Fables, books i, ii, ed. by P. B. Smith |
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Page 39
... gens inconnus ; Son père , un bon bourgeois ; lui , sans autre mérite : Matière infertile et petite . Le poëte d'abord parla de son héros . Après en avoir dit ce qu'il en pouvait dire , Il se jette à côté , se met sur le propos De ...
... gens inconnus ; Son père , un bon bourgeois ; lui , sans autre mérite : Matière infertile et petite . Le poëte d'abord parla de son héros . Après en avoir dit ce qu'il en pouvait dire , Il se jette à côté , se met sur le propos De ...
Page 53
... gens : Vive le roi ! vive la ligue ! 15 20 25 30 VI . L'OISEAU BLESSÉ D'UNE FLÈCHE . MORTELLEMENT atteint d'une flèche empennée , Un oiseau déplorait sa triste destinée , Et disait , en souffrant un surcroît de douleur : Faut - il ...
... gens : Vive le roi ! vive la ligue ! 15 20 25 30 VI . L'OISEAU BLESSÉ D'UNE FLÈCHE . MORTELLEMENT atteint d'une flèche empennée , Un oiseau déplorait sa triste destinée , Et disait , en souffrant un surcroît de douleur : Faut - il ...
Page 61
... gens . Je m'emporte un peu trop : revenons à l'histoire De ce spéculateur qui fut contraint de boire . Outre la vanité de son art mensonger , C'est l'image de ceux qui bâillent aux chimères , Cependant qu'ils sont en danger , Soit pour ...
... gens . Je m'emporte un peu trop : revenons à l'histoire De ce spéculateur qui fut contraint de boire . Outre la vanité de son art mensonger , C'est l'image de ceux qui bâillent aux chimères , Cependant qu'ils sont en danger , Soit pour ...
Page 62
... gens ! je mets l'alarme au camp ! Et d'où me vient cette vaillance ? Comment ! des animaux qui tremblent devant moi ! Je suis donc un foudre de guerre ! Il n'est , je le vois bien , si poltron sur la terre Qui ne puisse trouver un plus ...
... gens ! je mets l'alarme au camp ! Et d'où me vient cette vaillance ? Comment ! des animaux qui tremblent devant moi ! Je suis donc un foudre de guerre ! Il n'est , je le vois bien , si poltron sur la terre Qui ne puisse trouver un plus ...
Page 70
... Ce que disait le testament . Le peuple s'étonna comme il se pouvait faire Qu'un homme seul eût plus de sens Qu'une multitude de gens . 90 NOTES The First Quarto Edition of these Fables was published 70 FABLES DE LA FONTAINE . [ LIVRE II .
... Ce que disait le testament . Le peuple s'étonna comme il se pouvait faire Qu'un homme seul eût plus de sens Qu'une multitude de gens . 90 NOTES The First Quarto Edition of these Fables was published 70 FABLES DE LA FONTAINE . [ LIVRE II .
Common terms and phrases
adjective ærarium Æsop animal Aristophanes Arthur Holmes Assistant-Master at Rugby author Balliol College becomes belette bird Book called Cambridge chose cigogne Clare College common corbeau Crown 8vo d'Ésope Derivative dieux diminutive dit-il Edited Edition English epithet ESOP Ésope express eyes FABLE FABLE XVII familiar Fellow and Tutor Fellow of St feminine first Fontaine formerly Fellow fourmis frelons French gens given gives good Greek GRENOUILLE guêpe Harrow School head hence homme Hypocondre implies implying Jean lapin Jupiter king of beasts l'aigle l'âne L'escarbot l'oiseau late Fellow late Lat late Senior Latin life lion Literally loup make Malmsey Marlborough College masculine Master Maximus Planudes means moucheron name negative neuter oiseaux oisillons one's originally Oxford PHÆDR Phædrus phrase poetry present participle published ramage renard Rugby School same Small 8vo story strong subjunctive substantive thing three Trinity College used usually variety verb whence WINCHESTER COLLEGE word ΙΟ
Popular passages
Page 28 - Hé bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Page 28 - Une Grenouille vit un bœuf Qui lui sembla de belle taille. Elle qui n'était pas grosse en tout comme un œuf, Envieuse s'étend, et s'enfle, et se travaille Pour égaler l'animal en grosseur, Disant : Regardez bien, ma sœur ; Est-ce assez ? dites-moi ; n'y suis-je point encore ? - Nenni. - M'y voici donc ?- Point du tout. -M'y voilà ? - Vous n'en approchez point.
Page 28 - II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit, et dit : 'Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Page 27 - La cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant Toût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 47 - Le chêne un jour dit au roseau : « Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau. Vous oblige à baisser la tête ; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 60 - UN Astrologue un jour se laissa choir Au fond d'un puits. On lui dit : « Pauvre bête, Tandis qu'à peine à tes pieds tu peux voir, Penses-tu lire au-dessus de ta tête?
Page 57 - L'invisible ennemi triomphe, et rit de voir Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais; et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.
Page 46 - II ne faudrait point tant de frais ; Au lieu qu'on nous mange, on nous gruge, On nous mine par des longueurs ; On fait tant, à la fin, que l'huître est pour le juge, Les écailles pour les plaideurs.
Page 47 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 35 - LE LOUP ET L'AGNEAU La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous Talions montrer tout à l'heure. Un Agneau se désaltérait Dans le courant d'une onde pure. Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure, Et que la faim en ces lieux attirait. Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité.