La littérature française de la jeunesse, Volumes 2-31830 |
From inside the book
Results 6-10 of 100
Page 15
... cours de l'impression . Malgré le court espace de temps qu'elle paraît embras- ser , cette histoire est tellement ... cour de Rome , de la for- mation de la ligue , de la persévérance de Henri IV , des artifices de Catherine ; nous y ...
... cours de l'impression . Malgré le court espace de temps qu'elle paraît embras- ser , cette histoire est tellement ... cour de Rome , de la for- mation de la ligue , de la persévérance de Henri IV , des artifices de Catherine ; nous y ...
Page 18
... cour , jointe à celle du temps , que les hommes les plus distingués de cette époque se trou- vent entachés soit de l'esprit de faction , soit de celui du fanatisme et de la superstition . On pourrait dire que le genre humain , pris en ...
... cour , jointe à celle du temps , que les hommes les plus distingués de cette époque se trou- vent entachés soit de l'esprit de faction , soit de celui du fanatisme et de la superstition . On pourrait dire que le genre humain , pris en ...
Page 21
... cour ne fut pas le but des poètes français , la poésie , en France , fut nationale et romantique ; mais dès que les poètes voulu- rent plaire à la cour , et uniquement à elle ( cette époque commence au règne de François Ier ) , on s ...
... cour ne fut pas le but des poètes français , la poésie , en France , fut nationale et romantique ; mais dès que les poètes voulu- rent plaire à la cour , et uniquement à elle ( cette époque commence au règne de François Ier ) , on s ...
Page 22
... cours ; elle do- mina , parce que la cour et les poètes étaient d'accord , et que l'on ne consulta pas la nation . Si on l'eût consultée , la comédie se fût sans doute répandue et perfectionnée davantage ; mais depuis le commencement du ...
... cours ; elle do- mina , parce que la cour et les poètes étaient d'accord , et que l'on ne consulta pas la nation . Si on l'eût consultée , la comédie se fût sans doute répandue et perfectionnée davantage ; mais depuis le commencement du ...
Page 25
... cour . La réputation de CHAPELAIN tomba en partie dès qu'il fit paraître son poëme de la Pucelle , promis et attendu depuis vingt ans , et qui donna lieu à ces vers ma- lins de M. Monmor : Nous attendions de Chapelain Une pucelle Jeune ...
... cour . La réputation de CHAPELAIN tomba en partie dès qu'il fit paraître son poëme de la Pucelle , promis et attendu depuis vingt ans , et qui donna lieu à ces vers ma- lins de M. Monmor : Nous attendions de Chapelain Une pucelle Jeune ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
18me siècle assez auteur beau Boileau Bossuet brillant caractère carrière célèbre charme choses cœur comédie composa CONDILLAC Corneille cour critique d'Alembert Diderot Dieu discours donna écrits écrivain écrivit esprit femme FÉNÉLON FONTENELLE force François Ier génie gloire goût Harpe Histoire homme humain JEAN-BAPTISTE ROUSSEAU JEAN-JAQUES jésuites jeune jour juger l'abbé l'Académie française l'ame l'amour l'auteur l'esprit l'Esprit des Lois l'Histoire l'homme laissé langue lettres littéraire littérature livre long-temps Louis XIV MABLY MARIVAUX MARMONTEL Mémoires ment mérite MÉZERAY Mme DE TENCIN Mme de Warens Mme DU BOCCAGE mœurs Molière MONTESQUIEU morale mort mourut naquit nation noble ouvrage parler parut passa passion peint pensée père philosophie pièce poëme poésie poète postérité premier présente prince publia raison religion réputation reste révolution Richelieu roman ROUSSEAU satire savant scène sciences sentiment seul société style succès sujet talent théâtre tion tragédie traits trouve vérité Voltaire volumes vrage
Popular passages
Page 555 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu ! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 621 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 143 - Que si je ne suis né pour de si grands projets, Du moins que les ruisseaux m'offrent de doux objets! Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris; Mais voit-on que le somme en perde de son prix?
Page 500 - Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres ; Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Page 55 - Tout l'univers est plein de sa magnificence : Qu'on l'adore ce Dieu, qu'on l'invoque à jamais ! Son empire a des temps précédé la naissance ; Chantons, publions ses bienfaits. UNE voix, seule. En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence : Son nom ne périra jamais.
Page 143 - Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et du bruit goûter l'ombre et le frais?
Page 82 - Nous avons beau enfler nos conceptions au delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part.
Page 196 - Avouons-le, on sent la force et l'ascendant de ce rare esprit, soit qu'il prêche de génie et sans préparation, soit qu'il prononce un discours étudié et oratoire, soit qu'il explique ses pensées dans la conversation: toujours maître de l'oreille et du cœur de ceux qui l'écoutent, il ne leur permet pas d'envier ni tant d'élévation, ni tant de facilité, de délicatesse, de politesse.
Page 127 - Mais l'homme, sans arrêt dans sa course insensée, Voltige incessamment de pensée en pensée : Son cœur, toujours flottant entre mille embarras, Ne sait ni ce qu'il veut ni ce qu'il ne veut pas.
Page 324 - Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, parce que, si nous les supposions des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens.