Causeries du lundi, Volume 1Garnier frères, 1853 - Authors, French |
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... cours par un récit des événements de 1830 . Les réflexions du jeune prince se mêlaient sans cesse à celles du maréchal et souvent les résumaient d'une manière heu- reuse . Souvent aussi , il avait des pensées originales et nées de lui ...
... cours par un récit des événements de 1830 . Les réflexions du jeune prince se mêlaient sans cesse à celles du maréchal et souvent les résumaient d'une manière heu- reuse . Souvent aussi , il avait des pensées originales et nées de lui ...
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... Cour , il sut que le jeune prince avait été informé par elle de cette conversation de Napoléon et des traces qu'elle avait laissées dans le cœur du maréchal . Il avait donc saisi l'occa- sion de lui être agréable et de réparer l'effet ...
... Cour , il sut que le jeune prince avait été informé par elle de cette conversation de Napoléon et des traces qu'elle avait laissées dans le cœur du maréchal . Il avait donc saisi l'occa- sion de lui être agréable et de réparer l'effet ...
Page 76
... Cour des Pairs ou en Cour d'assises , ni tenir tête aux assaillants de tout genre et de tout bord , ni dessiner sa poitrine avec cette noblesse dans le danger , avait écrit du fond de son cabinet la plupart des choses excellentes que ...
... Cour des Pairs ou en Cour d'assises , ni tenir tête aux assaillants de tout genre et de tout bord , ni dessiner sa poitrine avec cette noblesse dans le danger , avait écrit du fond de son cabinet la plupart des choses excellentes que ...
Page 102
... cours des débats , de s'être montré habile , ferme , et « d'avoir laissé apercevoir parfois , sous les formes de l'urbanité la plus recherchée , le cœur indompté qui ne pardonne point sa défaite , » il s'irrite contre les victorieux ...
... cours des débats , de s'être montré habile , ferme , et « d'avoir laissé apercevoir parfois , sous les formes de l'urbanité la plus recherchée , le cœur indompté qui ne pardonne point sa défaite , » il s'irrite contre les victorieux ...
Page 107
... cours des évé- nements et des opinions s'était dirigé autrement et au hasard ; au point où le prit Casimir Périer , il fit la seule chose forte et hardie qui était possible alors : il mit un bras de fer dans la roue du char lancé à l ...
... cours des évé- nements et des opinions s'était dirigé autrement et au hasard ; au point où le prit Casimir Périer , il fit la seule chose forte et hardie qui était possible alors : il mit un bras de fer dans la roue du char lancé à l ...
Common terms and phrases
aimait amis arrive assez Barbier de Séville beau Beaumarchais belle Bernardin de Saint-Pierre Boileau c'était Carrel charme CHEVALIER DE SAINT-Pierre choses cœur comédie Cosnac Cour Courier dernier Dieu dire disait disait-il dit-il donner écrit écrivait esprit Étienne faisait Fayette femme Figaro fortune gaieté général gens gloire goût Gouvernement guerre Hennin heures heureux homme idées j'ai jamais jeune jeunesse jour l'abbé Gerbet l'Empire l'esprit l'histoire l'homme laisser lettre littéraire livres Louis XIV Louis XVI lui-même Madame maréchal maréchal Marmont Marguerite Mariage de Figaro Marmont Mémoires ment mieux ministre Mme Gay monde Monsieur morale n'avait n'était Napoléon nature naturel parle passé passion Paul et Virginie Paul-Louis Courier pensée père personne philosophie pièce plaisir poëte politique pourtant premier prince de Conti public qu'à qu'un reste rien Rollin s'est s'était sais satirique savait semble sentiment serait seul siècle société Sophie Gay sorte style talent tion trouve voulait Walckenaer
Popular passages
Page 192 - J'ai donné ma pièce au public pour l'amuser et non pour l'instruire, non pour offrir à des bégueules mitigées le plaisir d'en aller penser du bien en petite loge à condition d'en dire du mal en société. Les plaisirs du vice et les honneurs de la vertu, telle est la pruderie du siècle. Ma pièce n'est point un ouvrage équivoque, il faut l'avouer ou la fuir. « Je vous salue, monsieur le duc, et je garde ma loge.
Page 175 - Quel homme ! il réunit tout, la plaisanterie, le sérieux, la raison, la gaieté, la force, le touchant, tous les genres d'éloquence, et il n'en recherche aucun, et il confond tous ses adversaires, et il donne des leçons à ses juges. Sa naïveté m'enchante; je lui pardonne ses imprudences et ses pétulances.
Page 208 - Mère coupable, que tout homme ^ qui n'est pas né un épouvantable méchant finit toujours par être bon quand l'âge des passions s'éloigne, et surtout quand il a goûté le bonheur si doux d'être père ! C'est le but moral de la pièce.
Page 267 - Dites à ceux qui veulent voir Rome, qu'ils se hâtent, car chaque jour le fer du soldat et la serre des agents français flétrissent ses beautés naturelles et la dépouillent de sa parure. Permis à vous Monsieur, qui êtes accoutumé au langage naturel et noble de l'antiquité, de trouver ces expressions trop fleuries ou même trop fardées, mais je n'en sais...
Page 417 - ... graves œuvres. Savez-vous ce qui, de nos jours, a manqué à nos poètes, si pleins à leur début de facultés naturelles, de promesses et d'inspirations heureuses? Il a manqué un Boileau et un monarque éclairé, l'un des deux appuyant et consacrant l'autre. Aussi ces hommes de talent, se sentant dans un siècle d'anarchie et d'indiscipline, se sont vite conduits à l'avenant; ils se sont conduits, au pied de la lettre, non comme de nobles génies ni comme des hommes, mais comme des écoliers...
Page 267 - Les monuments de Rome ne sont guère mieux traités que le peuple. La colonne Trajane est cependant à peu près telle que vous l'avez vue, et nos curieux, qui n'estiment que ce qu'on peut emporter et vendre, n'y font heureusement aucune attention. D'ailleurs, les basreliefs dont elle est ornée sont hors de la portée du sabre, et pourront par conséquent être conservés.
Page 208 - Beaumarchais, que dans vos réflexions philosophiques vous regardiez la dissolution du corps comme l'avenir qui nous est exclusivement destiné : ce corpslà n'est pas nous, il doit périr sans doute, mais l'ouvrier d'un si bel assemblage aurait fait un ouvrage indigne de sa puissance s'il ne réservait rien à cette grande faculté à qui il a permis de s'élever jusqu'à sa connaissance. Mon frère, mon ami, mon Gudin s'entretient souvent avec moi de...
Page 250 - Monsieur alla au-devant d'elle, avec tous les empressements imaginables, et continua jusqu'à son mariage à lui rendre des devoirs, auxquels il ne manquait que de l'amour ; mais le miracle d'enflammer le cœur de ce prince n'était réservé à aucune femme du monde.
Page 260 - Ce n'est pas qu'elle eût moins de majesté, mais elle en savait user d'une manière plus facile et plus touchante, de sorte qu'avec tant de qualités toutes divines, elle ne laissait pas d'être la plus humaine du monde. On eût dit qu'elle s'appropriait les cœurs, au lieu de les laisser en commun, et c'est ce qui a aisément donné sujet de croire qu'elle était bien aise de plaire à tout le monde et d'engager toutes sortes de personnes.
Page 281 - MESSIEURS , Je suis Tourangeau ; j'habite Luynes , sur la rive droite de la Loire, lieu autrefois considérable, que la révocation de l'édit de Nantes a réduit à mille habitants, et que l'on va réduire à rien par de nouvelles persécutions , si votre prudence n'y met ordre.