IDÉE DU DROIT PUBLIC. page 1.. 1. n E que c'est que le Droit Public d'un Etat. II. De quels U membres le Corps Politique est formé, de la double puif- fance & des diverses sociétés qui s'y trouvent ; de l'harmonie de I. Juste idée du Mariage avant qu'il fût élevé à la dignité. du mariage & dans l’unité du mariage qu'elle doit se faire. IV. Le Droit naturel n'impose aucune obligation de se marier, aujourd'hui que le monde est peuplé. V. On doit se conformer aux Régle- mens faits dans les societés civiles , soit sur le mariage, soit au sujet du célibat ; & quelles sont les Loix que les diverses nations ont portées à cet égard. VI. Conditions néceļaires pour rendre un Mariage valable. VII. Quelle forte d'obstacle la consanguinité & l'alliance mettent au Mariage. VIII. La Puissance temporelle · peut déterminer le tems & les autres conditions des mariages, & :XXVII. Fondement de l'autorité qui s'exerce dans le mariage, Se Ċ TIO N III. page 75. De la Puissance paternelle. SECTI . N. IV. page 93. . : : Domestiques. XXXVIII. La relation des Maîtres avec leurs domestiques, Françoises's sont amenés en France, pour retourner aux Colonies. CHAPITRE SECOND. De la Souveraineté confidérée en général , par rapport d fon origine, à ses objets, à ses modifications ; & à ses effets. En quoi consiste la Souveraineté. 1. Définition de la Souveraineté. Il n'est point d'Etat fans Souverain. II. Que toute distinction entre le Souverain & l'Etat est insensée & pernicieuse. III. La Souveraineté est le fondement prochain & immédiat de l'obéissance des Citoyens. Distinction de l'obéifance en a{tive & en passive. IV. L'obéissance à la Loi n'est pas attachée à la justice de ses dispositions, mais à l'autorité du Législateur. V. Toute conduite du sujet qui a pour régle l'esprit particulier dans une affaire publique, à son principe dans une Source empoifonnée. VI. La Souveraineté est une & indivisible. La partager c'est la détruire. VII. L'unité de la Souveraineté se trouve aussi essentiellement dans les Républiques que dans les Mo- narchies. VIIT. Toute Souveraineté est absolue. IX. Enumération des Droits de la Souveraineté. X. La Majesté n'est autre chore que le souverain pouvoir ; & elle se trouve dans les Républiques De la Souveraineté parfaite , c'est-à-dire abfolue XI. Il n'est de Souveraineté parfaite que celle où le Souverain yer; tant qu'elles fubfiftent. XV. Ils sont assujettis aux Loix Des Souverainetés imparfaites. XVII. Diverses maniéres dont une Souveraineté peut être magne ne font que des Princes sujets, & l'Empereur d'Allema- gne lui-même n'est pas Souverain. XX. Des Souverains qui sont Vasaux : & à cette occasion de la Suzeraineté, des Alleus & des Bénéfices , des Fiefs, des Sermens de fidélité, des Homma- ges, & des Investitures. XXI. Du Prince en protection. XXII. Du Que la Souveraineté est de droit Diyin. XXIV. Opinions diverses sur l'origine de la Souveraineté. XXV. Dieu a exercé d'une maniere visible l'autorité du Gouver- vernement. XXVI. Dieu a établi immédiatement des Rois. XXVII. L'origine du Droit suprême de législation, a toujours été réputée divine par tous les peuples ; & les fausses Religions qui n'ont point cette origine divine , ont feint de l'avoir. XXVIII. Dieu eft l'auteur de tout Gouvernement. A quels titres la Souveraineté peut être établie, acquise , & |