It has been found impossible to determine the dates of the following poems. They all belong, however, to the present century.
parfait Ami, 47; Le Sauveur sur la Croix, 49; La Sainte Cène, 51; La Bible, 52.- Madame Tastu, Petite Prière,
53; id. Le dernier Jour
de l'Année, 54.-Lamartine, La Prière, 57.-La reine Hor- tense, Romance chevale- resque, 106.-Madame d'Hou- detot, L'Amour, 158. - De Jouy, Conseils à Délie, 159.- Armand Gouffé, Eloge de l'Eau, 160; id. Couplets aux Convives des Dîners Vaudeville, 161; id. Verre, 163; id. La Lanterne magique, 235.- Festeau, As- modée, 241.- - Désaugiers, Les Inconvénients de la Fortune, 247; id. Paris à cinq Heures du Matin, 354; id. Paris à cinq Heures du Soir,
357; id. Le Verre, 174; id. Mon- sieur et Madame Denis, 176. -Verdier, Épitaphe d'un Égoiste, 248; Épitaphe d'un Prélat, 249.-Fumelo, Contre Forlis, ib.-F. de Neufchâteau, Sur un Médecin, ib.-Pons (de Verdun), La Lorgnette, 250. -Deville, Contre Martin, 253; id. Sur un Parasite, ib.- Madame E. P., Prédicateur courtisan, 253.-F. Pillet, Contre un ancien Sénateur, 253; id. Sur un Courtisan, 256; id. Contre un Critique, ib.-Ponsardin-Simon, Contre un Envieux, ib.-Dallier, Épi- taphe d'un Ami, 257.-Juste Olivier, Un bon Conservateur, ib.; Cantique de l'Enfant pro- digue, 265. - Charrin, Le Gascon, 282.-Ducis, A mon Ruisseau, 345.-Soumet, La pauvre Fille, 347.-Cadet de Gassicourt, Espoir et Sou- venir, 348.-Châteaubriand, Le Montagnard émigré, 350. -Bayard, Couplets de Vau- deville, 363; id. Une Visite au Collège, 365; Le Flâneur, 367; Le petit Maître, 371; Les grandes Vérités, 374.- Dumanoir, Te souviens-tn, Marie, 380; Romance dé
Nina, 378.-Madame Viot, L'Emigration du Plaisir, 379. -Marc Constantin, Les Trois Ages, 382.-G. Lemoine, Le Garde moulin, 183; id. Fleur des Champs, 194; L'Amour, 185.-A. de Beauplan, Dormez,
chères Amours, 185; Colinette, 186.-Morel, La Vie est un Voyage, 188.-Planard, Bar- carolle de Marie, 189.-Bérat, Ma Normandie, 192; Sur, un Sot, 197. Barraton, Épi- gramme, 206.
Ci-gît qui fut de belle taille
Ci-git un bel esprit qui n'eut rien de terrestre
De toutes les couleurs prompt à se revêtir
Dictes moy où ne en quel pays
Dieu! qu'il fait bon la regarder
Dis moi, mon cœur, mon cœur de flammes D'où vient, chers cabalistes
Du fameux concile d'Embrun
En une grant fourest et lée
Est-il bien vrai Seigneur, qu'un fils de la poussière
Fleur des champs, brune moissonneuse Fortune dont la main couronne
Hélas! après dix ans je revois la journée.
Heureux enfant ! que je t'envie
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage
Heureux qui dans sa maisonnette
Hier, à l'heure où l'étoile scintille
Hier j'ai visité les grandes Catacombes
Histoire, poésie, il joint du pied vos cimes Huissiers, qu'on fasse silence.
« PreviousContinue » |