Journal des demoisellesBureau du journal, 1879 |
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... malheureux , p . 28 . Il faut prendre le temps comme il vient , p . 56 . Mieux vaut soigner sa santé que sa maladie , p . 84 . Qui sème l'injustice récoltera l'aversion , p . 112 . L'orage déracine le chêne et pas le roseau , p . 140 ...
... malheureux , p . 28 . Il faut prendre le temps comme il vient , p . 56 . Mieux vaut soigner sa santé que sa maladie , p . 84 . Qui sème l'injustice récoltera l'aversion , p . 112 . L'orage déracine le chêne et pas le roseau , p . 140 ...
Page 21
... malheureux . Rousset seul redoublait de méchanceté à son égard , mais comme ce petit monstre était fort chétif et toujours malade , il avait pitié de lui et se résignait à être son souffre - douleur sans ja- mais user de représailles ...
... malheureux . Rousset seul redoublait de méchanceté à son égard , mais comme ce petit monstre était fort chétif et toujours malade , il avait pitié de lui et se résignait à être son souffre - douleur sans ja- mais user de représailles ...
Page 31
... malheureux huguenot . « Lequel , » dit Marguerite , « je fis coucher et » panser dans mon cabinet jusques à tant qu'il >> fust du tout guery . » Le sang du blessé avait inondé le lit et les vê- tements de la reine Tandis qu'elle ...
... malheureux huguenot . « Lequel , » dit Marguerite , « je fis coucher et » panser dans mon cabinet jusques à tant qu'il >> fust du tout guery . » Le sang du blessé avait inondé le lit et les vê- tements de la reine Tandis qu'elle ...
Page 43
... malheureux matelots . Le ciel était d'un gris de plomb ; mais sur ce fond terne et sombre , des masses de nuages plus noirs encore couraient rapidement ; les lames , toujours plus hautes , se précipitaient avec un horrible fracas sur ...
... malheureux matelots . Le ciel était d'un gris de plomb ; mais sur ce fond terne et sombre , des masses de nuages plus noirs encore couraient rapidement ; les lames , toujours plus hautes , se précipitaient avec un horrible fracas sur ...
Page 56
... malheureux . PARIS . MORRIS PÈRE ET FILS , IMPRIMEURS BREVETÉS , RUE AMELOT , 64 . DEMOISELLES HISTOIRE ET ROMANS MARGUERITE DE VALOIS ( SUITE ET. méro . Que diras - tu , Florence , toi qui t'y connais , de ce dessin correct , ferme et ...
... malheureux . PARIS . MORRIS PÈRE ET FILS , IMPRIMEURS BREVETÉS , RUE AMELOT , 64 . DEMOISELLES HISTOIRE ET ROMANS MARGUERITE DE VALOIS ( SUITE ET. méro . Que diras - tu , Florence , toi qui t'y connais , de ce dessin correct , ferme et ...
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Common terms and phrases
Agrippa d'Aubigné aime Amaury Aubigné beau belle Berthe blanche bleu Blorage bord Bouton-d'Or boutons brodé c'était cachemire Catherine de Médicis Chapeau charme cher cheveux chose cœur corsage costume côté Courseulles cousin dame dentelle devant Dieu dit-il drap élégante enfants famille femme fils Finoël fleurs Florence flûte François Ier frère garçon garni gilet Henri Henri III Henry Hermine heureux homme j'ai Jean jeune fille jolie jour jupe jupon l'oncle Abel laine laisser lectrices Limours Louisa loutre Lucie Lucy Ludre madame d'Hivray madame Delétang mademoiselle main maison maman manches Marguerite mari Marthe ment mère mode Nanon Navarre noir nuances orné passé pauvre pékin pensée père petite fille plissé plume Raoul regard reste Richard rien robe rose rue Amelot rue de Rohan Rue Drouot satin Scabieuse sentiment sera seul Sissi sœur soir Solange Sylvie tête Thory tion toilette trouve tulle velours vieille voix yeux
Popular passages
Page 253 - L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance.
Page 253 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Page 252 - Ainsi le grand vieillard, en images hardies, Déployait le tissu des saintes mélodies. Les trois enfants, émus à son auguste aspect, Admiraient, d'un regard de joie et de respect, De sa bouche abonder les paroles divines, Comme en hiver la neige aux sommets des collines. Et partout accourus, dansant sur son chemin, Hommes, femmes, enfants, les rameaux à la main, Et vierges et guerriers, jeunes...
Page 140 - L'esprit de la conversation consiste bien moins à en montrer beaucoup qu,'à en faire trouver aux autres : celui qui sort de votre entretien content de soi et de son esprit l'est de vous parfaitement.
Page 141 - Zénobie, qui agitent votre empire, ni la guerre que vous soutenez virilement contre une nation puissante depuis la mort du roi votre époux, ne diminuent rien de votre magnificence. Vous avez préféré à toute autre contrée les rives de l'Euphrate pour y élever un superbe édifice : l'air y est sain et tempéré, la situation en est riante, un bois sacré l'ombrage du côté du couchant ; les dieux de Syrie qui habitent quelquefois la terre, n'y auraient pu choisir une plus belle demeure; la...
Page 253 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Page 141 - L'on mange ailleurs des fruits précoces, l'on force la terre et les saisons pour fournir à sa délicatesse : de simples bourgeois , seulement à cause qu'ils étaient riches , ont eu l'audace d'avaler en un seul morceau la nourriture de cent familles. Tienne qui voudra contre de si grandes extrémités, je ne veux être, si je le puis, ni malheureux , ni heureux : je me jette et me réfugie dans la médiocrité.
Page 253 - Les enfants qui suivaient ses ébats dans la plaine., Les vierges aux belles couleurs, Qui le baisaient en foule, et sur sa blanche laine Entrelaçaient rubans et fleurs, Sans plus penser à lui le mangent s'il est tendre. Dans cet abîme enseveli, J'ai lemcmc destin.
Page 254 - Ces reptiles hideux, sifflant dans la poussière, En vain sèment le trouble entre son ombre et moi : Scélérats ! contre vous elle invoque la loi.
Page 253 - Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière.