Nouvelle encyclopédie poétique: ou, Choix de poésies dans tous les genres, Volume 9Capelle (M., Pierre Adolphe) Ferra, 1818 - French poetry |
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... Dieu nous paîra de nos douleurs ; >> Dieu viendra nous venger des triomphes du vice . " Qu'il vienne donc ce Dieu , s'il a jamais été ! Depuis que du malheur les vertus sont sujettes , » L'infortuné l'appelle , et n'est point écouté ...
... Dieu nous paîra de nos douleurs ; >> Dieu viendra nous venger des triomphes du vice . " Qu'il vienne donc ce Dieu , s'il a jamais été ! Depuis que du malheur les vertus sont sujettes , » L'infortuné l'appelle , et n'est point écouté ...
Page 62
... Dieu ; c'est Dieu qui vous appelle ! Arrachés de leur froid repos , Les morts du sein 62 ENCYCLOPÉDIE POÉTIQUE .
... Dieu ; c'est Dieu qui vous appelle ! Arrachés de leur froid repos , Les morts du sein 62 ENCYCLOPÉDIE POÉTIQUE .
Page 63
... Dieu s'assemblent confondus . Quel tumulte effrayant ! que de cris lamentables ! Ciel ! qui pourrait compter le nombre des coupables ? Ici , près de l'ingrat , Se cachent l'imposteur , l'avare , l'homicide , Et ce guerrier perfide Qui ...
... Dieu s'assemblent confondus . Quel tumulte effrayant ! que de cris lamentables ! Ciel ! qui pourrait compter le nombre des coupables ? Ici , près de l'ingrat , Se cachent l'imposteur , l'avare , l'homicide , Et ce guerrier perfide Qui ...
Page 69
... Dieu t'aura lui - même admis à ses conseils ! Lorsque tu béniras , dans ta reconnaissance , Celui de qui le temps n'a point vu la naissance , Et dont la main laissa tomber tant de soleils , Comme un essai de sa puissance ! Tristes ...
... Dieu t'aura lui - même admis à ses conseils ! Lorsque tu béniras , dans ta reconnaissance , Celui de qui le temps n'a point vu la naissance , Et dont la main laissa tomber tant de soleils , Comme un essai de sa puissance ! Tristes ...
Page 77
... Dieu , de sa justice apaisant le murmure , Livrera ces méchans au pouvoir infernal . Justes , ne craignez point le vain pouvoir des hommes ; Quelque élevés qu'ils soient , ils sont ce que nous sommes : Si vous êtes mortels , ils le sont ...
... Dieu , de sa justice apaisant le murmure , Livrera ces méchans au pouvoir infernal . Justes , ne craignez point le vain pouvoir des hommes ; Quelque élevés qu'ils soient , ils sont ce que nous sommes : Si vous êtes mortels , ils le sont ...
Contents
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Common terms and phrases
accens adore affreux Aglaure ailes ailes brûlantes airs Alexandre court âme Amours Anacréon Atride autels Bacchus beau beauté bel âge boit brillant brûle Buffon céleste chants charme cher ciel cieux cœur coupable crainte crime cruels délire Dieu dieux divine doux Encelade encens enfans enflammée éternel Etna féconde feux fils flambeau flamme fleurs flots foudre frappe fureur gloire grandeur Grèce grondant guerre héros heureux hommes humains Icare immortelle Israël ivresse jaloux jour l'Amour l'homme l'innocence l'ode l'univers lauriers lois lyre mains monde mort mortels muse neuf sœurs noble nuit ODE D'ANACREON ODE TIRÉE olympique Pindare orages Orphées père peuples Pindare plaisirs pleurs poëte Polycrate Polymnie PSAUME RACAN revers rois roses ROUSSEAU sage sagesse sainte sang Seigneur seul soleil sombre sort sublime superbe talens terre Thèbe TIRÉE DU PSAUME tombeau tonnerre torrens tremblant trépas trésors triomphe tristes trône tyrans vainqueur vains vaste vengeance vengeur vertu vois voix yeux
Popular passages
Page 230 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 217 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encore pleine.
Page 230 - J'ai révélé mon cœur au Dieu de l'innocence ; II a vu mes pleurs pénitents ; II guérit mes remords, il m'arme de constance : Les malheureux sont ses enfants. Mes ennemis, riant, ont dit dans leur colère : Qu'il meure et sa gloire avec lui.
Page 221 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 221 - C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des Rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien; ils sont, comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Page 23 - Je sens de veine en veine une subtile flamme Courir par tout mon corps, sitôt que je te vois. Et dans les doux transports où s'égare mon âme Je ne saurais trouver de langue ni de voix. Un nuage confus se répand sur ma vue. Je n'entends plus, je tombe en de douces langueurs ; Et pâle, sans haleine, interdite, éperdue, Un frisson me saisit, je tremble, je me meurs.
Page 154 - Où l'Hèbre effrayé dans son onde Reçut ses membres dispersés, Le Thrace, errant sur les montagnes, Remplit les bois et les campagnes Du cri perçant de ses douleurs ; Les champs de l'air en retentirent, Et dans les antres qui gémirent Le lion répandit des pleurs.
Page 77 - Qu'aux accents de ma voix la terre se réveille. Rois, soyez attentifs : peuples, ouvrez l'oreille : Que l'Univers se taise, et m'écoute parler. Mes chants vont seconder les accords de ma lyre, L'esprit saint me pénètre, il m'échauffe, il m'inspire Les grandes vérités que je vais révéler.
Page 123 - Fortune, dont la main couronne Les forfaits les plus inouïs, Du faux éclat qui t'environne Serons-nous toujours éblouis ? Jusques à quand, trompeuse idole, D'un culte honteux et frivole Honorerons-nous tes autels ? Verra-t-on toujours tes caprices...
Page 53 - Qui du plus sage des monarques Doit couronner les justes vœux. Espérons des jours plus paisibles : Les dieux ne sont point inflexibles , Puisqu'ils punissent nos forfaits. Dans leurs rigueurs les plus austères , Souvent leurs fléaux salutaires Sont un gage de leurs bienfaits. Le ciel dans une nuit profonde Se plaît à nous cacher ses lois : Les rois sont les maîtres du monde; Les dieux sont les maîtres des rois. Valeur , activité , prudence , Des décrets de leur providence Rien ne change...