La raison philosophique et la raison catholique, conférences, Volume 2 |
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... commun avec vous . Nous autres académiciens pensons et disons tout de même . Eh bien , afin de ne pas merendre coupable d'une si énorme faute , sais - tu ce que je fais ? Je suis votre propre dogme : QUE LE SAGE NE DOIT RIEN ADMETTRE ...
... commun avec vous . Nous autres académiciens pensons et disons tout de même . Eh bien , afin de ne pas merendre coupable d'une si énorme faute , sais - tu ce que je fais ? Je suis votre propre dogme : QUE LE SAGE NE DOIT RIEN ADMETTRE ...
Page 157
... commun les si nombreuses et si profondes dissensions des plus grands hommes entre eux touchant les plus graves sujets , les ténèbres épaisses qui enveloppent toute la nature , les erreurs pitoyables de tant de philosophes qui sont en un ...
... commun les si nombreuses et si profondes dissensions des plus grands hommes entre eux touchant les plus graves sujets , les ténèbres épaisses qui enveloppent toute la nature , les erreurs pitoyables de tant de philosophes qui sont en un ...
Page 160
... COMMUN pour critérium de l'évidence , Descartes a fini par établir , dans la VÉRACITÉ DU DIEU AUTEUR DE LA RAISON , le fon- dement de la certitude . C'est ainsi que , malgré son doute universel , il a évité le scepticisme . On ne peut ...
... COMMUN pour critérium de l'évidence , Descartes a fini par établir , dans la VÉRACITÉ DU DIEU AUTEUR DE LA RAISON , le fon- dement de la certitude . C'est ainsi que , malgré son doute universel , il a évité le scepticisme . On ne peut ...
Page 163
... commun , des croyances universelles et constantes de l'humanité , puisqu'il a reconnu que la preuve de la vraie ( évi- dence est celle - ci : Qu'elle frappe de la même manière tout le monde . Dans sa lettre à Gassendi , que Descartes ...
... commun , des croyances universelles et constantes de l'humanité , puisqu'il a reconnu que la preuve de la vraie ( évi- dence est celle - ci : Qu'elle frappe de la même manière tout le monde . Dans sa lettre à Gassendi , que Descartes ...
Page 172
... commun et la révélation divine . Et quant au sens commun , voici la thèse qu'il formule : « Le << sens commun , ou une propension fondée vraiment dans notre << nature , est un motif certain de bien juger ; THESIS : Sensus « communis ...
... commun et la révélation divine . Et quant au sens commun , voici la thèse qu'il formule : « Le << sens commun , ou une propension fondée vraiment dans notre << nature , est un motif certain de bien juger ; THESIS : Sensus « communis ...
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Common terms and phrases
absurdes Acad admettant admettre æther aliquid anciens philosophes Aristote athées atomes atque autem ayant cause certitude choses chrétien christianisme Cicéron conférence conséquent corps création critérium croyance Deor Descartes Deum Deus Dieu n'a dieux divine doctrine dualisme enim Épicure erreurs esprit esse esset éternelle etiam évidences existe formé hæc hommes igitur infinie intel ipso l'âme l'athéisme l'Église l'esprit l'éternité l'être l'existence l'homme l'origine du monde l'univers Lactance Leucippe losophes Lucullus lui-même lumière manière materia matérielle matière ment morale mouvement mundum nature néant négation du dogme neque nihil nisi non-seulement omnes omnia païens panthéisme pensée peuples philo philoso Platon possit potest principe propre protestantisme puissance Pythagore qu'un quæ quam Quid quidem quod raison catholique raison philosophique ancienne religion rerum révélation rien saint Thomas scepticisme science serait seul Socrate stoïciens substance sunt systèmes terre Tertullien théisme tion universelle vérité vertu voilà vrai Zénon
Popular passages
Page 239 - Et maintenant te voilà détrôné et brisé. Ton nom, si longtemps le dernier mot du savant, la sanction du juge, la force du prince, l'espoir du pauvre, le refuge du coupable repentant, eh bien! ce nom incommunicable, désormais voué au mépris et à l'anathème, sera sifflé parmi les hommes. Car Dieu , c'est sottise et lâcheté; Dieu , c'est hypocrisie et mensonge ; Dieu , c'est tyrannie et misère; Dieu , c'est le mal.
Page xxxviii - Tranquille sur le chemin que j'avais à suivre en ce monde, tranquille sur le but où il devait me conduire dans l'autre ; comprenant la vie dans ses deux phases, et la mort qui les unit, me comprenant...
Page 166 - ... d'où il suit que nos idées ou notions, étant des choses réelles et qui viennent de Dieu , en tout ce en quoi elles sont claires et distinctes , ne peuvent en cela être que vraies.
Page 239 - Et moi je dis : le premier devoir de l'homme intelligent et libre est de chasser incessamment l'idée de Dieu de son esprit et de sa conscience. Car Dieu, s'il existe, est essentiellement hostile à notre nature, et nous ne relevons aucunement de son autorité.
Page 408 - Le Dieu de la conscience n'est pas un Dieu abstrait, un roi solitaire relégué par delà la création sur le trône désert d'une éternité silencieuse et d'une existence absolue qui ressemble au néant même de l'existence : c'est un Dieu à la fois vrai et réel, à...
Page 409 - ... c'est un Dieu à la fois vrai et réel , à la fois substance et cause , toujours substance et toujours cause , n'étant substance qu'en tant que cause , et cause qu'en tant que substance ; c'est-à-dire, étant cause absolue , un et plusieurs , éternité...
Page xxxviii - Dieu sur moi, et l'aimant pour la bonté de ses desseins, j'étais heureux de ce bonheur que donne une foi vive et certaine en une doctrine qui résout toutes les grandes questions qui peuvent intéresser l'homme.
Page xl - Je ne pouvais revenir de mon étan« nement , qu'on s'occupât de l'origine des idées avec une « ardeur si grande, qu'on eût dit que toute la philosophie « était là, et qu'on laissât de côté l'homme, Dieu, le « monde , et les rapports qui les unissent à...
Page xxxviii - Mais, dans le temps où j'étais né, il était impossible que ce bonheur fût durable; et le jour était venu où, du sein de ce paisible édifice de la religion qui m'avait recueilli à ma naissance et à l'ombre duquel ma...
Page 166 - ... pour vraies et certaines, lesquelles par après d'autres raisons m'ont porté à juger absolument fausses. Mais, après avoir reconnu qu'il ya un Dieu, pour ce qu'en même temps j'ai reconnu aussi que toutes choses dépendent de lui et qu'il n'est point trompeur, et qu'ensuite de cela j'ai jugé que tout ce que je conçois clairement et distinctement ne peut manquer d'être vrai ; encore que je ne pense plus aux raisons pour lesquelles j'ai jugé cela être véritable, pourvu...