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Boss.

« Elle cultivoit son esprit par la lecture des » histoires édifiantes. Son esprit semble être >>> venu dans le monde tout cultivé. » FLECH. «Des mœurs plus cultivées. Une enfance » cultivée par tant de soins, et par des mains » si habiles. Un goût et un amour pour les >> lettres, né avec lui, et qu'une excellente édu»cation avoit cultivé. Les peuples les plus >> sauvages comme les plus cultivés. » les plus polis et les plus cultivés de la Grèce. »> (Voyez fonds, leçons.)

Les temps

MASS.

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On dit, daus le même sens, c'est un homme qu'il faut cultiver, pour dire, c'est un homme dont il faut ménager, entretenir la bienveillance.

CULTURE, s. f., les travaux qu'on emploie pour rendre la terre plus fertile, et pour améorer ses productions. La culture des champs. La culture des vignes, des plantes, des fleurs. S'adonner à la culture de, etc. Abandonner la culture de, etc. La culture dans un tel pays est bonne, excellente, admirable, mauvaise, nérligée. DICT. DE L'ACAD.

« Un pays, que la négligence de ses habitans » laisse maintenant sans culture. » Boss. « Dien appliqua le premier homme à la cul»ture de ce lieu de délices. >> MASS.

On dit, au figuré, la culture de l'esprit, la culture des arts, un esprit naturel et sans culture.

CUPIDITÉ, s. f., désir immodéré, convoitise. Grande cupidité. Cupidité insatiable.

DICT. DE L'ACAD.

a La cupidité qui ne souffre point de bornes. » (Voyez mesurer.) PASC.

« Ils contentent leur propre cupidité. — Les » cupidités humaines. »Voyez craindre, dominer, mélange, poids, retenir, vérité.)

--

FLÉCHIER.

-

« La victime de leurs cupidités injustes. » Le triste jouet de tontes les cupidités humai>> nes. - Pour satisfaire leurs cupidités injustes.' >> Pour mettre des bornes à la cupidité. Ré» veiller par de nouveaux artifices la cupidité » déjà assouvie. » (Voyez immoler, motif, injustice.) MASS. «Effrayer la cupidité des gens d'affaires. » VOLTAIRE. CURIEUSEMENT, adv., avec curiosité, gneusement, exactement. S'informer curieusement. Observer, rechercher, are curieusement. Conserver curieusement une chose.

DICT. DE L'ACAD.

soi

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« Platon, curieux observateur des antiquités. - Des hommes curieux et par là vains et » remuans. Voulant divertir la Grèce tous » jours curieuse. Plus éloquens dans leurs » narrations, que curieux dans leurs recher->>ches.-Des oreilles curieuses.» (Voyez oreille. BOSSUET. FLÉCH.

«Des regards curieux. »

Votre amour curieur. (Voyez secret.)

(II) examine d'un œil et d'un soin curieux, etc. Coa.

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Il se prend quelquefois en mauvaise part. Ne soyez pas si curieux que de fouiller dans mes papiers.

CURIEUX, subst. Je hais les curieux. Un curieux indiscret. Un curieux impertinent. DICT. DE L'ACAD.

« Les curieux et les vagabonds. » Boss. Rien n'échappe aux regards de notre curieuse. BOIL.

Il se dit quelquefois de celui qui prend plaisirs à faire amas de choses curieuses et rares ou qui a une grande connoissance de ces sortes de choses. Le cabinet d'un curieux. C'est un homme qui est tous les jours avec les curieux.. DICT. DE L'ACAD.

CURIEUX DE, suivi d'un nom ou d'un infini tif. Curieux de fleurs, de tulipes. Curieux de now, velles. Curieux de peintures, de tableaux, dr médailles. Curieux de livres. Curieux de voir. Curieux de savoir. DICT. DE L'ACAD.

« Un poëte si savant, et si curieux d'orner so » poënie de tout ce que, etc.-Curieux d'érigor » et de conserver de tels monumens. N39

>> ne devons pas être curieux de connoître dis-
»tinctement ces nouveautés merveilleuses du
» siecle futur. >>
Boss.

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Il signifie aussi chose rare et curieuse. Il a un cabinet plein de curiosités. En ce sens, il est plus d'usage au pluriel qu'au singulier. DICT. DE L'ACAD. Boss.

CURIEUX, se dit aussi des choses, et signifie rare, nouveau excellent dans son genre. Un « De vaines curiosités. » bijou curieux. Travail curieux. CYGNE, s. m., gros oiseau aquatique, de On dit, qu'un livre est curieux, qu'un cabi-plumage blanc, et qui a le cou fort long. Plume net est curieux, pour dire, qn'un livre, qu'un de cygne. Le duvet d'un cygne. Blanc comme un cabinet est rempli de choses curieuses. DICT. DE L'ACAD.

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« Elle n'étoit accusée que d'une curiosité ri»dicule, trop ordinaire alors, mais qui n'est » pas du ressort de la justice. >>

Par curiosité j'ai voulu les connoître.
Et même en le voyant, le bruit de sa fierté
A redoublé pour lui ma curiosité.
(Voyez mortel, saillie.)

VOLT.

COR.

RAC.

Il se prend encore plus particulièrement pour une trop grande envie, un trop grand empressement de savoir les secrets, les affaires d'autrui. C'est avoir trop de curiosité, que de vouloir pénétrer dans le secret de ses amis, malgré eux. DICT. DE L'ACAD. « Une curiosité téméraire mérite d'être con> fondue. » FEN. CURIOSITÉ DE, suivi d'un infinitif. Il eut la curiosité de voyager. La curiosité de voir, d'entendre, etc. DICT. DE L'ACAD. « J'eus la curiosité de savoir, etc. Si la curiosité me prenoit de savoir, etc. » PASc.

« Une vaine curiosité de voir des cours étran≈ gères. » FLECH.

cygne.

Les accens les plus doux des cygnes du Méandre. A.

On appelle figurément, chant du cygne, le dernier ouvrage qu'un grand poëte, qu'un homme éloquent à fait peu de temps avant sa mort. (Voyez chant. Voyez aussi les Morceaux Choisis de Buffon, par Rénouard, page 515 et suivantes.)

On donneaux grands poëtes le nom de cygne. Ainsi, on appelle Virgile le cygne de Mantoue, et Pindare le cygne Thébain. DICT. DE L'ACAD.

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CYLINDRE, s. m., corps de figure longue et ronde, et d'égale grosseur partout. Cylindre de verre. Cylindre de marbre.

On donne aussi le nom de cylindre à un gros rouleau de pierre ou de bois, dont on se sert pour écraser les mottes d'une terre labourée, pour aplanir les allées des jardins, ou les aires des granges. Il faut faire passer les cylindres sur ces allées.

CYLINDRIQUE, adj. des deux genres: qui a la forme d'un cylindre. Miroir cylindrique. CYMBALE, s. f., c'étoit chez les anciens un instrument de musique fait d'airain.

Aujourd'hui nous appelons cymbales deux plans de cuivre que l'on fait frapper l'un contre l'autre. Jouer des cymbales.

CYNIQUE, adj. des deux genres : épithète reprochoit d'être mordans et sans pudeur, dounée à une secte de philosophes, à qui on comme les chiens. Diogène, philosophe cynique. CYNIQUE, impudent, obscène. Discours cynique. Vers cyniques. DICT. DE L'ACAD.

Ses rimes cyniques. (Voyez oreille.) BOIL. CYNIQUE, subst. C'est un cynique.

CYNISME, s. m., nom de la doctrine des philosophes yniques. Le cynisme fit de grands progrès dans la Grèce.

Le cynisme de sa conduite est révoltant.
CYNISME, caractere du cynique, impudence.

DICT. DE L'ACAD.
CYPRÈS, 8. 777.,
arbre toujours vert, qui
s'élève droit et en pointe. Allée de cyprès. Palis-
sade de cyprès. Bois de cyprès. Pomme de cyprès.
D:CT. DE L'ACAD.

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« Ces importans personnages qui ne daignèrent >> pas l'associer à leur table. C'est beaucoup » qu'il sorte quelquefois de ses méditations et » de sa taciturnité, et que même, pour criti» quer, il daigne une fois le jour avoir de l'es»prit.» (Voyez lire.)

LA BRUY. «Ceux à qui Dieu daigne communiquer sa >> puissance. >>

FLECH.

« Afin que vous daigniez vous-même venir » à son secours.- - Vous ne daigniez pas l'en>> tendre. Elles (nos annales) n'ont pas dai»gné même compter les années de la vie des >> rois fainéans. » (Voyez abaisser, occuper.) MASSILLON.

Ainsi toujours les dieux vous daignent inspirer.
Daigne du juste ciel la bonté souveraine
Vous en laisser le fruit, etc.
Aussitôt qu'il me voit, il daigne me connoître.
Qu'est-ce qu'on vous écrit ? daignes m'en avertir.
Daignez à mon amour accorder cette grace.
Ah! demeurez, seigneur, et daignez m'écouter.
(11) présente à mes regards un front séditieux,
Et ne daigneroit pas au moins baisser les yeux.
Daigne-t-elle sur nous tourner au moins la vue ?
Quel orgueil ? etc.

COR.

Vous daignátes, seigneur, aux rives de Trézène
Confier, en partant, Aricie et la reine.
Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle,
Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur. RAC.
(Voyez succès, sourire.)

D

Daigne encor me connoître en ma saison dernière. B. DAIS, s. m., espèce de poêle fait en forme de ciel-de-lit, avec un dossier pendant, que des l'on tend dans l'appartement des princes, ducs, des ambassadeurs. Avoir le dais. Tendre DICT. DE L'ACAD. un duis.

(Elle) va jusques sous le dais faire pâlir le vice. BOIL. (Voyez satire.)

>

On appelle aussi, dais, le poêle qu'on tend aux églises sur le grand autel.

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DAIS, au figuré.

« Sous un dais de feuillage et sur un trône FLÉCH. » de gazon. »

DAME, s. f., celle qui possède une seigneurie, qui a droit, autorité et commandement sur des vassaux. Elle est dame d'un tel lieu. Elle est dame et maitresse. C'est la dame du village. C'est la dame du château. Ces religieuses sont dames de la paroisse.

DAME, est aussi un simple titre que l'on donne par honneur aux femmes de qualité. Haute et puissante dame. C'est une grande dame. Les dames de la cour.

On appelle, dame d'honneur, dame d'atours, dame du lit, dame du palais, des dames qui sont revêtues de certaines charges qui leur donnent ces sortes de titres.

DAME, est aussi un titre qui se donne aux religieuses des abbayes, et de certaines autres communautés, et aux chanoinesses. Les dames de Fontevrault. Les dames de Remiremont.

On appelle, parmi les mêmes religieuses, dames de choeur, celles qui ont séance dans les hautes stalles du choeur, à la distinction des novices qui sont dans les basses, et des sœurs converses qui n'ont été reçues que pour le service de la maison.

DAME, se prend aussi dans un sens plus gé néral, et s'étend à toutes les femmes et à toutes les filles d'une condition un peu honnête. Etre civil avec les dames. Aimer les dames. Etre aimé des dames. Plaire aux dames. Les dames de la ville. Les dames de la province. Les dames DICT. DE L'ACAD. de la halle. « Les dames les plus spirituelles. Les traits » d'une dame illustre. »>

FLECH.

Et qu'on l'honore ici, mais en dame romaine. RAC. (Voyez honorer.)

T'ai-je encore décrit la dame Brelandière.

BOIL.

A parler exactement, le nom de dame ne se donne aux filles, qu'en parlant des filles du roi (voyez madame), et des demoiselles à qui le roi en a donné le brevet. Brevet de dame.

En style de chevalerie, on appelle, dame, celle à qui un chevalier a consacré ses soins et ses exploits. Il a rompu des lances pour sa dame. La dame de ses pensées.

DAMNABLE, adj. des deux genres. (On n'y prononce point IM, non plus que dans les dérivés du verbe damner; mais elle allonge la première syllabe.) Qui peut attirer la damnation éternelle, qui peut faire mériter les peines de l'enfer. Une opinion damnable. Une action damnable. DICT. DE L'ACAD.

« Une si damnable doctrine. La Simonie » est honteuse et damnable dans, etc. » (Voyez subtilité.) PASC. DAMNABLE, pernicieux, détestable, abominable. Des maximes damnables. Des propositions damnables. Dessein damnable. Une entreprise damnable. DICT. DE L'ACAD.

« Après ces damnables exemples. Cet art » damnable. » Boss.

́DAMNATION, s. f., la punition des damnés.

La damnation éternelle. DICT. DE L'ACAD. «Est-ce un article de foi qu'il faille croire, » sur peine de damnation? Vous avez fait » des veux pour leur damnation. Damna» tion éternelle. Ordonuer sur peine de dam»nation. Il seroit en état de damnation.

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» Elle les a tirés de la damnation où ils étoient » engagés. » (Voyez péril.)

PASC.

« J'appréhendois le retour de ma syncope, >> c'est-à-dire, ma damnation et ma mort. »> BOSSUET.

DAMNER, v. a., punir des peines de l'enfer. Dieu damnèra les méchans. DICT. DE L'ACAD. « Qu'y a-t-il de plus contraire à la justice, » que de damner éternellement un enfant in>> capable de volonté. »

PASC.

DAMNER, être cause qu'un homme est damné. « Il tue et damne celui pour qui Jésus-Christ PASC.

>> est mort. »

Les plaisirs innocens ont damné le mauvais >> riche, pour avoir été trop goûtés. » Boss. <<< La mollesse et l'inutilité damneront ceux » qui habitent les villes. » MASS.

DAMNER, regarder comme damné. «En suivant cette maxime, on damne ceux » pour qui Jésus-Christ est mort. »> PASC.

(11) damne tous les humains de sa pleine puissance. BOILEAU.

SE DAMNER, s'exposer à être damné. << Voudront-ils se damner par ces calomnies? Ils se damnent par la débauche, par les » les emportemens, etc. >>

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-

PASC.

On sait en général que le grand nombre se » damne. » MASS.

DAMNÉ, ÉE, participe.

« Vous voulez médire sans être damnés.» Je ne croyois pas qu'on fût damné pour n'a» voir pas de bonnes pensées. »>

DAMNÉ, subst.

PASC.

« Ce sera une des confusions des damnés. » PASCAL.

« Les dumnés ne se haïssent pas moins les » uns les autres, qu'ils ne haissent les dénions. >> BOSSUET.

DANGER, s. m.. péril, risque, ce qui est ordinairement suivi d'un malheur, ou qui expose à une perte, un dommage. Grand danger. Danger évident Danger imminent. S'exposer au danger. Se mettre en danger. Courir un

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« L'avertir du danger. Il y eut des dan»gers qu'elle craignit plus que les siens mêmes. » Dans le danger où elle étoit. Prévenir le » danger. Eviter les dangers. Il cherche le » danger pour le danger mème.» (Voyez courir, représenter.) FLÉCH.

«Il se fait des dangers de gaieté de cœur, >> seulement pour avoir la gloire d'en ètre sor»ti. Vous avez bien su mettre le danger que » vous courûtes alors à profit pour votre for» tune, mais, etc. » (Voyez occasion, partager, profit.) MASS.

Et mettre tant de fois ton Rodrigue en danger.
Il vous a préservé, etc.

Da danger le plus grand que vous puissiez courir.
Quand je songe aux dangers où je te précipite.

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» Vous qui avez connu les dangers du monde.»> (Voyez sentir.) FLECH. «Le danger de la prospérité. - Dès que la foi lui en a découvert le danger. -La victoire » même a ses dangers. » (Voyez marquer.) MASSILLON.

DANGER A. Il y a du danger à passer par cette foret. Il n'y a point de danger à passer la rivière. DANGER DE, suivi d'un infinitif. Etre en danDICT. DE L ger de mourir. L'ACAD. Ils étoient en danger d'ètre assassinés. » PASCAL.

«Ils passent les nois entiers dans une même » maison, sans le moindre danger de se renLA BRUY.

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a Leur opposition lui est pen dangereuse. Il est dangereux à l'homme de connoitre

>> Dieu sans connoître sa misère. >>

PASC.

« Aman trouve la puissance et la religion » des Juifs dangereuses à l'empire. » MASS. « L'absence du chef est toujours dangereuse » aux affaires. » VOLT.

DANGEREUX DE, suivi d'un infinitif. a Il est dangereux de dire au peuple que les »lois ne sont pas justes. Il est dangereux de » trop faire voir à l'homme combien il est égal » aux bètes, sans lui montrer sa grandeur; il » est encore dangereux de lui faire trop voir sa » grandeur, sans lui montrer sa bassesse ; il est » encore plus dangereux de lui laisser ignorer » l'une et l'autre. »> PASC.

«Il est dangereux d'enseigner la vérité dans >> un autre ordre que celui que Dieu a suivi. » BOSSUET.

« Ces hommes qu'il est également dangereux » d'abattre ou d'élever. >> FLECH.

« Ces momens fâcheux où il est si dange »reux d'aborder ses maîtres. >> MASS. DANGEREUX QUE.

« Il est dangereux qu'on ne se plaise trop (il » est à craindre que, etc.)-Qu'il est dangereux » que la vanité n'étouffe une partie de la recon>> noissance? >> FLECH.

DANGEREUX POUR.

PASC.

<< Tous les grands divertissemens sont dan» gereux pour la vie chrétienne. >> «Sa mort précipitée n'avoit rien de dangereux pour elle. » Boss.

« Il seroit trop dangereux pour lui d'opprimer » publiquement ses frères. >> MASS.

Ce combat pour mon ame étoit moins dangereux. COR. (Voyez séjour.)

DANGEREUX, se dit aussi des personnes. Cert homme est dangereux (il y a du danger d'avoir commerce avec lui, de se fier à lui.) DICT. DE L'ACAD. « Vous les traitez comme les plus dangereux » hérétiques. » PASC.

« Il confondit ces dangereux hérétiques. » Un ami dangereux. Son plus dangereux Boss.

>> séducteur. »>

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« Esprit dangereux et nuisible. » LA BRUY. « Ces auteurs dangereux. - Le plus dange» reux ennemi.- Les compagnies dangereuses. » MASSILLON.

Ou mes plus dangereux et plus grands adversaires.
CORNEILLE.

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