Revue de Marseille et de Provence1879 |
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... mari . Ceci n'est pas , comme le fond de la pièce , une allusion à ce qui se passait , lorsque elle fut composée : c'est de toutes les époques et de tous les régimes . Il s'enferme chez lui dès que le jour se lève ; C'est l'heure du ...
... mari . Ceci n'est pas , comme le fond de la pièce , une allusion à ce qui se passait , lorsque elle fut composée : c'est de toutes les époques et de tous les régimes . Il s'enferme chez lui dès que le jour se lève ; C'est l'heure du ...
Page 232
... mari qui le flatte et dont il a besoin . Pour leurs localités ils parlent , ils s'agitent ... Avant de digérer , ces messieurs sollicitent . Pendant ce premier choc , d'autres sont survenus Armés de leur requête ... Enfin , n'en pouvant ...
... mari qui le flatte et dont il a besoin . Pour leurs localités ils parlent , ils s'agitent ... Avant de digérer , ces messieurs sollicitent . Pendant ce premier choc , d'autres sont survenus Armés de leur requête ... Enfin , n'en pouvant ...
Page 234
... mari parti , elle cherche un moyen de se venger , et voici celui qu'elle emploie . Latulipe revient à la nuit , et entre dans la cantine qui n'est pas éclairée ; Manon feint de le prendre pour Jolicœur qui , plus d'une fois , lui a ...
... mari parti , elle cherche un moyen de se venger , et voici celui qu'elle emploie . Latulipe revient à la nuit , et entre dans la cantine qui n'est pas éclairée ; Manon feint de le prendre pour Jolicœur qui , plus d'une fois , lui a ...
Page 235
... mari , ainsi battu , prend le bon côté de la chose , et y trouve un argument frappant de la fidélité de sa femme ; aussi , en se retirant , il chante : Quelle douleur et quelle ivresse ! Je suis meurtri ! je suis heureux ! Mon épouse ...
... mari , ainsi battu , prend le bon côté de la chose , et y trouve un argument frappant de la fidélité de sa femme ; aussi , en se retirant , il chante : Quelle douleur et quelle ivresse ! Je suis meurtri ! je suis heureux ! Mon épouse ...
Page 236
... mari ; elle le contrarie , l'injurie , le pousse à bout et le force en quelque sorte , à la battre . Ah ! s'écrie - t - elle alors avec joie Enfin ! tu m'as battue ! ... - La - dessus , une convention a lieu Latulipe promet de ne plus ...
... mari ; elle le contrarie , l'injurie , le pousse à bout et le force en quelque sorte , à la battre . Ah ! s'écrie - t - elle alors avec joie Enfin ! tu m'as battue ! ... - La - dessus , une convention a lieu Latulipe promet de ne plus ...
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Common terms and phrases
Accoules acrostiches Alix âme Amroun anciens Auguste LAFORET Augustin Fabre Aulu-Gelle avaient Bérose bois Bouddhisme brahmanes bruit c'était calice d'argent canne casible Chaldéens chant chape charme chose cité cloches cœur Coste coup croix Cuges d'argent surdoré d'or Dieu Dion Cassius dire dit-il divine donner églises égyptienne enfants époque esmalhé Estrangin faict Favorin femme fête fille fleurs Fontaine frère galerie GAVOTY Gémenos Grecs homme Ispahan j'ai jamais jeune jour l'abbé Bayle l'église latin livre locution main maison Manéthon Marseille MATABON Ménès ment milieu Moïse monde Monsieur monuments mort Nemroth nuit ofres onces Oratorio PANDORE parler PARLINA parrain passer pays de Bray père peuple philosophe Plutarque poète porte premier provençal Pullion reste Rhammith rien Rochemaure Rodolphe Romains Rome rouge sacré saint Salathiel Sator savant science sentiment serait seul Sextus siècle sieur soir soleil sorte souvent terre tête tion toille tour du bâton trouve vivam voix vrai yeux
Popular passages
Page 270 - La chose que je regrette le plus dans les détails de ma vie dont j'ai perdu la mémoire, est de n'avoir pas fait des journaux de mes voyages. Jamais je n'ai tant pensé, tant existé, tant vécu, tant été moi, si j'ose ainsi dire, que dans ceux que j'ai faits seul et à pied.
Page 273 - Quand mes douleurs me font tristement mesurer la longueur des nuits, et que l'agitation de la fièvre m'empêche de goûter un seul instant de sommeil, souvent je me distrais de mon état présent, en songeant aux divers événements de ma vie ; et les repentirs, les doux souvenirs, les regrets, l'attendrissement, se partagent le soin de me faire oublier quelques moments mes souffrances.
Page 274 - L'or des genêts et la pourpre des bruyères frappaient mes yeux d'un luxe qui touchait mon cœur, la majesté des arbres qui me couvraient de leur ombre, la délicatesse des arbustes qui m'environnaient, l'étonnante variété des herbes et 1s des fleurs que je foulais sous mes pieds, tenaient mon esprit dans une alternative continuelle d'observation et d'admiration...
Page 273 - J'allais alors d'un pas plus tranquille chercher quelque lieu sauvage dans la forêt, quelque lieu désert où rien ne montrant la main des hommes n'annonçât la servitude et la domination...
Page 271 - ... de l'un à l'autre. Je me promenais dans une sorte d'extase, livrant mes sens et mon cœur à la jouissance de tout cela, et soupirant seulement un peu du regret d'en jouir seul.
Page 271 - Il avait fait très chaud ce jour-là, la soirée était charmante; la rosée humectait l'herbe flétrie; point de vent, une nuit tranquille; l'air était frais sans être froid; le soleil, après son coucher, avait laissé dans le ciel des...
Page 224 - Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et du bruit goûter l'ombre et le frais?
Page 221 - J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Page 163 - J'aime mieux sans comparaison , Ménage , tirer à la rame , Que d'aller chercher la raison Dans les replis d'une anagramme. Cet exercice monacal Ne trouve son point vertical Que dans une tête blessée : Et sur Parnasse nous tenons , Que tous ces renverseurs de noms Ont la cervelle renversée.
Page 273 - Achate , pressant le pas dans la crainte que quelqu'un ne vînt s'emparer de moi avant que j'eusse pu m'esquiver; mais quand une fois j'avais pu doubler un certain coin, avec quel battement de cœur, avec quel pétillement de joie je commençais à respirer en me sentant sauvé, en me disant : Me voilà maître de moi pour le reste de ce jour!