussent fût gens Grèce GUILLAUME DE CABESTAN habitans hommes infinité j'ai J'avoue jamais JEANNE DE NAPLES Jésus-Christ Jupiter l'autre l'esprit l'oracle de Delphes laissé long-temps lune MARGUERITE D'AUTRICHE MARIE D'ANGLETERRE marquise matière éthérée ment Mercure monde MONTAIGNE mort mouvemens mouvement n'avait n'en n'était n'eût nature oracles paganisme païens parler passer peuple peut-être philosophes PHRINE PIERRE ARÉTIN plaisir planètes Plutarque pouvait prêtres prêtresse Pythie qu'un quelquefois raison religion répondis-je repris-je rien rotation ROXELANE s'il Saturne savans serait Sérapis seulement SMINDIRIDE SOCRATE soleil sorte STRATONICE temple terre tion tout-à-fait trouve Vénus vérité vitesse voilà voulait vrai
Popular passages
Page 273 - Un autre grand homme, nommé Libavius, ramasse tout ce qui avait été dit de la dent et y ajoute son sentiment particulier. Il ne manquait autre chose à tant de beaux ouvrages, sinon qu'il fût vrai que la dent était d'or. Quand un orfèvre l'eut examinée, il se trouva que c'était une feuille d'or appliquée à la dent avec beaucoup d'adresse ; mais on commença par faire des livres, et puis on consulta l'orfèvre.
Page 273 - Helmstad, écrivit en 1595 l'histoire de cette dent, et prétendit qu'elle était en partie naturelle, en partie miraculeuse, et qu'elle avait été envoyée de Dieu à cet enfant, pour consoler les chrétiens affligés par les Turcs.
Page 134 - Du lieu où vous êtes à l'opéra , vous ne voyez pas le théâtre tout-à-fait comme il est : on a disposé les décorations et les machines pour faire de loin un effet agréable, et on cache à votre vue ces roues et ces.
Page 134 - Toute la philosophie, lui dis-je , n'est fondée que sur deux choses : sur ce qu'on a l'esprit curieux et les yeux mauvais ; car si vous aviez les yeux meilleurs que •vous ne les avez, vous verriez bien si les étoiles sont des soleils qui éclairent autant de mondes, ou si elles...
Page 417 - On est ignorant dans un siècle, mais la mode d'être savant peut venir; on est intéressé, mais la mode d'être désintéressé ne viendra point. Sur ce nombre prodigieux d'hommes assez déraisonnables qui naissent en cent ans, la nature en a peut-être deux ou trois douzaines de raisonnables, qu'il faut qu'elle répande pr toute la terre; et vous jugez bien qu'ils ne se trouvent jamais nulle part en assez grande quantité, pour y faire une mode de vertu et de droiture.
Page 273 - En la même année, afin que cette dent d'or ne manquât pas d'Historiens, Rullandus en écrit encore l'Histoire. Deux ans après, Ingolsteterus, autre Savant, écrit contre le sentiment que Rullandus avait de la dent d'or, et Rullandus fait aussitôt une belle et docte Réplique. Un autre grand Homme nommé Libavius, ramasse tout ce qui avait été dit de la dent, et y ajoute son sentiment particulier. Il ne manquait autre chose à tant de beaux Ouvrages, sinon qu'il fût vrai que la dent était...
Page 149 - Quelquefois, par exemple, je me figure que je suis suspendu en l'air, et que j'y demeure sans mouvement pendant que la terre tourne sous moi en vingt-quatre heures.
Page 150 - En vérité, dit-elle, tout cela mériterait bien que l'on donnât vingtquatre heures de son temps à le voir. Ainsi donc dans le même lieu où nous sommes à présent, je ne dis pas dans ce parc, mais dans ce même lieu, à le prendre dans l'air, il y passe continuellement d'autres peuples qui prennent notre place, et au bout de vingt-quatre heures nous y revenons. — Copernic, lui répondis-je, ne le comprendrait pas mieux. D'abord il passera par ici des Anglais qui raisonneront peut-être de...
Page 426 - Sur ma parole rien ne changera. Voyezvous? il ya une certaine* mesure de connaissances utiles, que les hommes ont eue de bonne heure, à laquelle ils n'ont guère ajouté, et qu'ils ne passeront guère , s'ils la passent.
Page 135 - ... dans les machines que la nature présente à nos yeux, les cordes sont parfaitement bien cachées, et elles le sont si bien, qu'on a été longtemps à deviner ce qui causait les mouvements de l'univers.