Page images
PDF
EPUB
[ocr errors]
[ocr errors]
[ocr errors]
[ocr errors]
[ocr errors]

"

رو

[ocr errors]

وو

[ocr errors]
[ocr errors]

qu'ils auroient tenure en ce monde cette invention poëtique reffemble fort à l'opinion, qui avoit été enfeignée par Pythagore[k] que nos ames font des démons déchus par le péché de leur état,& relégués par punition dans des corps: ce que Platon a imité dans le Cratyle, où il appelle le corps la prifon de l'ame.

Le pére Bouchet Jéfuite [1], rap. porte ainfi une converfation, qu'il eut avec un Brame Indien.,, J'eus autrefois un long entretien, avec un Brame Indien, qui fe fervoit de cette comparaifon : Repréfentez-vous plufieurs milliers de vafes, grands, petits, médiocres, touts remplis d'eau. Imaginez-vous, que le foleil donne à plomb fur ces vafes: n'eft-il pas vrai, que dans chacun d'eux il grave fon image? que l'on y voit un petit foleil, ou plûtôt un amas de raïons, qui fortent immédiatement du corps brillant de cet aftre? C'eft me, difoit-il, ce qui fe paffe dans le monde: les vafes font les differents corps; l'ame émane de Dieu, de même que les raïons émanent du foleil. Je lui demandai s'il penfoit, que dans la diffolution des ,, corps, les ames étoient détruites, de même que les images du foleil ne fubfif. toient plus, dès que le vafe étoit brifé. Il me répondit que comme ces mêmes raïons, qui avoient formé ces images dans les vafes brifés, fervoient former d'autres images dans d'autres vafes pleins d'eau, de même les ames obligées de quitter les corps qui périffent, vont animer d'autres corps,

"

دو

[ocr errors]

رو

"

دو

[ocr errors]
[ocr errors][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small]
[ocr errors][ocr errors]

qui font frais & vigoureux. Mais » pourfuivis-je, pourquoi cette portion de la divinité, qui anime les hommes, „ commet-elle de fi grands crimes › N'est-, il pas ridicule d'attribuer à une partie,, de Dieu même, des péchés auffi hon. » teux, que ceux que nous voïons tous » les jours commettre aux hommes ? 11 m'avoua qu'il avoit de la peine à com- » prendre, comment cette partie de,, Dieu, qui animoit pour la prémiére fois le corps de l'homme, pouvoit donner dans de fi grands excès; mais fuppofé qu'elle fe fût rendue coupable de quelque crime, il falloit bien qu'el-,, le fe purifiàt par diverfes tranfmigra-,, tions, avant que de fe réunir à la divi- » nité.“

Les Caraïbes ont embraffé [m] une opinion fort étrange touchant l'ame; chacun croit avoir autant d'ame qu'il a de batte.nents de cœur; mais que cependant l'ame principale eft le cœur lui-même.

[merged small][merged small][ocr errors][merged small][ocr errors][ocr errors][ocr errors]

La Chambre, dans fon fyfteme de l'ame, relève plufieurs difficultés au fujet des fubftances fpirituelles.,, ques fur les fubftances Toute fubftance créée eft bornée ( dit fpirituelles.. eet auteur); tout ce qui eft borné doit avoir une extenfion; car qui dit une chose bornée, dit qu'elle a des extrémités; & on ne peut concevoir une extrémité, qu'il n'y ait une extenfion terminée par elles. Son extenfon eft d'une autre espéce, que la cor porelle; mais c'eft toujours une extenfion, de même que fa fubftance différente de celle des corps, eft une vraie Pp 3

[merged small][ocr errors][ocr errors][ocr errors][ocr errors][ocr errors][merged small][ocr errors]

י

[ocr errors]
[ocr errors]

& formelle fubftance. « Ces principes font contraires à l'axiome général de Defcartes, que matiere & étenduë font une même chofe, & que l'une » ne peut être conçue fans l'autre.,,. L'extention de l'ame eft fpirituelle & indivisible, comme l'ame elle-mê,, me fon extenfion eft une quantité qui mefure la fubftance, & qui fouffre la pénétration. Les fubftan» ces fpirituelles, telles que les anges & les ames, paffent au travers » de toutes chofes". Le nombre eft un autre exemple d'une extention fpirituelle.

دو

دو

دو

دو

دو

[ocr errors]

دو

[ocr errors]
[ocr errors]
[ocr errors]

Il eft conftant en métaphifique, & en théologie, que les efprits fe meuvent, qu'ils font en certains lieux & ne font pas dans d'autres: faut donc (continuë la Chambre) » qu'ils aient quelque extenfion. Puif ,, que l'ame a une véritable exten,, fion, il eft néceffaire auffi qu'elle » ait des parties. Car tout de même, qu'on ne peut concevoir une chofe » bornée qu'elle n'ait quelque ex» tenfion, on ne peut auffi concevoir une extenfion extenfion, qu'elle n'ait des parties, finon actuelles, du moins affignables & virtuelles. En , effet fi l'ame a une extenfion, fon extension a des extrémités, & ces extrémités font éloignées l'une de l'autre, autrement il n'y auroit point d'extenfion. Or ces extrémités bornent la fubftance de l'ame; il eft impoffible que la fubftance, qui eft bornée par une de ces extrémités, foit la même qui eft bornée l'autre extrémité: & cela par fuffic pour dire, que l'ame a des », parties différentes, puifqu'il eft vrai de dire que comme une extrémité n'eft pas l'autre, la fubitance qui eft terminée par celle-là, eft différente de celle qui eft terminée par

[ocr errors]
[ocr errors]

دو

[ocr errors]

وو

[ocr errors][ocr errors][ocr errors][ocr errors][ocr errors]
[ocr errors][merged small][merged small][ocr errors][ocr errors][ocr errors]

celle-ci. S'il en étoit autrement toutes les fituations que l'extenfion, porte nécessairement avec foi, ient confondues: ce qui eft en haut feroit en bas ce qui eft à droite, feroit à gauche; ce qui eft vers,. l'Orient feroit vers l'Occident. Car fi une ame occupe un efpace, il . eft certain qu'elle a des bornes, qui répondent à toutes ces différentes fituations; & fi elle n'a aucunes „ parties qui les déterminent, elles feront confondues. Il y a donc des,, parties dans les fubftances fpirituel, les; mais elles ne font qu'affigna- . bles, & virtuelles: c'eft pourquoi,,,. comme elles ne fe peuvent divifer » actuellement, l'ame toute étenduë qu'elle eft, demeure indivifible, parce qu'il n'y a point de caufe phyfique qui la puiffe divifer „,.

رو

Quelques philofophes ont dit que les corps cccupent l'efpace, d'une maniére circonfcripte les efprits. d'une manière définitive; & Dieu, d'une manière réplétive. Mais cette diftinction. ( ainsi qu'il eft ordinaire au langage de l'échole) répand l'ob fcurité fur les chofes, qu'elle devroit éclaircir.

Je réponds à ces objections de la métaphyfique la plus abftraite, que toute fubftance fpirituelle n'occupe proprement aucun espace. Elle n'est pas pour cela infinie. Ses bornes font, non pas celles du lieu où elle eft, mais, les bornes de fon action. : à la différence de Dieu qui eft également préfent par tout, non par l'étenduë de fon être (car fi cela étoit, ce feroit corporellement); mais par une action, ou une opération univerfelle. L'ame eft où elle agit; & fa puiffance étant limitée, elle ne peut agir qu'en un lieu à la fois mais elle change ce lieu avec la prodigieufe

[ocr errors][ocr errors][merged small][ocr errors][ocr errors]

20.

viteffe de la penfée, qui paffe rapidement d'une extrémité de l'univers à l'autre. C'est ainsi que nous devons imaginer le lieu d'un ange, & de tou. tes les fubftances fpirituelles. Si l'on pouvoit fuppofer que toutes les intelligences euffent dans le même inftant la même penfée, il feroit vrai de dire que les anges, & les démons, & toutes les ames des hommes feroient dans cet inf. tant, en un même lieu, & ce lieu pourroit être la portion de la matiére la plus déliée, ou quelque chofe qui feroit entiérement imperceptible, ou même une fubftance purement fpirituelle, comme fi toutes les intelligences penfoient à Dieu en même temps. Les bornes du lieu qu'occupe une fubftance fpirituel le ne font donc autres que les bornes de fon action, fans qu'il foit befoin d'avoir recours à des contractions, des pénétrations, ou des extenfions. Cette explication s'accommode aux deux propriétés effentielles, qui diftinguent les deux fubftances fpirituelles & corporelles, fçavoir la penfée & la dimen

fion.

La Chambre, en affignant une étenduë, & des parties au moins virtuelles aux intelligences, n'a pas bien entendu cette partie de la métaphyfique, qui eft d'une indifférence totale, pour ce qui concerne la foi,. puifque nous ne fommes pas obligés de fçavoir, de quelle maniére les fubftances fpirituelles occupent les lieux où elles font; mais feulement, d'être bien perfuadés de tout ce que l'écriture contient au fujet des efprits, de leur exiftence, de la chute où l'orgueil en a entrainé une partie, & de l'immortalité de nos ames.

Ce fubtile métaphyficien [n] parle Geur des ainfi, de la grandeur des fubftances fpi

De la gran

Jubitances Ipirituelles.

"

[ocr errors]
[ocr errors]
[ocr errors]

rituelles.,, Qui peut dire l'efpace, que,, l'ame occupe, lorfqu'elle eft féparée du corps? quel philofophe a tenté une fi difficile entreprife? On ne peut pas dire » quelle n'a d'autre extenfion, que celle du corps qu'elle anime: car l'ame d'un enfant ou du fœtus a bien plus d'étendue, que fon corps. Si toutes les ames font égales, fe trouvant des hommes de plus » grande & plus petite ftature, il faut,, qu'elle foit refferrée dans les petits, &,, qu'elle n'y ait pas toute l'étendue qu'elle peut avoir. Il eft vrai femblable que » l'ame humaine eft plus grande que touts, les corps qui font animés; mais il faut pour mefurer la grandeur de l'ame prendre autre chofe que les corps; il» faut la comparer aux fubftances angéliques, qui font de même nature .

[n] La Chambre dans le fyftéme de l'ame.

"

[ocr errors]
[ocr errors]

Occam, le chef des Nominaux, ne donne pas aux anges, plus d'extenfion, qu'en pourroit avoir le plus grand corps, qu'ils animeroient, s'ils pouvoient en être la forme. Mais comme cette condition eft impoffible, étant contraire à la nature angélique, il confesse lui même que cette mefure n'eft pas juste, & conclut enfin fa recherche par l'aveu ingénu de fon ignorance.

Il y en a qui ont été plus hardis, car ils ont foutenu que chaque ange eft aussi grand que le monde. Ils appuient cette opinion, fur ce que cette grande extenfion eft digne de la magnificence du créateur, & de l'excellence de ces créatures ;que par cette grande extenfion ils agiffent en un moment fur les chofes d'ici bas. Si l'on objecte que les anges fe pénétreroient, ils répondent qu'il n'y a aucun inconvénient, & que la même chofe arrive à la clarté des aftres.

Pour la Chambre, il fe fonde fur touts les raports,que l'on découvre dans l'écri

[ocr errors]
[ocr errors]
[ocr errors]

دو

[ocr errors]

ود

دو

[ocr errors]

ture fainte, entre les anges & les aftres; & il eft d'avis que les anges ont une gran. deur femblable à celle des aftres. Les anges ont été créés par la même parole, qui créa la lumiére: l'apocalypie donne aux anges le nom d'étoiles, & dit que les fept étoiles font les fept anges. Comme ce qui eft dans le monde fenfible eft l'image de ce qui eft dans le monde intelligible, de même que l'un & l'autre eft l'image du monde Archetype, il eft vraisemblable, que les anges font dans l'empyrée ce que les aftres font dans les cieux; & qu'étant femblables par tant de rapports, ils le doivent être auffi en grandeur.

La Chambre continuë de s'expliquer ainfi fur les ames:,, La lumiére fenfible étant l'image de l'intellectuelle, & la substance des ames étant moins par faite, que celle des anges, il eft vraifemblable que comme le rapport & l'analogie des anges fe trouve dans les étoiles, la proportion de la grandeur des ames fe trouve dans les planétes, ,, qui font d'un ordre inférieur aux étoi» les. Cette grande extenfion des anges ,, & des ames fera moins de peine, fi l'on ,, confidére qu'un grain de poudre à ca,, non, venant à s'enflammer, occupe », un espace deux cents vingt cinq mille fois plus grand qu'il n'avoit. Si l'odeur fe répand fi loin & fi long-temps, fans diminuer le poids & le volume du ,, corps qui la produit, jufqu'où ne pour» ra pas s'étendre un efprit dont la

دو

"

[ocr errors]

دو

دو

[ocr errors]
[ocr errors]
[ocr errors]

در

fubftance eft fans comparaifon plus fub. tile? Il eft vraisemblable que ni l'ame,, féparée du corps, ni l'ango ne fe tien-,, nent pas toujours étendus, jufqu'aux derniéres bornes où ils peuvent porter » leur extenfion, & qu'ils demeurent » dans une confiftance médiocre, qu'ils peuvent néanmoins étendre ou refferer,,, felon le deffein qu'ils ont „ •

Mais on tranche toutes ces difficultés, en foutenant qu'en bonne métaphyfique, les anges, les ames des hommes, ni les démons n'ont point de figu re, & par conféquent ni extenfion ni grandeur, & que les fubftances fpirituelles, comme il a été dit ci-deffus, n'occupent un espace défini & borné, que par leur action.

دو

21.

Commen

que les pe

mate rialité des

Ces difficultés tirées du fiftéme de l'ame de la Chambre, & qui roulent on doit en fur la plus fubtile métaphysique, con- tendre ce duifent à entendre, dans quel fens res ont di plufieurs péres de l'églife ont tenu dela que les ames n'étoient pas des fubf. fubftances fpirituelles tances purement fpirituelles; c'est àdire, fpirituelles comme l'effence divine, & qu'ils ont réfervé la fpiritualité à Dieu feul, à la feule fubftance infinie. C'eft le fentiment de faint Irénée [o] qui dit que l'ame eft incorruptible, par comparaifon aux corps mortels; Tertullien [p], faint Hilaire [9], Caffien [r] n'at tribuënt pas à l'ame une pure fpiritualité; Tatien [s] affigne à l'ame une multiplicité de parties; faint Am

broile

[o] Sed incorruptibiles animæ, quan tum ad comparationem mortalium corporum, S. Iranaus, lib. 5.

[p] Tertull. de anima, c. 7.

[9] Animarum fpecies five obtinentium corpora, five corporibus exulantium, corpoream tamen naturæ fuælub ftantiam fortiuntur. S. Hilar. Pitav. in Matth.

[r] Licèt enim pronunciemus non nullas effe fpirituales naturas, ut funt angeli,archangeli, cæteræque virtutes, ipfà quoque anima noftra vel certè per fe fubti lis, tamen incorporeæ nullatenus æftimandæ funt : habent enim fecundum fe corpus, quo fubfiftunt, licet multò tenuius quam nos. Caffian.collat. 7. 13.

[5] Ψυλή μένων ἡ τῶν ἀνθρώπων πολυ

broile [] ne reconnoît de fpirituel, que la fainte Trinité.

Sophronius, patriarche de Jérufalem, dans fa lettre approuvée par le fixiéme concile [u], décide que l'ame eft immortelle par la feule grace de Dieu, & non par fa propre nature. On répond que cela doit s'entendre, dans le même fens que faint Paul a dit de Dieu [x], qu'il a feul l'immortalité: c'est à dire [y], que Dieu feul a par fon effence l'immortalité pleine, entiére, & parfaite, en forte que toute perfection vient de Dieu comme de fa fource.

Il n'y a que Dieu, dit Origéne[z], dont le propre eft de fubfifter fans aucune matiére & fans aucun mêlange de corps. C'eft auffi le fentiment de Tertullien [a], & de faint [b] Hilaire Claudien Mamert [c], faint Pierre Chryfologue, Caffien, faint Fulgence, Gennade, l'abbé Rupert établiffent comme un principe, que Dieu eft le feul être qui foit purement fpirituel. C'est ainsi que Dieu eft reconnu pour l'être feul à l'exclufion de tout autre; ce qui ne fignifie pas que rien n'éxifte que Dieu, mais que rien n'exifteà la maniére de Dieu.

Outre la différence qui eft entre la fubftance fpirituelle infinie, & les fubftances fpirituelles finies, il faut confidérer dans quels excès tomboient les Stoïciens, & les Platoniciens, dont Tom. I.

les fectes étoient fort en vogue, dans les temps de la primitive églife. Platon [d], de ce que l'ame eft fpirituelle, indivifible, immortelle, concluoit qu'elle eft femblable à la divinité. Les Stoïciens foutenoient que l'ame eft une portion de la divinité même.

C'eft pour préferver les Chrétiens de ces erreurs, que les péres ont dit que les fubftances des anges & des ames étoient très-éloignées de la fubftance divine, & que cette fubftance des anges & des ames étoit matérielle en comparaifon de la divinité, & fpirituelle en comparaifon de nos corps.

22.

Les Péres

tant quelque

pas craindre

contraire.

Comme celui qui veut redreffer un de l'Eglife arbre, le plie vers le côté oppofé à en combatfa pente, de même lorfque les péres erreur,femcombattoient quelque erreur dange- bloient ne reufe, ils fembloient ne pas craindre l'extrémité l'extrémité contraire. C'eft ainfi que faint Auguftin combattant l'erreur de Pélage, qui nioit la neceflité de la grace pour faire de bonnes œuvres, femble quelquefois s'exprimer d'une maniére un peu dure au fujet de la liberté; & que faint Jérôme, voulant conferver la dignité du facerdoce, l'éléve prefque à l'épifcopat.

Notions

Il faut auffi convenir que les Chré- 27. tiens des prémiers fiécles avoient des fort obfcu notions fort obfcures de l'état des res des ames après cette vie, en tout ce qui cles de l'Econcerne point effentiellement les glife fur les Qq

prémiers fié

ames.

μερής ἐστι ς ἐ μονομερή; . Tarian, orat. ad verf. Cirac.

[t] S. Ambrof. de Abraham, lib.2.c.8. [u] Intellectualia atque invifibilia nullatenus quidem moriuntur,neque corrumpuntur; non tamen funt immortalia per naturam;fed gra tiam eis largitus eft (Deus) à corruptione ea & à morte coërcentem. Sic hominum animæ permanent incorruptæ,fic immortales perfeverant.

[x] Qui folus habet immortalitatem. [y] Memoires de Trev. Juillet 1731. [z] Origenes, princip. l. 1.c. 6. [a] Tertull. de carne Chrifti. [b] S. Hilar. in Matth.

[c] Le P. Calmet. differt. fur les bens & fur les mauvais anges, 1.7.de fon com. ment. fur l'écrit à la tête de l'évang.de S.

Luc.

[d] Plat. dans le Phedon,

« PreviousContinue »