Musée des familles: lectures du soir, Volume 23Bureaux du Musée des Familles, 1856 |
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... sais - tu que cela se trouve très- - N'est - ce pas ? dit Céleste . - C'est égal , c'est drôle ... Toi , qui es si gentille , si poétique ... car , sans vous flatter , madame , je ne pouvais pas choisir une plus délicieuse petite femme ...
... sais - tu que cela se trouve très- - N'est - ce pas ? dit Céleste . - C'est égal , c'est drôle ... Toi , qui es si gentille , si poétique ... car , sans vous flatter , madame , je ne pouvais pas choisir une plus délicieuse petite femme ...
Page 12
... sais même pas le nom , me fait l'effet d'être une sorte de spadassin ; car enfin il s'est trouvé offensé ... - Pour une misère , reprit Placide , une plaisanterie que je me suis permise sur la livrée de son groom , dont il a fini par me ...
... sais même pas le nom , me fait l'effet d'être une sorte de spadassin ; car enfin il s'est trouvé offensé ... - Pour une misère , reprit Placide , une plaisanterie que je me suis permise sur la livrée de son groom , dont il a fini par me ...
Page 13
... sais pas que j'étais une des gloires du tir à cent pas j'abats la poupée ... je saurais faire sauter la cervelle d'un homme . -Les femmes sont faites pour brûler le cœur et non pas la cervelle , pensa Robert . Tout en parlant , Céleste ...
... sais pas que j'étais une des gloires du tir à cent pas j'abats la poupée ... je saurais faire sauter la cervelle d'un homme . -Les femmes sont faites pour brûler le cœur et non pas la cervelle , pensa Robert . Tout en parlant , Céleste ...
Page 15
... sais pas pourquoi je ferais plus longtemps un mystère d'un goût très - naturel . Je suis riche , après tout . Il en était des défauts de Robert comme de ces paniers américains qui s'emboîtent les uns dans les autres . On croit toujours ...
... sais pas pourquoi je ferais plus longtemps un mystère d'un goût très - naturel . Je suis riche , après tout . Il en était des défauts de Robert comme de ces paniers américains qui s'emboîtent les uns dans les autres . On croit toujours ...
Page 19
... sais par quel hasard il advint qu'après m'avoir montée sur un banc de pierre on me laissa seule pendant quelques instants . On aurait pu , je crois , m'y retrouver encore au bout de huit jours ; mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit ...
... sais par quel hasard il advint qu'après m'avoir montée sur un banc de pierre on me laissa seule pendant quelques instants . On aurait pu , je crois , m'y retrouver encore au bout de huit jours ; mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit ...
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Common terms and phrases
Anaïs Ségalas Annemie arrive assez avez beau belle Belphegor bientôt Boisrobert bonheur bouquetins bras c'était Céleste cent chant charmant cher chose ciel Cizos cœur comte coup d'or dame devant Dieu dire dit-il DOCTEUR donner éléphants enfants êtes eût faisait famille femme fleurs galerie gens Gluck Harrisson Henriette heures heureux Ismaël j'ai j'avais Jacques jamais jardin jeune fille jeune homme jour laisse larmes Louise Louvre main maison mari ment mère Smet mille monde monsieur mort Musée n'avait Napoléon III passer Paul pauvre pensée père petite Piccini pieds place place du Carrousel poëte Pompéi porte premier prit Racan ramoneur regard reste Richard Hamilton riche rien rire Robert rose Rose Chéri Russie s'écria saint sais salle savait scène Sébastopol serait seul soir soleil sorte Soursac table terre tête Thérèse tion Trinette trombone trouve tulipes vais veux VINGT-TROISIÈME VOLUME voilà voix voyait yeux
Popular passages
Page 370 - S'il te reste au fond du cœur le moindre sentiment de vertu, viens, que je t'apprenne à aimer la vie. Chaque fois que tu seras tenté d'en sortir, dis en toi-même : « Que je fasse encore une bonne action avant que de mourir.
Page 10 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Page 331 - ... dans les machines que la nature présente à nos yeux, les cordes sont parfaitement bien cachées, et elles le sont si bien, qu'on a été longtemps à deviner ce qui causait les mouvements de l'univers.
Page 78 - Mes souffrances. Je fus tourmenté par les maîtres, par les tailleurs qui me faisaient les habits étroits, par les femmes, par l'ambition, par l'amour-propre, par les regrets inutiles, par les souverains et les souvenirs. CHAPITRE iv. Privations. J'ai été privé de trois grandes jouissances de l'espèce humaine : du vol, de la gourmandise et de l'orgueil. CHAPITRE v. Époques mémorables. A trente ans, j'ai renoncé à la danse, à quarante...
Page 222 - Par un ciel chaud, par un ciel clair, La mer vaut la campagne; Si le ciel bleu devient tout noir, Dans nos cœurs brille encor l'espoir, Car Dieu nous accompagne.
Page 73 - ... ajoutai-je, qu'on va plus loin que la nation ne l'entend, et plus loin qu'elle ne demande.
Page 214 - Les voitures que nous avions emmenées avec nous étaient à tout moment si agitées, quoique en pleine campagne, qu'on ne pouvait, même en les appuyant avec de grosses pierres, les arrêter en une place. La mer semblait se renverser sur elle-même, et être comme chassée du rivage par l'ébranlement de la terre. Le rivage en effet était devenu plus spacieux, et se trouvait rempli de différents poissons demeurés à sec sur le sable.
Page 331 - Notre folie à nous autres , est de croire aussi que toute la nature , sans exception , est destinée à nos usages : et quand on demande à nos philosophes , à quoi sert ce nombre prodigieux d'étoiles fixes , dont une partie suffiroit pour faire ce qu'elles font toutes , ils vous répondent froidement qu'elles servent à leur réjouir la vue.
Page 214 - Je retourne la tête, et j'aperçois derrière nous une épaisse fumée qui nous suivait, en se répandant sur la terre comme un torrent. Pendant que nous voyons encore, quittons le grand chemin, dis-je à ma mère, de peur qu'en le suivant, la foule de ceux qui marchent sur nos pas ne nous étouffe dans les ténèbres.
Page 90 - ... il avait acheté des morceaux de toiles peintes, des fragments de bois vermoulu, toutes sortes de souvenirs des temps passés, un grand lit de chêne sculpté de haut en bas; mais le lit acheté et payé, il n'avait plus eu assez d'argent pour...