Les contemporains: Lamartine; Victor Hugo; de Lamennais; Musset; Béranger; Pierre Dupont |
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... ! « En rentrant de nos promenades à la campagne , ma mère nous faisait presque toujours passer devant les pauvres mai- sons des malades ou des indigents du vil- lage . « Nous l'aidions dans ses visites quoti- diennes . L'un 14 LAMARTINE .
... ! « En rentrant de nos promenades à la campagne , ma mère nous faisait presque toujours passer devant les pauvres mai- sons des malades ou des indigents du vil- lage . « Nous l'aidions dans ses visites quoti- diennes . L'un 14 LAMARTINE .
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... les vieillards épuisés . « Elle faisait de nous les ministres de ses aumônes , ne désirant qu'un trésor ici- has les bénédictions des pauvres et la : volonté de Dieu . » Il n'y a plus rien à raconter de l'en- fance LAMARTINE . 45.
... les vieillards épuisés . « Elle faisait de nous les ministres de ses aumônes , ne désirant qu'un trésor ici- has les bénédictions des pauvres et la : volonté de Dieu . » Il n'y a plus rien à raconter de l'en- fance LAMARTINE . 45.
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... 'azur serein de leur ciel , de leur mer et de leur nuit . » Lamartine avait oublié depuis long- temps sa belle Romaine . Il fut aimé à Naples d'une pauvre fille de pêcheur que sa passion pour lui de- vait conduire LAMARTINE . 21.
... 'azur serein de leur ciel , de leur mer et de leur nuit . » Lamartine avait oublié depuis long- temps sa belle Romaine . Il fut aimé à Naples d'une pauvre fille de pêcheur que sa passion pour lui de- vait conduire LAMARTINE . 21.
Page 22
... Pauvre Graziella ! morte si jeune et si belle ! Combien tu as dû laisser de regrets chez ce fils du Nord , trop près de l'enfance pour bien comprendre ton cœur , et dont le ber- ceau n'avait pas été chauffé comme le tien à ce soleil ...
... Pauvre Graziella ! morte si jeune et si belle ! Combien tu as dû laisser de regrets chez ce fils du Nord , trop près de l'enfance pour bien comprendre ton cœur , et dont le ber- ceau n'avait pas été chauffé comme le tien à ce soleil ...
Page 24
... pauvre enfant dit - elle . Que tu es pâle ! que tu parais triste ! Qui m'aurait dit qu'à vingt- deux ans je verrais mon enfant flétri daus la séve de son âme et de son cœur ! « Je bondis à ces mots , comme si ma mère , en me parlant ...
... pauvre enfant dit - elle . Que tu es pâle ! que tu parais triste ! Qui m'aurait dit qu'à vingt- deux ans je verrais mon enfant flétri daus la séve de son âme et de son cœur ! « Je bondis à ces mots , comme si ma mère , en me parlant ...
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 32 - De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis: " Nulle part le bonheur ne m'attend.
Page 24 - Je ne fais pas grand cas, pour moi, de la critique. Toute mouche qu'elle est, c'est rare qu'elle pique. On m'a dit l'an passé que j'imitais Byron : Vous qui me connaissez, vous savez bien que non. Je hais comme la mort l'état de plagiaire ; Mon verre n'est pas grand, mais je bois dans mon verre. C'est bien peu, je le sais, que d'être homme de bien. Mais toujours est-il vrai que je n'exhume rien.
Page 54 - Dors-tu content, Voltaire, et ton hideux sourire Voltige-t-il encor sur tes os décharnés ? Ton siècle était, dit-on, trop jeune pour te lire; Le nôtre doit te plaire, et tes hommes sont nés. Il est tombé sur nous, cet édifice immense Que de tes larges mains tu sapais nuit et jour. La Mort devait t'attendre avec impatience, Pendant quatre-vingts ans que tu lui fis ta cour; Vous devez vous aimer d'un infernal amour.
Page 51 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux...
Page 70 - Quand j'ai passé par la prairie, J'ai vu, ce soir, dans le sentier, Une fleur tremblante et flétrie, Une pâle fleur d'églantier. Un bourgeon vert à côté d'elle Se balançait sur l'arbrisseau ; J'y vis poindre une fleur nouvelle ; La plus jeune était la plus belle : L'homme est ainsi, toujours nouveau.
Page 81 - Non, mes amis, non, je ne veux rien être ; Semez ailleurs places, titres et croix. Non, pour les cours Dieu ne m'a pas fait naître : Oiseau craintif, je fuis la glu des rois. Que me faut-il ? maîtresse à fine taille, Petit repas et joyeux entretien. De mon berceau près de bénir la paille, En me créant Dieu m'a dit : Ne sois rien.
Page 77 - Et au milieu de la salle s'élevait un trône composé d'ossements, et au pied du trône, en guise d'escabeau, était un crucifix renversé ; et devant le trône, une table d'ébène, et sur la table un vase plein de sang rouge et écumeux, et un crâne humain. « Et les sept hommes couronnés...
Page 81 - Ne marchez point la tête baissée: il faut lever les yeux pour reconnaître sa route. Votre patrie, c'est le ciel; et quand vous regardez le ciel, est-ce qu'en vous il ne se remue rien? est-ce que nul désir ne vous presse ? ou ce désir est-il muet? Il en est qui disent: A quoi bon prier? Dieu est trop au-dessus de nous pour écouter de si chétives créatures.
Page 62 - La faute en est à nous; à toi, riche! à ton or ! Cette fange d'ailleurs contient l'eau pure encor. Pour que la goutte d'eau sorte de la poussière, Et redevienne perle en sa splendeur première, II suffit, c'est ainsi que tout remonte au jour. D'un rayon de soleil ou d'un rayon d'amour ! Septcioiire 4836.
Page 91 - C'est la Pologne et son peuple fidèle Qui tant de fois a pour nous combattu ; Elle se noie au sang qui coule d'elle , Sang qui s'épuise en gardant sa vertu. Comme ce chef mort pour notre patrie, Corps en lambeaux dans l'Elster retrouvé, Au bord du gouffre un peuple entier nous crie : « Rien qu'une main, (bis) Français, je suis sauvé !