Le diable boiteaux à ParisLib. Nouvelle, 1858 - 550 pages |
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... main et montra à la pauvre enfant le résul- tat de son opération ... Et c'était chose surprenante en effet ! ... A mesure qu'il agitait sa plume : on voyait sortir , du registre enchanté , des objets fort disparates LE DIABLE BOITEUX A ...
... main et montra à la pauvre enfant le résul- tat de son opération ... Et c'était chose surprenante en effet ! ... A mesure qu'il agitait sa plume : on voyait sortir , du registre enchanté , des objets fort disparates LE DIABLE BOITEUX A ...
Page 32
... main à la jeune fille , qui se disposait à monter sur ses pas vers toutes les menaçantes misères de la mansarde ; et puis , l'homme qui tenait la plume magique l'agita de nouveau , et , des flancs de son registre , sortirent des chevaux ...
... main à la jeune fille , qui se disposait à monter sur ses pas vers toutes les menaçantes misères de la mansarde ; et puis , l'homme qui tenait la plume magique l'agita de nouveau , et , des flancs de son registre , sortirent des chevaux ...
Page 33
... main , en lui montrant le marche- pied d'une magnifique voiture tournée vers le splen- dide portique d'un hôtel encombré de fleurs , de la- quais et d'équipages . Alice , qui se disposait à suivre Gaston , détourna la tête , se mit à ...
... main , en lui montrant le marche- pied d'une magnifique voiture tournée vers le splen- dide portique d'un hôtel encombré de fleurs , de la- quais et d'équipages . Alice , qui se disposait à suivre Gaston , détourna la tête , se mit à ...
Page 38
... main où brillait la bague étincelante , une subite clarté inonda les quatre personnages . Les femmes se précipitèrent chacune dans un fiacre , en poussant un petit cri de -surprise ; les hommes , qui venaient de se reconnaître en levant ...
... main où brillait la bague étincelante , une subite clarté inonda les quatre personnages . Les femmes se précipitèrent chacune dans un fiacre , en poussant un petit cri de -surprise ; les hommes , qui venaient de se reconnaître en levant ...
Page 40
... main qui l'accroche au balcon et finit par un pied impatient qui enjambe bien des éche- lons . Mais voici la porte de la maison qui s'entr'ouvre , un homme en sort avec précaution ; il lève la tête , il a vu nécessairement celui qui ...
... main qui l'accroche au balcon et finit par un pied impatient qui enjambe bien des éche- lons . Mais voici la porte de la maison qui s'entr'ouvre , un homme en sort avec précaution ; il lève la tête , il a vu nécessairement celui qui ...
Common terms and phrases
Ah çà arrive Arthur Asmodée assez avez beau boiteux bottes bras brave c'était cachemire cent CHAPITRE charmant cher chose cœur cornets à pistons coup cria crinoline demanda Gaston diable DIABLE BOITEUX Dieu dire duel enfant Est-ce êtes eût femme fenêtre fit Gaston fit le baron fleurs graine d'orties Grand-Cerf Grassot Guichart hameau heures honnête interrompit Gaston j'ai jamais jeter jeune ami jeune fille jeune homme jolie jour joyeux l'homme l'hôtelier Lodoïska main maire maison mari marquise matin médecin ment messieurs mille Mitoufflet Mlle Molière monde monsieur murmura n'avait Ophélia passé Paul Véronèse pauvre père petit vieillard petite piano poëte porte premier président province qu'un Rabichon racon répondit le baron reste rien rire robe roses s'écria Gaston s'était saint salon serait seul sixième étage soir sorte sourire tabac d'Espagne tête tion Triptolème trouve venait vicomte vin de Champagne voici voilà voiture voix vrai whist yeux
Popular passages
Page 177 - II ya une chose que l'on n'a point vue sous le ciel et que selon toutes les apparences on ne verra jamais: c'est une petite ville qui n'est divisée en aucuns partis; où les familles sont unies...
Page 177 - Les provinciaux et les sots sont toujours prêts à se fâcher et à croire qu'on se moque d'eux ou qu'on les méprise ; il ne faut jamais hasarder la plaisanterie, même la plus douce et la plus permise qu'avec des gens polis ou qui ont de l'esprit.
Page 177 - ... familles sont unies, et où les cousins se voient avec confiance; où un mariage n'engendre point une guerre civile; où la querelle des rangs ne se réveille pas à tous moments par l'offrande, l'encens et le pain bénit, par les processions, et par les obsèques; d'où l'on a banni les caquets, le mensonge, et la médisance; où l'on voit parler ensemble le bailli et le président, les élus et les assesseurs; où le doyen vit bien avec ses chanoines, où les chanoines ne dédaignent pas les...
Page 188 - C'est une question très difficile , et qui demande des instructions préliminaires. DONDINDAC; Avant de recevoir vos instructions , il faut que je vous conte ce qui m'est arrivé un jour. Je venais de faire bâtir un cabinet au bout de mon jardin; j'entendis une taupe qui raisonnait avec un hanneton : Voilà une belle fabrique, disait la taupe; il faut que ce soit une taupe bien puissante qui ait fait cet ouvrage. Vous vous moquez, dit le hanneton ; c'est un hanneton tout plein de génie qui est...
Page 224 - Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois.
Page 177 - ... rangs ne se réveille pas à tous moments par l'offrande, l'encens et le pain bénit, par les processions et par les obsèques ; d'où l'on a banni les caquets, le mensonge et la médisance ; où l'on voit parler ensemble le bailli et le président, les élus et les assesseurs ; où le doyen vit bien avec ses chanoines, où les chanoines ne dédaignent pas les chapelains, et où ceux-ci souffrent les chantres.
Page 341 - Quel plaisir de vivre sous un si beau ciel et dans ce séjour si délicieux! » Je descends dans la ville, où je n'ai pas couché deux nuits, que je ressemble à ceux qui l'habitent : j'en veux sortir.
Page 232 - Théophile : Certes, ce fut un triste jeu Quand à Paris dame Justice, Pour avoir mangé trop d'épice, Se mit tout le palais en feu.
Page 250 - XXe siècle, les seules illustrations d'un livre de lecture en principe à la portée de toutes les bourses et de toutes les intelligences...
Page 127 - Lithographie ou pour mieux dire autographié à Paris... le 23 juin 1860. Signé : La marquise de douairière. » = Les Empaillés et peines diverses, par JB Lav (Brochure in-8° imprimée à Bordeaux). On y trouve ce refrain : Vive le vin ! Vive ce jus divin 1 Je veux jusqu'à la fin Qu'il égayé ma vie ! Petit ou grand , Un homme est toujours franc , Loyal et bon vivant, S'il boit sec et souvent. Tout le monde a chanté ces vers, mais de qui sontils? La note placée au bas de la page soulève...