Mémoires touchant la vie et les Ecrita de la Marquise de Sévigné, Volume 4 |
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... Villeroi l'ignorait , et Sidonia se garda bien de l'en instruire . D'un autre côté , Louvois savait que Louis XIV avait eu les yeux assez éblouis par la beauté de la princesse de Monaco pour en faire l'objet d'une infidélité passagère ...
... Villeroi l'ignorait , et Sidonia se garda bien de l'en instruire . D'un autre côté , Louvois savait que Louis XIV avait eu les yeux assez éblouis par la beauté de la princesse de Monaco pour en faire l'objet d'une infidélité passagère ...
Page 161
... Villeroi . La nécessité où elle s'était trouvée d'avoir à se défendre , dès son entrée dans le monde , contre les piéges et les embûches de ceux qui voulaient par la violence s'emparer de sa for- tune , et la rendre victime de leur ...
... Villeroi . La nécessité où elle s'était trouvée d'avoir à se défendre , dès son entrée dans le monde , contre les piéges et les embûches de ceux qui voulaient par la violence s'emparer de sa for- tune , et la rendre victime de leur ...
Page 162
... Villeroi à agir pour lui auprès de sa jeune cousine . Villeroi y consentit : pour ne pas éveiller les soupçons , il écrivit à son amante les motifs qu'il avait pour qu'elle se montrât aimable envers Louvois . Elle était d'autant plus ...
... Villeroi à agir pour lui auprès de sa jeune cousine . Villeroi y consentit : pour ne pas éveiller les soupçons , il écrivit à son amante les motifs qu'il avait pour qu'elle se montrât aimable envers Louvois . Elle était d'autant plus ...
Page 163
... Villeroi n'avait cessé de lui écrire : Sidonia les recevait avec les siennes , sous une même enve- loppe , par des courriers dont Louvois signait lui - même les passe - ports . Mais , fatiguée d'être ainsi l'instrument de la joie que ...
... Villeroi n'avait cessé de lui écrire : Sidonia les recevait avec les siennes , sous une même enve- loppe , par des courriers dont Louvois signait lui - même les passe - ports . Mais , fatiguée d'être ainsi l'instrument de la joie que ...
Page 164
... Villeroi avait envoyé secrètement Charleville , son valet de chambre , pour porter ses dé- pêches à la marquise de Courcelles 1 . Charleville arriva avant le duc de Gramont ; et l'envie de répandre la pre- mière une nouvelle agréable ...
... Villeroi avait envoyé secrètement Charleville , son valet de chambre , pour porter ses dé- pêches à la marquise de Courcelles 1 . Charleville arriva avant le duc de Gramont ; et l'envie de répandre la pre- mière une nouvelle agréable ...
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Common terms and phrases
¹ SÉVIGNÉ aimait amis amour année août avaient avant avril beau belle Bossuet Bussy c'était cause château cœur comte comtesse Conférez cour d'autres d'elle d'être dame date décembre demande dernier devait donner duchesse écrit écrivait édit esprit états états de Bretagne faisait famille Fayette femme février fille fils frère général guerre Histoire homme Ibid janvier jeune jouer jours juillet juin l'abbé l'assemblée l'avait l'évêque Lettres lieu ligne livres Louis XIV Louvois madame de Coulanges madame de Grignan madame de Sévigné mademoiselle maison marquis mars Marseille Mémoires mère Molière monde mort n'avait n'était nombre nommé nouvelles novembre octobre Œuvres Page parlement passer passion pays père personnes pièce place plaisir porte pouvait première prince Provence quitter Recueil rendit rendre reste rien Rochers s'était savait sentiments septembre serait seul Sidonia société sorte souvent suivant traité trouve Villeroi voyage Voyez
Popular passages
Page 129 - Dieu ? qu'aurai-je à lui présenter? la crainte, la nécessité ferontelles mon retour vers lui ? n'aurai-je aucun autre sentiment que celui de la peur? que puis-je espérer? suis-je digne du paradis? suis-je digne de l'enfer? Quelle alternative !-quel embarras! Rien n'est si fou que de mettre son salut dans l'incertitude ; mais rien n'est si naturel, et la sotte vie que je mène est la chose du monde la plus aisée à comprendre...
Page 129 - Vous me demandez, ma chère enfant, si j'aime toujours bien la vie : je vous avoue que j'y trouve des chagrins cuisants; mais je suis encore plus dégoûtée de la mort : je me trouve si malheureuse d'avoir à finir tout ceci par elle, que si je pouvois retourner en arrière, je ne demanderois pas mieux.
Page 31 - Coëtlogon dansèrent avec deux Bretonnes des passe-pieds merveilleux , et des menuets, d'un air que les courtisans n'ont pas à beaucoup près : ils y font des pas de Bohémiens et de bas Bretons avec une délicatesse et une justesse qui charment.
Page 11 - Le succès de ses études fut tel qu'on pouvait l'attendre d'un génie aussi heureux que le sien. S'il fut fort bon humaniste , il devint encore plus grand philosophe.
Page 198 - ... j'en suis honteuse ; je ne sais ce qu'on a à me tant estimer. Je voulois partir demain; madame de Coulanges a voulu encore un jour , et met à ce prix son voyage de Grignan ; j'ai cru vous faire plaisir de conclure...
Page 130 - Rien n'est si fou que de mettre son salut dans l'incertitude ; mais rien n'est si naturel, et la sotte vie que je mène est la chose du monde la plus aisée à comprendre. Je m'abîme dans ces pensées, et je trouve la mort si terrible, que je hais plus la vie parce qu'elle m'y mène, que par les épines qui s'y rencontrent.
Page 191 - ... souhaiter. Notre Mousse prend courage; nous voyageons un peu gravement; M. de Coulanges nous eût été bon pour nous réjouir. Nous n'avons point trouvé de lecture qui...
Page 261 - Saint-Hérem, etc.; des aventuriers, des épées, des chapeaux du bel air, une idée de guerre, de roman, d'embarquement, d'aventures, de chaînes, de fers, d'esclaves, de servitude, de captivité; moi, qui aime les romans, je suis transportée.