Musée des familles: lectures du soir, Volume 23Bureaux du Musée des Familles, 1856 |
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Page 13
... un homme . -Les femmes sont faites pour brûler le cœur et non pas la cervelle , pensa Robert . Tout en parlant , Céleste jouait avec l'un des deux pis- tolets qu'elle avait pris , et ouvrait la fenêtre qui donnait sur un vaste jardin ...
... un homme . -Les femmes sont faites pour brûler le cœur et non pas la cervelle , pensa Robert . Tout en parlant , Céleste jouait avec l'un des deux pis- tolets qu'elle avait pris , et ouvrait la fenêtre qui donnait sur un vaste jardin ...
Page 15
... une table , la respiration haletante , . , Décidément , mon ami , le ciel nous a créés l'un pour l'autre . Ainsi , j'ai épousé une gourmande et une joueuse , se dit Robert . Fiez - vous done aux filles à marier , aux blondes surtout ...
... une table , la respiration haletante , . , Décidément , mon ami , le ciel nous a créés l'un pour l'autre . Ainsi , j'ai épousé une gourmande et une joueuse , se dit Robert . Fiez - vous done aux filles à marier , aux blondes surtout ...
Page 26
... un coup décisif , et je m'y préparais , lorsque les officieuses conseillères , devinant mon projet , essayèrent à leur tour de m'en dissuader . C'était , selon elles , une proposition ridicule ; ma bayadère valait dix anoineaux comme ...
... un coup décisif , et je m'y préparais , lorsque les officieuses conseillères , devinant mon projet , essayèrent à leur tour de m'en dissuader . C'était , selon elles , une proposition ridicule ; ma bayadère valait dix anoineaux comme ...
Page 28
... l'une , sourit à l'autre , pince l'oreille à une troisième , et jouit encore une fois du bonheur d'ê- tre au milieu de cœurs dévoués et reconnaissants . et c'est son plus beau titre de gloire ( à ma sœur , s'entend ) , attira un instant ...
... l'une , sourit à l'autre , pince l'oreille à une troisième , et jouit encore une fois du bonheur d'ê- tre au milieu de cœurs dévoués et reconnaissants . et c'est son plus beau titre de gloire ( à ma sœur , s'entend ) , attira un instant ...
Page 34
... L'un était plein comme un muid et penchait vers sa décadence ; l'autre étayait son confrère et arpentait le terrain d'une mine fière , à peu près comme les estafiers de Votre Éminence à la porte du théâtre , quand on joue ses sublimes ...
... L'un était plein comme un muid et penchait vers sa décadence ; l'autre étayait son confrère et arpentait le terrain d'une mine fière , à peu près comme les estafiers de Votre Éminence à la porte du théâtre , quand on joue ses sublimes ...
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Common terms and phrases
Anaïs Ségalas Annemie arrive assez avez beau belle Belphegor bientôt Boisrobert bonheur bouquetins bras c'était Céleste cent chant charmant cher chose ciel Cizos cœur comte coup d'or dame devant Dieu dire dit-il DOCTEUR donner éléphants enfants êtes eût faisait famille femme fleurs galerie gens Gluck Harrisson Henriette heures heureux Ismaël j'ai j'avais Jacques jamais jardin jeune fille jeune homme jour laisse larmes Louise Louvre main maison mari ment mère Smet mille monde monsieur mort Musée n'avait Napoléon III passer Paul pauvre pensée père petite Piccini pieds place place du Carrousel poëte Pompéi porte premier prit Racan ramoneur regard reste Richard Hamilton riche rien rire Robert rose Rose Chéri Russie s'écria saint sais salle savait scène Sébastopol serait seul soir soleil sorte Soursac table terre tête Thérèse tion Trinette trombone trouve tulipes vais veux VINGT-TROISIÈME VOLUME voilà voix voyait yeux
Popular passages
Page 370 - S'il te reste au fond du cœur le moindre sentiment de vertu, viens, que je t'apprenne à aimer la vie. Chaque fois que tu seras tenté d'en sortir, dis en toi-même : « Que je fasse encore une bonne action avant que de mourir.
Page 10 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Page 331 - ... dans les machines que la nature présente à nos yeux, les cordes sont parfaitement bien cachées, et elles le sont si bien, qu'on a été longtemps à deviner ce qui causait les mouvements de l'univers.
Page 78 - Mes souffrances. Je fus tourmenté par les maîtres, par les tailleurs qui me faisaient les habits étroits, par les femmes, par l'ambition, par l'amour-propre, par les regrets inutiles, par les souverains et les souvenirs. CHAPITRE iv. Privations. J'ai été privé de trois grandes jouissances de l'espèce humaine : du vol, de la gourmandise et de l'orgueil. CHAPITRE v. Époques mémorables. A trente ans, j'ai renoncé à la danse, à quarante...
Page 222 - Par un ciel chaud, par un ciel clair, La mer vaut la campagne; Si le ciel bleu devient tout noir, Dans nos cœurs brille encor l'espoir, Car Dieu nous accompagne.
Page 73 - ... ajoutai-je, qu'on va plus loin que la nation ne l'entend, et plus loin qu'elle ne demande.
Page 214 - Les voitures que nous avions emmenées avec nous étaient à tout moment si agitées, quoique en pleine campagne, qu'on ne pouvait, même en les appuyant avec de grosses pierres, les arrêter en une place. La mer semblait se renverser sur elle-même, et être comme chassée du rivage par l'ébranlement de la terre. Le rivage en effet était devenu plus spacieux, et se trouvait rempli de différents poissons demeurés à sec sur le sable.
Page 331 - Notre folie à nous autres , est de croire aussi que toute la nature , sans exception , est destinée à nos usages : et quand on demande à nos philosophes , à quoi sert ce nombre prodigieux d'étoiles fixes , dont une partie suffiroit pour faire ce qu'elles font toutes , ils vous répondent froidement qu'elles servent à leur réjouir la vue.
Page 214 - Je retourne la tête, et j'aperçois derrière nous une épaisse fumée qui nous suivait, en se répandant sur la terre comme un torrent. Pendant que nous voyons encore, quittons le grand chemin, dis-je à ma mère, de peur qu'en le suivant, la foule de ceux qui marchent sur nos pas ne nous étouffe dans les ténèbres.
Page 90 - ... il avait acheté des morceaux de toiles peintes, des fragments de bois vermoulu, toutes sortes de souvenirs des temps passés, un grand lit de chêne sculpté de haut en bas; mais le lit acheté et payé, il n'avait plus eu assez d'argent pour...