Les contemporains: Lamartine; Victor Hugo; de Lamennais; Musset; Béranger; Pierre Dupont |
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... sa nature rêveuse , et renonçant aux folles distractions du monde qui lui avaient fait un instant oublier ses souvenirs . Il voulait aller pleurer sur la tombe de sa douce Graziella , il voulait demander pardon à sa LAMARTINE . 29.
... sa nature rêveuse , et renonçant aux folles distractions du monde qui lui avaient fait un instant oublier ses souvenirs . Il voulait aller pleurer sur la tombe de sa douce Graziella , il voulait demander pardon à sa LAMARTINE . 29.
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... . Dans son regard on remarque tout à la fois de la di- gnité , de la douceur et de l'orgueil . Gâté par les cajoleries du monde , il pose continuellement comme posait Louis XIV , mais sans être aussi roide dans ses LAMARTINE . 41.
... . Dans son regard on remarque tout à la fois de la di- gnité , de la douceur et de l'orgueil . Gâté par les cajoleries du monde , il pose continuellement comme posait Louis XIV , mais sans être aussi roide dans ses LAMARTINE . 41.
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... monde ne juge pas avec autant de sévérité notre poëte . Nous avons en- tendu quelqu'un lui dire un jour : « Vous étiez né pour être roi . » Effectivement , son imperturbable ma- jesté , son amour de la représentation , son L'auteur des ...
... monde ne juge pas avec autant de sévérité notre poëte . Nous avons en- tendu quelqu'un lui dire un jour : « Vous étiez né pour être roi . » Effectivement , son imperturbable ma- jesté , son amour de la représentation , son L'auteur des ...
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... de recevoir des lettres de femmes des quatre parties du monde , le poëte n'abuse jamais de ses conquêtes ; il craint le tête - à - tête , sans doute au point de vue de sa dignité , qu'il veut conserver toujours 44 LAMARTINE .
... de recevoir des lettres de femmes des quatre parties du monde , le poëte n'abuse jamais de ses conquêtes ; il craint le tête - à - tête , sans doute au point de vue de sa dignité , qu'il veut conserver toujours 44 LAMARTINE .
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... monde , avec une con- fiance et une vanité d'enfant , persuadé que lady Stanhope a lu son avenir au grand livre des astres et que Dieu le des- tine à opérer dans les sociétés modernes une réforme éclatante . Sa renommée , sa haute ...
... monde , avec une con- fiance et une vanité d'enfant , persuadé que lady Stanhope a lu son avenir au grand livre des astres et que Dieu le des- tine à opérer dans les sociétés modernes une réforme éclatante . Sa renommée , sa haute ...
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 32 - De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis: " Nulle part le bonheur ne m'attend.
Page 24 - Je ne fais pas grand cas, pour moi, de la critique. Toute mouche qu'elle est, c'est rare qu'elle pique. On m'a dit l'an passé que j'imitais Byron : Vous qui me connaissez, vous savez bien que non. Je hais comme la mort l'état de plagiaire ; Mon verre n'est pas grand, mais je bois dans mon verre. C'est bien peu, je le sais, que d'être homme de bien. Mais toujours est-il vrai que je n'exhume rien.
Page 54 - Dors-tu content, Voltaire, et ton hideux sourire Voltige-t-il encor sur tes os décharnés ? Ton siècle était, dit-on, trop jeune pour te lire; Le nôtre doit te plaire, et tes hommes sont nés. Il est tombé sur nous, cet édifice immense Que de tes larges mains tu sapais nuit et jour. La Mort devait t'attendre avec impatience, Pendant quatre-vingts ans que tu lui fis ta cour; Vous devez vous aimer d'un infernal amour.
Page 51 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux...
Page 70 - Quand j'ai passé par la prairie, J'ai vu, ce soir, dans le sentier, Une fleur tremblante et flétrie, Une pâle fleur d'églantier. Un bourgeon vert à côté d'elle Se balançait sur l'arbrisseau ; J'y vis poindre une fleur nouvelle ; La plus jeune était la plus belle : L'homme est ainsi, toujours nouveau.
Page 81 - Non, mes amis, non, je ne veux rien être ; Semez ailleurs places, titres et croix. Non, pour les cours Dieu ne m'a pas fait naître : Oiseau craintif, je fuis la glu des rois. Que me faut-il ? maîtresse à fine taille, Petit repas et joyeux entretien. De mon berceau près de bénir la paille, En me créant Dieu m'a dit : Ne sois rien.
Page 77 - Et au milieu de la salle s'élevait un trône composé d'ossements, et au pied du trône, en guise d'escabeau, était un crucifix renversé ; et devant le trône, une table d'ébène, et sur la table un vase plein de sang rouge et écumeux, et un crâne humain. « Et les sept hommes couronnés...
Page 81 - Ne marchez point la tête baissée: il faut lever les yeux pour reconnaître sa route. Votre patrie, c'est le ciel; et quand vous regardez le ciel, est-ce qu'en vous il ne se remue rien? est-ce que nul désir ne vous presse ? ou ce désir est-il muet? Il en est qui disent: A quoi bon prier? Dieu est trop au-dessus de nous pour écouter de si chétives créatures.
Page 62 - La faute en est à nous; à toi, riche! à ton or ! Cette fange d'ailleurs contient l'eau pure encor. Pour que la goutte d'eau sorte de la poussière, Et redevienne perle en sa splendeur première, II suffit, c'est ainsi que tout remonte au jour. D'un rayon de soleil ou d'un rayon d'amour ! Septcioiire 4836.
Page 91 - C'est la Pologne et son peuple fidèle Qui tant de fois a pour nous combattu ; Elle se noie au sang qui coule d'elle , Sang qui s'épuise en gardant sa vertu. Comme ce chef mort pour notre patrie, Corps en lambeaux dans l'Elster retrouvé, Au bord du gouffre un peuple entier nous crie : « Rien qu'une main, (bis) Français, je suis sauvé !