A classical French reader: selected from the best writers of that language, in prose and poetry; ... compiled ... by N. M. Hentz ... in two parts ... |
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Page 39
... maisons dans un ordre et une propreté admi- rables . Leurs habits sont aisés à faire ; car , dans ce doux climat , on ne porte qu'une pièce d'étoffe fine et légère , ' qui n'est point taillée , et que chacun met à longs plis au- tour de ...
... maisons dans un ordre et une propreté admi- rables . Leurs habits sont aisés à faire ; car , dans ce doux climat , on ne porte qu'une pièce d'étoffe fine et légère , ' qui n'est point taillée , et que chacun met à longs plis au- tour de ...
Page 40
... maisons . C'est , disent - ils , s'attacher trop à la terre , que de s'y faire une demeure qui dure beaucoup plus_que nous ; il suffit de se défendre des injures de l'air . tous les autres arts estimés chez les Grecs , chez les Egyp ...
... maisons . C'est , disent - ils , s'attacher trop à la terre , que de s'y faire une demeure qui dure beaucoup plus_que nous ; il suffit de se défendre des injures de l'air . tous les autres arts estimés chez les Grecs , chez les Egyp ...
Page 64
... maison : mais comme elle avoit à peine de quoi vivre , dès que je fus en âge de servir , elle . me vendit à un marchand d'esclaves qui me mena dans la Lycie . Ce marchand me revendit à Patare , à un homme sage et vertueux , nommé Alcine ...
... maison : mais comme elle avoit à peine de quoi vivre , dès que je fus en âge de servir , elle . me vendit à un marchand d'esclaves qui me mena dans la Lycie . Ce marchand me revendit à Patare , à un homme sage et vertueux , nommé Alcine ...
Page 65
... maison où il avoit demeuré , avec les champs fertiles qu'il possédoit autour . J'étois bien - aise de revoir ces lieux , qui me rappeloient le doux souvenir d'un âge si agréable , et d'un si bon maître . Il me sembloit que j'étois ...
... maison où il avoit demeuré , avec les champs fertiles qu'il possédoit autour . J'étois bien - aise de revoir ces lieux , qui me rappeloient le doux souvenir d'un âge si agréable , et d'un si bon maître . Il me sembloit que j'étois ...
Page 66
... maison , je leur donnai à chacun de quoi gagner du bien dans le commerce de la mer , je les réunis tous : eux et leurs enfans de- meurèrent ensemble paisiblement chez moi : je devins le père commun de toutes ces différentes familles ...
... maison , je leur donnai à chacun de quoi gagner du bien dans le commerce de la mer , je les réunis tous : eux et leurs enfans de- meurèrent ensemble paisiblement chez moi : je devins le père commun de toutes ces différentes familles ...
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A Classical French Reader: Selected From The Best Writers Of That Language ... Nicolas Marcellus Hentz No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
¹à affreux aimé Alcine Alix âme Aristonous auroit avoient avoit Bérenger bientôt bords bras brillant Brisach bruit c'étoit Calchas Callisthène charme château de Presles cher choses ciel cieux Clazomène cœur combat corps coup courage crainte Crantor cruelle d'Alix Dieu Dieux douce douleur doux éclat enfans ennemis étoient étoit faisoit fille fleurs fleuve flots foible foiblesse Fresnes front fumans funeste fureur gloire guerriers heureux hommes hymen Idoménée infanterie j'ai jamais jeune jour l'âme l'homme larmes long-temps Lycaonie Lysimaque main malheureux maux Ménélas mère monde montagnes mort mortels mourir nature nuages nuit ombres pâle paroît passions peine père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs Pluton Pyth regards rien rivage rochers Rocroi rois sage sais sang SECTION sentiment seroit seul soin soleil Sophronyme sort temple tendre terre tombe tombeau tremblant trésors triste Turenne vaisseau vallons vents verb vertu victoire vieillard Voilà voit voix VOLTAIRE voyoit yeux zéphyr
Popular passages
Page ii - Congress of the United States, entitled, " An act for the encouragement of learning, by securing the copies of maps, charts and books, to the authors and proprietors of such copies, during the times therein mentioned ; " and also to an act. entitled, " An act, supplementary to an act, entitled an act for the encouragement of learning, by securing the copies of maps, charts and books, to the authors and proprietor? of such copies, during the times therein mentioned...
Page 209 - Tout son corps est couvert d'écaillés jaunissantes. Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage, La terre s'en émeut, l'air en est infecté, Le flot qui l'apporta recule épouvanté.
Page 209 - L'œil morne maintenant, et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable cri , sorti du fond des flots , Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable.
Page 232 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 264 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 174 - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
Page 239 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, Tendre au fer de Calchas une tête innocente, Et, respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.
Page 151 - Giton a le teint frais, le visage plein et les joues pendantes, l'œil fixe et assuré, les épaules larges, l'estomac haut, la démarche ferme et délibérée. Il parle avec confiance; il fait répéter celui qui l'entretient, et il ne goûte que médiocrement tout ce qu'il lui dit. Il déploie un ample mouchoir et se mouche avec grand bruit; il crache fort loin, et il éternue fort haut.
Page 214 - J'ai vu ce même Enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu. Son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin.
Page 235 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.