Les contemporains: Lamartine; Victor Hugo; de Lamennais; Musset; Béranger; Pierre Dupont |
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... de leur berceau une mère chrétienne , un de ces anges de la terre , au front calme et doux , qui leur ont appris à croire , à aimer et à bénir . Écoutons Lamartine lui - même donner quelques détails sur son 12 LAMARTINE .
... de leur berceau une mère chrétienne , un de ces anges de la terre , au front calme et doux , qui leur ont appris à croire , à aimer et à bénir . Écoutons Lamartine lui - même donner quelques détails sur son 12 LAMARTINE .
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Eugène de Mirecourt. Écoutons Lamartine lui - même donner quelques détails sur son enfance . « Ma mère avait une Bible de Royau- mont dans laquelle elle m'apprenait à lire . Cette Bible avait des gravures de sujets sa- crés à toutes les ...
Eugène de Mirecourt. Écoutons Lamartine lui - même donner quelques détails sur son enfance . « Ma mère avait une Bible de Royau- mont dans laquelle elle m'apprenait à lire . Cette Bible avait des gravures de sujets sa- crés à toutes les ...
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... donner à l'aîné de la mai- son . Le père , vieux soldat , désirait qu'Al- phonse embrassât la carrière des armes . Mais ce n'était pas l'avis de la tendre mère . César déployait en vain ses glorieux dra- peaux et courait d'un bout de l ...
... donner à l'aîné de la mai- son . Le père , vieux soldat , désirait qu'Al- phonse embrassât la carrière des armes . Mais ce n'était pas l'avis de la tendre mère . César déployait en vain ses glorieux dra- peaux et courait d'un bout de l ...
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... On lui prodigue la flatterie , on excite toutes les fibres de son amour- propre . Ses nouveaux amis sont pauvres , il faut es abriter de son opulent manteau ; - mais à force d'en donner une part à chacun , il 72 LAMARTINE .
... On lui prodigue la flatterie , on excite toutes les fibres de son amour- propre . Ses nouveaux amis sont pauvres , il faut es abriter de son opulent manteau ; - mais à force d'en donner une part à chacun , il 72 LAMARTINE .
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Eugène de Mirecourt. à force d'en donner une part à chacun , il n'en reste plus pour lui . Notre saint Martin politique se trouve dépouillé . Lors de ses ambassades , M. de Lamar- tine dépensait déjà beaucoup plus que ses revenus ; le ...
Eugène de Mirecourt. à force d'en donner une part à chacun , il n'en reste plus pour lui . Notre saint Martin politique se trouve dépouillé . Lors de ses ambassades , M. de Lamar- tine dépensait déjà beaucoup plus que ses revenus ; le ...
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 32 - De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis: " Nulle part le bonheur ne m'attend.
Page 24 - Je ne fais pas grand cas, pour moi, de la critique. Toute mouche qu'elle est, c'est rare qu'elle pique. On m'a dit l'an passé que j'imitais Byron : Vous qui me connaissez, vous savez bien que non. Je hais comme la mort l'état de plagiaire ; Mon verre n'est pas grand, mais je bois dans mon verre. C'est bien peu, je le sais, que d'être homme de bien. Mais toujours est-il vrai que je n'exhume rien.
Page 54 - Dors-tu content, Voltaire, et ton hideux sourire Voltige-t-il encor sur tes os décharnés ? Ton siècle était, dit-on, trop jeune pour te lire; Le nôtre doit te plaire, et tes hommes sont nés. Il est tombé sur nous, cet édifice immense Que de tes larges mains tu sapais nuit et jour. La Mort devait t'attendre avec impatience, Pendant quatre-vingts ans que tu lui fis ta cour; Vous devez vous aimer d'un infernal amour.
Page 51 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux...
Page 70 - Quand j'ai passé par la prairie, J'ai vu, ce soir, dans le sentier, Une fleur tremblante et flétrie, Une pâle fleur d'églantier. Un bourgeon vert à côté d'elle Se balançait sur l'arbrisseau ; J'y vis poindre une fleur nouvelle ; La plus jeune était la plus belle : L'homme est ainsi, toujours nouveau.
Page 81 - Non, mes amis, non, je ne veux rien être ; Semez ailleurs places, titres et croix. Non, pour les cours Dieu ne m'a pas fait naître : Oiseau craintif, je fuis la glu des rois. Que me faut-il ? maîtresse à fine taille, Petit repas et joyeux entretien. De mon berceau près de bénir la paille, En me créant Dieu m'a dit : Ne sois rien.
Page 77 - Et au milieu de la salle s'élevait un trône composé d'ossements, et au pied du trône, en guise d'escabeau, était un crucifix renversé ; et devant le trône, une table d'ébène, et sur la table un vase plein de sang rouge et écumeux, et un crâne humain. « Et les sept hommes couronnés...
Page 81 - Ne marchez point la tête baissée: il faut lever les yeux pour reconnaître sa route. Votre patrie, c'est le ciel; et quand vous regardez le ciel, est-ce qu'en vous il ne se remue rien? est-ce que nul désir ne vous presse ? ou ce désir est-il muet? Il en est qui disent: A quoi bon prier? Dieu est trop au-dessus de nous pour écouter de si chétives créatures.
Page 62 - La faute en est à nous; à toi, riche! à ton or ! Cette fange d'ailleurs contient l'eau pure encor. Pour que la goutte d'eau sorte de la poussière, Et redevienne perle en sa splendeur première, II suffit, c'est ainsi que tout remonte au jour. D'un rayon de soleil ou d'un rayon d'amour ! Septcioiire 4836.
Page 91 - C'est la Pologne et son peuple fidèle Qui tant de fois a pour nous combattu ; Elle se noie au sang qui coule d'elle , Sang qui s'épuise en gardant sa vertu. Comme ce chef mort pour notre patrie, Corps en lambeaux dans l'Elster retrouvé, Au bord du gouffre un peuple entier nous crie : « Rien qu'une main, (bis) Français, je suis sauvé !