ProseHenri Bornecque Larousse, 1924 - French literature |
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... mari , elle jeta avec dépit l'invitation sur la table , murmurant : - Que veux - tu que je fasse de cela ? Mais , ma chérie , je pensais que tu serais contente . Tu ne sors jamais , et c'est une occasion , cela , une belle ! J'ai eu une ...
... mari , elle jeta avec dépit l'invitation sur la table , murmurant : - Que veux - tu que je fasse de cela ? Mais , ma chérie , je pensais que tu serais contente . Tu ne sors jamais , et c'est une occasion , cela , une belle ! J'ai eu une ...
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... mari lui dit un soir : 6 - Qu'as - tu ? Voyons , tu es toute drôle depuis trois jours . Et elle répondit : 7 Cela m'ennuie de n'avoir pas un bijou , pas une pierre , rien à mettre sur moi . J'aurai l'air misère comme tout 8 . J'aimerais ...
... mari lui dit un soir : 6 - Qu'as - tu ? Voyons , tu es toute drôle depuis trois jours . Et elle répondit : 7 Cela m'ennuie de n'avoir pas un bijou , pas une pierre , rien à mettre sur moi . J'aurai l'air misère comme tout 8 . J'aimerais ...
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... mari , depuis minuit , dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup . Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie , modestes vêtements de la vie ...
... mari , depuis minuit , dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup . Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie , modestes vêtements de la vie ...
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... mari rentra vers sept heures . Il n'avait rien trouvé . Il se rendit à la Préfecture de police , aux journaux , pour faire promettre une récompense , aux compagnies de petites voi- tures11 , partout enfin où un soupçon d'espoir le ...
... mari rentra vers sept heures . Il n'avait rien trouvé . Il se rendit à la Préfecture de police , aux journaux , pour faire promettre une récompense , aux compagnies de petites voi- tures11 , partout enfin où un soupçon d'espoir le ...
Page 185
... au bras , marchandant , injuriée , défendant sou à sou son misérable argent . Il fallait chaque mois payer des billets , en renouveler d'autres , obtenir du temps . Le mari travaillait , le soir , à mettre au QUY DE MAUPASSANT ---- 185.
... au bras , marchandant , injuriée , défendant sou à sou son misérable argent . Il fallait chaque mois payer des billets , en renouveler d'autres , obtenir du temps . Le mari travaillait , le soir , à mettre au QUY DE MAUPASSANT ---- 185.
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ANTHOL avez Azelma BAYARD beau belle Bergeret bêtes bois c'était cents chambre cher cheval chose ciel cœur Colin corps Cosette coup Crainquebille devant Dieu dire discours DON JUAN drapeau ÉMILE AUGIER ÉMILE ZOLA enfants enfin êtes Fabrice faisait femme fille GASTON gens GÉRONTE gloire Gourville HARPAGON homme HONORÉ DE BALZAC j'ai j'étais jamais Jeannot jour L'AÏEUL l'esprit L'ONCLE laisser législative lettres Louis Louis XIV madame main MAÎTRE DE PHILOSOPHIE MAÎTRE JACQUES manger ment misère monde MONSIEUR DIMANCHE monsieur Grandet MONSIEUR ROBERT mort mourir n'avait Napoléon Ier nuit parler passer pensées père père Goriot petite peuple pieds plaisir poésie poupée premier prince PROSE puissance exécutrice qu'un raison regard reste rien Riquet Romains sais SCAPIN semble sentir sera seul SGANARELLE soir soldats sorte sous-préfet Tarascon Tartarin Tartarin de Tarascon terre tête Thénardier trouve vais VALÈRE Vatel venir veux voilà vrai yeux Yonville Zadig