Les contemporains: Lamartine; Victor Hugo; de Lamennais; Musset; Béranger; Pierre Dupont |
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... sa présence . Il s'embarqua bientôt à Marseille avec sa femme et sa fille Julia , monté sur un navire qui lui appartenait et dont l'équi page était à ses ordres . Si la politique perdit à ce départ , les lettres LAMARTINE . 57.
... sa présence . Il s'embarqua bientôt à Marseille avec sa femme et sa fille Julia , monté sur un navire qui lui appartenait et dont l'équi page était à ses ordres . Si la politique perdit à ce départ , les lettres LAMARTINE . 57.
Page 86
... femmes de Paris voulut , un soir , baiser son illustre main , et s'écria : Franklin disait à Voltaire Dieu et Liberté ; moi , je dis Dieu et Lamar- tine ! » Et le cercle d'applaudir . Un autre soir , un courtisan moins adroit insinua au ...
... femmes de Paris voulut , un soir , baiser son illustre main , et s'écria : Franklin disait à Voltaire Dieu et Liberté ; moi , je dis Dieu et Lamar- tine ! » Et le cercle d'applaudir . Un autre soir , un courtisan moins adroit insinua au ...
Page 11
Eugène de Mirecourt. abbaye des Feuillantines ; sa mère , noble et digne femme qui lui prodiguait tous les trésors de son amour . Aussi la reconnais- sance de son fils l'a rendue immortelle : on dira la mère de Victor Hugo , comme on dit ...
Eugène de Mirecourt. abbaye des Feuillantines ; sa mère , noble et digne femme qui lui prodiguait tous les trésors de son amour . Aussi la reconnais- sance de son fils l'a rendue immortelle : on dira la mère de Victor Hugo , comme on dit ...
Page 16
... femme qui tient encore aujourd'hui un cabaret à Plaisance , et que Béranger a dû connaître avant de chanter Madame Grégoire : Vic- tor Hugo et ses amis pressaient la main de Thiers , de Mignet , de Peisse , d'Armand Carrel , de ...
... femme qui tient encore aujourd'hui un cabaret à Plaisance , et que Béranger a dû connaître avant de chanter Madame Grégoire : Vic- tor Hugo et ses amis pressaient la main de Thiers , de Mignet , de Peisse , d'Armand Carrel , de ...
Page 18
... femme adorée et de beaux en- fants qui lui envoyaient leurs sourires , le poëte vivait heureux . Souvent les prome- nades de la plaine de Vanvres étaient d'une gaieté folle . Hugo jouait avec ses fils et se roulait sur les pelouses ...
... femme adorée et de beaux en- fants qui lui envoyaient leurs sourires , le poëte vivait heureux . Souvent les prome- nades de la plaine de Vanvres étaient d'une gaieté folle . Hugo jouait avec ses fils et se roulait sur les pelouses ...
Common terms and phrases
Alexandre Dumas Alfred de Musset âme amis amour anges avez beau Béranger biographie bonheur C'était chanson chansonnier chanter charme cher ciel cœur consolations coup couplets d'or devant Dieu dire donner douce enfant époque êtes EUGÈNE DE MIRECOURT Félicité de Lamennais femme fille fleurs Fontan frère génie George Sand gloire Harel j'ai jamais jeter jeune homme joie jour l'abbé l'auteur laisser Lamartine Lamennais lettres Lisette livre Louis Boulanger madame Sand mademoiselle Georges mademoiselle Mars main ment mère Méry monde monsieur mort muse n'avait noble œuvres passer Paul Meurice pauvre père peuple pièce pied Pierre Dupont place Royale pleure plume poëme poésie poëte politique premier prêtre prit public regard répondit reste rien rime Ruy Blas sainte Sainte-Beuve seul siècle soir sorte souris vont talent teurs théâtre tion tombe tour trouve Victor Hugo vieux vin de Syracuse Voilà volume vont se prendre yeux
Popular passages
Page 32 - De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis: " Nulle part le bonheur ne m'attend.
Page 24 - Je ne fais pas grand cas, pour moi, de la critique. Toute mouche qu'elle est, c'est rare qu'elle pique. On m'a dit l'an passé que j'imitais Byron : Vous qui me connaissez, vous savez bien que non. Je hais comme la mort l'état de plagiaire ; Mon verre n'est pas grand, mais je bois dans mon verre. C'est bien peu, je le sais, que d'être homme de bien. Mais toujours est-il vrai que je n'exhume rien.
Page 54 - Dors-tu content, Voltaire, et ton hideux sourire Voltige-t-il encor sur tes os décharnés ? Ton siècle était, dit-on, trop jeune pour te lire; Le nôtre doit te plaire, et tes hommes sont nés. Il est tombé sur nous, cet édifice immense Que de tes larges mains tu sapais nuit et jour. La Mort devait t'attendre avec impatience, Pendant quatre-vingts ans que tu lui fis ta cour; Vous devez vous aimer d'un infernal amour.
Page 51 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux...
Page 70 - Quand j'ai passé par la prairie, J'ai vu, ce soir, dans le sentier, Une fleur tremblante et flétrie, Une pâle fleur d'églantier. Un bourgeon vert à côté d'elle Se balançait sur l'arbrisseau ; J'y vis poindre une fleur nouvelle ; La plus jeune était la plus belle : L'homme est ainsi, toujours nouveau.
Page 81 - Non, mes amis, non, je ne veux rien être ; Semez ailleurs places, titres et croix. Non, pour les cours Dieu ne m'a pas fait naître : Oiseau craintif, je fuis la glu des rois. Que me faut-il ? maîtresse à fine taille, Petit repas et joyeux entretien. De mon berceau près de bénir la paille, En me créant Dieu m'a dit : Ne sois rien.
Page 77 - Et au milieu de la salle s'élevait un trône composé d'ossements, et au pied du trône, en guise d'escabeau, était un crucifix renversé ; et devant le trône, une table d'ébène, et sur la table un vase plein de sang rouge et écumeux, et un crâne humain. « Et les sept hommes couronnés...
Page 81 - Ne marchez point la tête baissée: il faut lever les yeux pour reconnaître sa route. Votre patrie, c'est le ciel; et quand vous regardez le ciel, est-ce qu'en vous il ne se remue rien? est-ce que nul désir ne vous presse ? ou ce désir est-il muet? Il en est qui disent: A quoi bon prier? Dieu est trop au-dessus de nous pour écouter de si chétives créatures.
Page 62 - La faute en est à nous; à toi, riche! à ton or ! Cette fange d'ailleurs contient l'eau pure encor. Pour que la goutte d'eau sorte de la poussière, Et redevienne perle en sa splendeur première, II suffit, c'est ainsi que tout remonte au jour. D'un rayon de soleil ou d'un rayon d'amour ! Septcioiire 4836.
Page 91 - C'est la Pologne et son peuple fidèle Qui tant de fois a pour nous combattu ; Elle se noie au sang qui coule d'elle , Sang qui s'épuise en gardant sa vertu. Comme ce chef mort pour notre patrie, Corps en lambeaux dans l'Elster retrouvé, Au bord du gouffre un peuple entier nous crie : « Rien qu'une main, (bis) Français, je suis sauvé !