O vous dont le public emporte tous les soins, Vous que doivent troubler mille accidents sinistres, Cette leçon sera la fin de ces ouvrages: (1)« Cet apologue est un des plus parfaits qui soient sortis de la plume de la Fontaine, quant à l'importance du sens, à la beauté de la poésie et à la pureté du style. Le discours du solitaire est sublime de philosophie, de noblesse, de simplicité... La Fontaine avait entendu de son temps cette fameuse objection contre la vie solitaire, si souvent répétée du nôtre L'homme se doit à la société, comme si l'on ne pouvait servir ses semblables de toutes les facultés de son esprit et de tout le dévouement de son cœur que sur les bancs des écoles et dans les débats des tribunaux; et il y répond par un argument que l'observation tifie tous les jours : Ces secours, grâce à Dieu, ne nous manqueront pas : Ensuite son style se relève pour des idées plus graves, et se soutient jusqu'à la fin à une hauteur que nos meilleurs écrivains ont rarement pu atteindre dans les genres les plus éminents de la poésie. Telle est cette fable, qui n'offre pas une faiblesse, pas une impropriété de termes, pas une négligence de versification; et il faut convenir avec la Fontaine qu'il ne pouvait mieux finir. » (Ch. Nodier.) FIN Renard par-devant le Sin- Le Juge arbitre, l'Hospitalier Le Loup et le Renard. XI Les Loups et les Brebis. III.13. Le Laboureur et ses Enfants. La Laitière et le Pot au lait. Les Médecins. V., 12. Les Lapins, X, 14. La Lice et sa Compagne. II, 6. Le Lièvre et la Perdrix. V.17. Le Lion abattu par l'Homme. Le Lion devenu vieux. III, 14. Le Lion s'en allant en guerre. V. 19. Le Lion et l'Ane chassants. Le Lion et le Chasseur. VI, 2. Le Lion et le Moucheron. II,8. La Lionne et l'Ourse. X, 12. Le Loup et le Chien. I, 5. Le Loup, la Chèvre et le Le Loup plaidant contre le Le Meunier, son Fils et l'Ane. III, 1. Le Milan et le Rossignol. IX, 16. L'Eil du Maître. IV, 18. L'Oiseleur, l'Autour et l'A louette. VI. 15. dins. VIII, 10. Le Paon se plaignant à Ju- La Perdrix et les Coqs. X, 8. et son Fils. X, 11. |