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LIBERALITÉ; ce que c'est, 38. Sur la
libéralité, 50. Elle multiplie les avan-
tages des richesses, 108.
LIBERTÉ; le premier soupir de l'en-
fance est pour elle, 136. Elle est in-
compatible avec la faiblesse, ibid.
Existe quand nous nous conduisons
par nos propres désirs, quoique ces
désirs nous viennent de Dieu, 195.
LIBRE ARBITRE,
190. Est un des at-
tributs infinis de Dieu, ibid. Est sou-
vent contraint et borné dans les hom-
ibid.

mes,

LIPSE, 94. A tous les vices du peuple,
ibid.

LISIAS, ou la fausse Eloquence, 95.
N'a d'esprit que pour lui, ibid.
LOCKE (Jean); pourquoi on l'a compté
parmi nos philosophes, 126.
Lois; leur origine, 32. Celle qui est la
plus importante, 115. Elles dimi-
nuent la liberté, 128. Elles prévien-
nent les guerres et les font naître, 169.
LOUANGE offensante, 109. Nous les ai-
mons toutes, 120. On doit louer les
hommes pendant leur vie, 126. Celui
qui nous loue le mieux, 135. Il y a
des hommes qu'il ne faut pas louer,
138.

LOUIS XIV. Les hommes de son règne
ne sont pas ceux du suivant, 171.
LUCAIN, imité par Corneille, 14.
LULLI, 77.
LUTHER, 159.

M.

MAGNANIMITÉ, 212.
MAHOMET, tragédie de Voltaire, 79.
116.
MAÎTRE; où il est,
MAL moral, 31.
MALADE; il ne faut pas trop exiger de
lui, 112. Tout le monde empiète sur
lui, 138. On ne l'est, dit-on, que par
sa faute, 140.
Maladie (dernière); c'est d'elle que
dépend le genre de mort, 112. Tout-
ce qu'elle éteint, ibid. Effet des ma-
ladies, 149.

MALHEUREUX; notre injustice envers
eux, 114. Pourquoi nous les querel-
lons, ibid.
MALIGNITE, 38.

MAROT, imité par Rousseau, 14. Sa
naïveté, 76.
MATHAN, 71.

MAXIME de Pascal, 51. Les maximes

des hommes, 111. Peu de maximes
sont toujours vraies, ibid.
MAXIME, acteur de la tragédie de
Cinna, 68.
MECHANCETE; ce qu'elle suppose,
38.
Tient licu d'esprit, 147.

MECHANS; ce qui les surprend tou-
jours, 110. Veulent passer pour bons,
116, 133.

MÉDIOCRITÉ (contre la ), 45. Grand
signe qui l'annonce, 106.
MELANCOLIE; d'où elle vient, 18. De
la mélancolie, ibid. Tient de la
haine, 28.
MEMPHIS, 168.

MENSONGE; nous nous persuadons nos
propres mensonges, 148.
MENTEURS, III.

MÉPRIS; difficulté de le soutenir, 21.
Sa définition, 28. Du mépris, ibid.
De celui des sots, 108. Pourquoi nous
méprisons beaucoup de choses, 116.
Pourquoi nous ne dédaignons pas le
mépris d'autrui, 145. Tout le monde
a été méprisé, ibid.

MÉRITE; il gagne l'estime, 29. Maximes
sur le mérite, 121, 138.
MÉROPE, tragédie de Voltaire, 80. Mé-
rite de cette pièce, ibid. Beau dis-
cours que lui fait tenir l'auteur, ibid.
Sublimité d'une réflexion qui ter-
mine ce discours, 81.
MINISTRES, 138.
nous n'avons
MISERABLE,
d'en faire, 106.
MYSTÈRE; ce qu'il annonce, 133. Qui
flatte, 141.

pas

le droit

MITHRIDATE, bien peint par Racine,
71. Ce caractère n'est point blâmé
par Voltaire, 82.

MODERATION; son origine, 18. Sa dé-
finition, 38. Celle des grands hom-
mes, 109. Celle des faibles, ibid.
MOEURS du peuple, 167. Du siècle,
169.

MOLIÈRE; réflexions sur ses ouvrages,
63. Son caractère, 73. Ses dénoù-
mens, 79. Il est admirable dans ses
défauts, 8o. Son génie, 125. Son
162.
Pourceaugnac,
MOLLESSE, 39.
MONDE; effet qu'il produit, 12. L'usage
du monde, 23. Ce qu'il ne fant pas
prendre pour le monde, 54. Portrait
du monde, 130. Idée que l'on peut
s'en faire, 131. Faux enchantement
du monde, 190.

MONTAIGNE, 14. Etait imitateur, ibid.
Ce qu'il dit de l'esprit de l'homme,
48. Son observation sur la duplicité
de l'homme, ibid. Son imagination,
125.

MORALE; son fondement, 31. Comme
quelques auteurs la traitent, 106.
D'où viennent nos erreurs en morale,
107. Livres de morale, 128. Notre
indifférence sur la morale, 129.
MORT; fausse règle pour juger la vie,
112. Deux maximes sur la mort, ibid.

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Crainte que l'on en a, 142. Ridicule
affectation de la braver, 148. Alarmes
où elle nous doit plonger, ibid. Pertes
qu'elle nous cause, 151.
MOURANS; leur conscience, 112. Leur
faiblesse, 134.

MURER; ses sons enchanteurs, 31. Ac-
teurs qui lui ont succédé, 89.

71.

N.

NARCISSE,
NATION trop savante, 124. Elle se di-
vise en deux portions, 128. Spectacle
singulier qu'elle offre, 148. Comparée
aux états populaires, 150.
NATURE; modèle de nos inventions

13. Plusieurs de ses dons réunis for-
ment le génie, ibid. Sur la nature et
la coutume, 41. La raison ne répare
pas tous ses vices, 106. Les abus sont
des lois de la nature, ibid. La raison
ne comprend point ses plaisirs,
Laraison trompe plus souvent qu'elle,
107.
111. Elle s'épuise par la douleur
112. Respect dû à ses dons, 120. Elle
surpasse la fortune, 121. Le mépris
de notre nature, 138. Ce n'est point
elle qui est barbare, 161.
NÉCESSITÉ de faire des fautes, 49. Con-
sole mieux que la raison, 121. Elle
comble tous les maux, 149. N'exclut
point la liberté, 195. Ne détruit pas
la nécessité des bonnes oeuvres, 201.
Ne diminue pas la bassesse du vice,
ni le prix de la vertu, 209.
NEGOCIATEUR, 145.
NERON; Comment Racine fait parler
Agrippine, 66. Belle simplicité de ce
discours, 69. Racine le peint comme
l'histoire, 71. Voltaire ne critique
point ce caractère, 82.
NETTETÉ (de la), 5. C'est le vernis des
maîtres, 135. Elle sert de preuve aux
idées, ibid.

NEWTON (Isaac); son esprit créateur,
62. Il n'est cependant pas poëte, 80.
Il croyait en Jésus-Christ, 148. Il
n'y a peut-être plus d'homme comme
lai, 171.
NICOLE,
88.
NOBLESSE; ce qui la caractérise, 11

Sa définition, 38. Sur la noblesse, 45.
C'est un monument de la vertu, 142.
NONCHALANCE,
113.
NOUVEAUTÉS, 124.

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42. Elle fait souffrir la vertu, 59. Elle
incommode les paresseux, 139. Elle
ne fait point le bonheur, 175.
OPINIONS; leurs generations
OPINIATRETÉ, 39, 139.
Comment l'une succède à l'autre, 119.
" 107.
Esprits entraînés par toutes les opi-
nions, 142. Respectées, 144.
ORATEURS, 83. Chagrin (1), 104.
ORGUEIL, 20.
ORONTE, 86.

OSMIN, confident d'Acomat, 64. Dis-
cours que lui tient Acomat, 65.
OSSAT (le cardinal), 132.
OUVRAGES mal jugés, 10. Quand on
parle peu d'un ouvrage, 106. Ceux
qu'il faut abréger, 134. Ceux
conservent un caractère original,
155.

P.

qui

PAIX; comment on l'a, 55. Comment
nous l'aurions toujours, 119. Son
effet, 136. Son peu de durée, 146.
PANEGYRIQUES, 67.
PARESSE; d'où elle naît, 30. Son ori-
gine, 39. Ce qui la nourrit, 111.
PAROLES, 12.
PARESSEUX, 98, 140.

PARTI difficile à commander, 210. Dif-
ficulté d'en prendre un, 139.
PASCAL; pensée juste de lui, 48. Suite
de cette pensée, ibid. Explication
d'une de ses maximes, 51. Sa défense
contre Voltaire, 82. Sa profondeur,
83. Son invention, 84. On voudrait
penser comme lui, ibid. Son talent
de caractériser l'homme, 85. Vivacité
de son esprit, 88. Comparé à Nicole,
ibid. Son imagination, 125. Traite
de petit esprit par les incrédules, 144-
Il a cru en Jésus-Christ, 148.
PASSIONS; l'éloquence se joue d'elles,
12. Sérieux qui leur appartient, 16.
Des passions, 17. Considérées en ge-
ral, 31. Peu sont constantes, 107.
Pourquoi elles font plus de fautes que
le ingement, 111. Leurs avantages,
,113. Elles se règlent sur nos besoins,
129. Leur nouvelle forme, 130. Elles
suivent la mode, 134. Quelles sont les
plus vives, 136. Quelle est la plus
absolue, 138. Effet d'une seule pas-
sion, 141. Elles nous séparent de la
société, 142. Comment elles s'épui-
sent, 149.

PATIENCE; ce que c'est, 121. Tout ce
qu'elle obtient, 139.
PAUL-EMILE, 75.

PAUVRETÉ, 109.

PÈCHEUR, 24.

PEINE (paralogisme sur la peine cați-
tale), 32.

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PEINTURE, 149.
PENETRATION (de la), 5. Ce qui lui
sert le plus, 8. Ce qui nous arrive
pour en manquer, 127.
PENSÉE; quand il faut la rejeter, 106.
Prise mal à propos pour une décou-
verte, ibid. On n'approfondit guère
celle des autres, ibid. Les grandes
pensées, 111. Pensée brillante, 124.
Pensée nouvelle, 135. Pensées sy-
nonymes, ibid. Pensée fausse, 136.
Comment on la tourne, 141. Celles
qui nous amusent en nous trompant,
ibid.

PENSER (nécessité de), 135.
PERE; comment il aime ses enfans,
24. Comment il en est aimé, 25.
PERFECTION, 140.

Perfidie,
38.
PERPLEXITÉ, 39.

PETITESSE, Source de vices, 38. Peti-
tesse d'esprit, 107.

PEUPLE, comparé aux grands, 129.
Ceux qui croient n'être pas peuple,
130.

PEUR, 34.

PHALANTE, 90.
PHILOSOPHE le faux), 127. Ce qui
fait le plus de philosophes, 129.
Celui qui se croit philosophe, 130.
Les grands philosophes, 135. Ce qui
les fait peu goûter, 141.
PHILOSOPHES (vanité des), 213.
PHILOSOPHIE (la plus fausse de toutes),
113. Elle a ses modes, 150.
PHOCAS (Ou la fausse singularité), 93.
Dédaigne de parler juste, ibid.
PHYSIONOMIE, 27.
PIECE de théâtre, 143.
PINDARE, 74.

PITIE (de la), 28. Moins tendre que
l'amour, 140.
PLACE;

les premières et les dernières,
110. Les grandes places, 141. Il
vaut mieux les bien remplir que les
négliger, ibid. Ce qu'il y a de plus
utile, 146.

PLAISANTERIE (effet d'une petite),
138. Ne persuade jamais, 144.
PLAISIR; nous l'éprouvons en naissant,
17. Notre erreur sur les plaisirs,
116.
Ceux des hommes simples et ver-
tueux, 137. Comment on jouit des
véritables, 150. Sur les plaisirs,
157.

PLUTARQUE; comment il peint les Ro-
mains, 66.
POÉSIE, 141.

POETE; ce qui le constitue, 13. Ré-
flexions sur quelques poëtes, 60.
Racine a été le plus éloquent, 70.
Prétention des mauvais poëtes, 141.
But des poëtes tragiques, 143.

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POLITIQUE; Son utilité, 146. Ce qui
la rend bornée, ibid.
PRÉFACES (sur les), 134.
PRÉJUGÉS; pourquoi nous y sommes
dociles, 148.
PRÉSENCE d'esprit, 16.
PRÉSOMPTION ridicule, 10. Orgueil
ainsi nommé, 20.
PRÉTENTIONS, 110.
PRIÈRE, 189.

PRINCES; comment ils apprennent à se
familiariser, 107. Pourquoi ils font
beaucoup d'ingrats, 115. Comment
ils reçoivent la cour qu'on leur fait,

120.

PRINCIPES. On ne les démontre pas,
1. Nécessité de les bien manier, 16.
Principe de notre estime, 29. Il ne
faut pas sortir des principes, 31. De
leur certitude, 43.

PROBITÉ; sa définition, 38. Il faut
en avoir dans les plaisirs, 107. On
ne l'achète point, ibid. C'est un
moyen de réussir, 110.
PRODIGALITÉ, 140.
PRODUCTIONS de l'esprit, 117.
PROJETS rarement exécutés, 129. Scien
ce des projets, 138.
PROMESSES, 139.

PROSPERITÉ fait peu d'amis, 106. Son
inconstance, ibid. Fatalité de celle
des mauvais rois, ibid.
PROVIDENCE, 178.

PRUDENCE; sa définition, 39. Se
fruits sont tardifs, 106.
PUBLIC (jugement du), 10.
PUDEUR, 39.

PIRRHONISME, 40.

Q.

QUINAULT, auteur célèbre, 77. Re-
flexions critiques sur ses ouvrages,
ibid.

R.

RACINE, imitateur des Grecs et de
Virgile, 14. Comparé à Molière,
63. Supériorité de sa poésie, ibid.
Grandeur qui lui est propre, S1. Le
seul de son temps qui a fait des ca-
ractères, ibid. Critiqué par Vol-
taire, ibid. Par l'abbé d'Olivet, 89.
Supérieur à Despréaux, 117. Son
portrait, 122. Son jugement, 125.
Il a cru en Jésus-Christ, 148. Son
Andromaque, 162.

RAILLERIE d'où elle naît, 30. Est

l'épreuve de l'amour-propre, 139.
RAISON; elle est un don de la nature,
33. Elle ne peut réparer tous les
vices de la nature, 106. Penchant
dont elle rougit, 107. Elle trompe

plus que la nature, 111. Le bon ins-
tinct n'en a pas besoin, ibid. Le
sentiment la supplée, 113. Les pas-
sions nous l'ont apprise, 114. Son
impuissance, 136. Pourquoi elle
rougit des inclinations de la nature,
ibid. Le faux esprit ne paraît qu'à
ses dépens, 139. Elle supplée la
vertu, 140. Notre peu de confiance
en elle, 130, 148. Ce qui l'embellit
et la persuade, 149.
RAMEAU; le petit homme ne peut le
souffrir, 88.
RECONNAISSANCE,

30.

RÉFLEXION (de la ), 4. Passions qui
viennent par son organe, 18. Son
insuffisance, 113. Importunité des
réflexions, 142. Elles ne suffisent
pas, 145.

RELIGION; Son utilité, 32. Inconséquen
ce de ses adversaires, 35. Triste effet
de l'incrédulité, 130. Respect qu'elle
a inspiré, 144. Déraisonnemens par
lesquels elle est combattue, 153. Chré-
tienne, est au-dessus de la raison,
212. Est obligée de se prouver par des
démonstrations sans répliques, ibid.
A rendu les Juifs odieux,
RENTES viagères, 137.
213.
REPUTATION mal acquise, 136. Rien
n'est si utile, 137.
RETZ (le cardinal de), 50. Maxime de
lui, 56. Aussi connu par ses écrits que
par ses actions, 132.
RICHELIEU (le cardinal de), 49. Ma-
nière de le rendre méconnaissable,
7o. Il était supérieur à Milton,
Il n'a point dédaigné d'écrire, 132.
RICHES, RICHESSES, 173 et suiv.
ROCHEFOUCAULD (La), auteur des
Maximes, 128. Connu par ses écrits
et ses actions, 132. Allusion à ce
philosophe, 163.

85.

Rot (mauvais), 106. On ne lui doit
rien, 133. Comment un roi peut orner
son visage, 136.
ROLLIN, 88.

ROMAINS; leurs conquêtes, 146. Ne
méprisaient point la gloire, 156. Cor-
rompus par la prospérité, 159. Ne
se battaient point en duel, 162.
ROMANS, 44.

ROTTEMBOURG (M. de), 88.
ROUSSEAU, a imité Marot, 14. Juge-
ment sur ses ouvrages, 73. Comparé
à Voltaire, 78. Ce qu'il dit du flat-
teur, 88.

ROXANE, comment Racine la fait parler,
64. Il la caractérise avec force, ibid.
Beaux traits de ce caractère, 68. Ra-
eine la peint comme l'histoire, 71.

S.

SAGES; leur erreur sur les passions, 31.
Comment la fortune les bamilie, 121.
SAGESSE; sa définition, 39. Tyran des
La vertu les fait, 144.
SAVANS, 118.
faibles, 136.

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SAVOIR, ne prouve pas le génie, 148.
Combien il est rare 135. Ce qu'on
sait le mieux, 141. A quoi sert de tant
savoir, 145. S'approprier le savoir
d'autrui, 146. Effets de l'art et du
SCIENCES (de l'amour des ), 22. Pro-
savoir, 164.
SCIPION, père de Cornélie, 65.
grès des sciences, 171.
SÉNÈQUE, imité par Corneille, 14.
SENS, organes du bien et du mal, celui
qui a un grand sens, 146. Les objets
des sens nous affectent malgré nous,
SENTENCES, 137.
191.

SENTIMENT ( matière de), 11. Assoupi
par la douleur, 112. Il précède la re-
SERVITUDE; abaisse les hommes, 106.
flexion, 114.
Le plus grand des maux,
SÉVÉRITÉ, ce que c'est, 39. Dans les
114.
lois est humanité, 133. Il y en a plus
SEYTRES M. de), son éloge, 181.
que de justice, 140.
SHAKESPEARE, 162. Monstruosité ap-
SIECLE; caractère des differens siècles,
parente de ses pièces, 167.
158. Prévention pour le nôtre, 16j.
SINCERITÉ; sa définition, 38. Diffi-
Contre les moeurs du siècle, 169
culté de la goûter et de la pratiquer,

120.

SOCIÉTÉ, donne le caractère du bien et
du mal, 32. D'hommes faibles, 133.
SOCRATE; ce qu'aurait été Alexandre à
Ce qui détruirait la société, 147:
sa place, 75. Comparé à Bayle, 140.
SOPHISTE, 127.

SOPHOCLE, un des plus grands poëtes
Sor, pourquoi il peut avoir l'esprit du
de l'antiquité, 62.
jeu, 17. Le sot glorieux, 87. Le sat
ne comprend pas les gens d'esprit,
108, Et croit pouvoir les duper, ibid.
C'est aux sots que l'on doit les gens
d'esprit, ibid. On n'est point sot par
sa faute, 114. Celui qui a de la me-
moire, 118. Le sot en bonne compa-
gnie, 122. Comparé au peuple, ibid.
Jugement d'un sot sur l'homme à
talens, 137. Comment les sots usent
des gens d'esprit, 138.
SUBLIME, 11.
SUÉTONE, 66.
SUFFISANCE, 10.

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THEVENARD, 89.

THIESTE (ou la Simplicité), 92. Suit la

vertu par tempérament, ibid.
TIMIDITÉ, sérieux qui la distingue, 16.
Comparée à la honte, 3o. A quelles
entreprises elle nuit le plus, 138.
TITE-LIVE, Comment il peint les Ro-
mains, 66.

TITUS (ou l'Activité), 97.
Tour de l'expression, 11.
TRAITES, sont la loi du plus fort, 129.
Rien n'est si ennuyeux à lire, 146.
TRAITS d'éloquence, 12.
TRANQUILLITÉ, 109.
TRASILLE (ou les gens à la mode), 93.
TURENNE, comparé aux gens à la mode,
49. Comment on le rendait mécon-
naissable, 70. Son respect pour la
religion, 144.

TURNUS (ou le chef de parti), 100.
TYRAN, quand on l'est, 114. Aucune
loi ne peut le contenir, 120.

U.

UNIVERS (sur l'économie de l'), 211.
Doit avoir des lois, ibid. On l'ad-
mire, parce qu'on ne le conçoit pas,
ibid.

V.

VANITÉ sa définition, 20. Contre la
vanité,'46. Ses promesses anéanties,
139. Vanité des fortunes, 188.
VÉRITÉ; comment elle doit être pla-
cée, 10. Comment elle est matière
d'erreur, 107. Sur la vérité, 132.
Comment les demi - philosopes en
font les honneurs, 136. Elle est inc-
puisable, 139. Respect de nos pères
pour elle, 147. C'est le soleil des
intelligences, 148.

VERTU, idée qu'emporte ce mot, 33.
Pourquoi elle est insuffisante à notre
bonheur, 34. L'irréligion ne peut l'a-
néantir, ibid. Réalité des vertus, 36.
On ne peut être dupe de la vertu
48. Il faut la préférer à tout, 58. La
vertu malheureuse, 89. Observation
sur la vertu, 107. Ceux qui la servent
par réflexion, 127. Vertu de certains
philosophes, 128. L'homme est ca-
pable de vertu, ibid. Rien de si ai-
mable qu'elle, 137. Quelle est celle
qui a le plus de grâce, ibid. Son uti-
lité, ibid. Sa preuve, ibid. Nous en
admettons peu, 141. L'esprit ne la fait
pas connaître, 142. Pourquoi nous
voulons en dépouiller l'espèce hu-
maine, 144. Il faut la pratiquer, 153.
VICE, ce que c'est, 33. Il en est qui
n'excluent pas les grandes qualités,
37. On peut le faire concourir au bien,
114. Il ne peut être vraiment utile,
127. Plus il est nécessaire, plus il est
vice, 208. Doit se traiter comme une
maladie, ibid. Sans esprit, il est
toujours nuisible, 137.

VIE, c'est un jeu, 129. Sa courte durée.
130. On la juge mal quand on la
quitte, 140. Quand on l'aime, on
craint la mort, 142. Ce qui arrive-
rait si elle n'avait point de fin, 143.
Sa brièveté, 154.

VIEILLARDS, ce qui les rapproche,
26. On en tire peu de service, 109.
Ils doivent se parer, 138.
VIEILLESSE ; froideur de ses conseils,
114. Avantages qui lui restent, 121.
La mort seule la garantit des infir-
mités, 136.

VIRGILE, copié par Racine, 14. C'est
un des plus grands poëtes de l'anti-
quité, 62.
VIVACITÉ, 4.

VOLONTÉ, n'est point un principe in-
dépendant, 191. Est nécessairement
produite par quelque réflexion ou
quelque passion, 206. A le pouvoir
d'exciter nos idées, ibid. Ne peut

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